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Chargement... Month In The Country Tie-in (original 1980; édition 1980)par J L Carr (Auteur)
Information sur l'oeuvreUn mois à la campagne par J. L. Carr (1980)
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Une histoire à demi grinçante, typique des auteurs anglais... une trame originale, au travers de laquelle on devine la détresse et la recherche d'amitié du personnage principal. Les personnages "secondaires" sont très bien esquissés eux-aussi. Ce court roman est aux dire de l'auteur "une histoire d'amour sans importance racontée plus de cinquante ans après". C'est au contraire un beau témoignage de l'attachement de l'auteur à son pays et à ses pairs. Durant l'été 1920, deux rescapés de la Grande Guerre font connaissance au coeur de la paisible campagne anglaise. Tom Birkin vit dans l'église où il met à jour puis restaure une fresque médiévale. Charles Moon, un archéologue à la recherche d'une tombe du XIVe siècle, campe dans le champ voisin. Au fil des jours, le travail les aide à renouer les liens avec un passé qu'ils croyaient définitivement englouti par la Grande Boucherie. La splendeur inviolée de la campagne, la troublante beauté de la femme du pasteur, la bienveillance et la charmante excentricité des villageois, tout concourt ici à les réconcilier avec la vie. Bien des années plus tard, Tom Birkin se souvient... Au dire malicieux de J. L Carr, ce court roman est " une histoire d'amour sans importance racontée plus de cinquante ans après ". Il est aussi - nostalgie et humour mêlés - l'un des plus merveilleux hommages que puisse rendre un écrivain au pays qui l'a vu naître.
Reissued as part of the Penguin Decades series, JL Carr's slender, Booker-shortlisted and semi-autobiographical novel was published in 1980 but looks back to an earlier time. The narrator, Tom Birkin, reflects on a summer spent in the small Yorkshire village of Oxgodby in 1920. Near destitute and still visibly shaken by his experiences during the first world war and through the painful break-up of his marriage, he has been assigned the job of restoring a medieval mural hidden beneath whitewash on the wall of the village church. As he painstakingly removes several centuries' worth of paint and grime he becomes gradually less closed off and begins to make friends within the community, in particular with Moon, another war veteran, who is camped in the churchyard, ostensibly looking for a lost grave. As Birkin uncovers patches of gilt and cinnabar up on his scaffold, Moon digs his pits outside the church walls; both of them are striving for some sort of, if not restoration, then freedom from their past, and for Birkin, at least, his stay at Oxgodby is a time of healing. Slim as it is, this is a tender and elegant novel that seemingly effortlessly weaves several strands together. Carr has a knack for bringing certain scenes into sudden, sharp focus, rather as waves lift forgotten things to the surface. He writes with particular precision and admiration about the joys of skilled men going about their business. He also subtly evokes lost rural customs and ways of living that, even at the time, had begun to fade from view: cart rides and seed cake and honey-thick accents that had not yet been filed down by mass communication. The sense of things lost to time is pronounced but not overplayed and there's a gently elegiac quality to the developing picture of a warm and hazy English countryside summer. This pleasant vision is countered by his rawer and more acute account of the deep mark left on a man when a chance of happiness is glimpsed and missed and left to settle in the memory. Appartient à la série éditorialePenguin Decades (1980s) Est contenu dansFait l'objet d'une adaptation dansPrix et récompensesDistinctionsListes notables
In J. L. Carr's deeply charged poetic novel, Tom Birkin, a veteran of the Great War and a broken marriage, arrives in the remote Yorkshire village of Oxgodby where he is to restore a recently discovered medieval mural in the local church. Living in the bell tower, surrounded by the resplendent countryside of high summer, and laboring each day to uncover an anonymous painter's depiction of the apocalypse, Birkin finds that he himself has been restored to a new, and hopeful, attachment to life. But summer ends, and with the work done, Birkin must leave. Now, long after, as he reflects on the passage of time and the power of art, he finds in his memories some consolation for all that has been lost.Copyright © Libri GmbH. All rights reserved. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
Discussion en coursA run on A Month in the County? à Folio Society Devotees Couvertures populaires
Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)823.914Literature English English fiction Modern Period 1901-1999 1945-1999Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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Pourtant, Tom Birkin va s’attirer la sympathie des habitants du petit village, particulièrement de la famille du chef de gare, les Ellerbeck, et de la femme du pasteur, Alice Keach. Ainsi il va participer au sermon du dimanche de l’église « concurrente » de celle où il travail, arbitrer des matchs sportifs, participer aux fêtes du village … Il va s’intégrer entièrement dans la vie du village. Cela lui permet de se « remettre » psychologiquement des évènements qu’il a vécus. On voit bien les traumatismes de la guerre sur Moon et Birkin (surtout que ce dernier en garde des traces physiques) mais surtout la vie d’un petit village anglais à cette époque est extrêmement bien retranscrit.
Tom Birkin, 50 ans plus tard, est le narrateur de cette histoire, où il se rappelle ce « merveilleux été ». Il le raconte par petits épisodes, petites touches cocasses, drôles et tendres. On retrouve un peu l’atmosphère de Cranford et de tous ces romans décrivant le fameux petit village anglais. Il n’y a pas de meurtre, pas vraiment d’histoire mais l’auteur réussi à baigner le lecteur dans cette atmosphère. On sent le petit brin de soleil, la lumière, la légère brise, la campagne, la joie de vivre toute simple … toutes ces petites choses qu’on se sent dans ce livre comme chez soi, bien. ( )