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Critiques

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Ce recueil de nouvelles du regretté écrivain espagnol Carlos Ruiz Zafón nous plonge avec délectation dans des aventures où apparaissent certains personnages de la série du Cimetière des livres oubliés. Et quand cela n'est pas le cas, c'est la ville de Barcelone et ses habitants qui, sous le plume de l'auteur, revient hanter nos lectures comme cela s'est déjà passé dans les huit romans qu'il a eu le temps d'écrire. Une bouffée de plaisir seulement contrarié par l'envie d'en lire plus.
 
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Patangel | 13 autres critiques | Aug 28, 2023 |
Nous retrouvons sans déplaisir la plume unique de l’auteur espagnol. Dans les ruelles sombres de Barcelone errent des âmes tristes et grises. Des fantômes, comme celui de Cervantes, qui hantent nos rêves et nos cauchemars. Le format court de ces nouvelles fantastiques laissent malheureusement en bouche le goût de la frustration. Plus longue est l’histoire, plus elle nous emporte.

Sous la forme d'un haïku :

Au coin d’une rue,
Dans l’ombre mélancolique,
Se cache un fantôme.
 
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PaFink | 13 autres critiques | Jul 5, 2022 |
Ce roman de Carlos Ruiz Zafón est le quatrième et dernier de sa série du Cimetière des livres oubliés. Cette conclusion est menée de main de maître par l'auteur. Il réussit à réunir tous les fils explorés dans les trois premiers livres et à les intégrer dans une histoire globale, cohérente et très prenante, en y intégrant tous les personnages précédemment évoqués. Une véritable prouesse, qui de plus procure un plaisir de lecture de tous les instants.½
 
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Patangel | 48 autres critiques | Jan 29, 2022 |
Différentes histoires racontées par l’auteur et qui se passent à Barcelone
 
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JasmineG | 13 autres critiques | Jan 24, 2022 |
> Le Jeu de l'ange, par Carlos Ruiz Zafon. — Rencontre entre David, un jeune narrateur amateur de bonne littérature, et un éditeur qui semble être la réincarnation de Lucifer.
Après avoir fait le tour du monde des traductions avec L'Ombre du vent, le Catalan Carlos Ruiz Zafon a repris les mêmes recettes - le polar picaresque, façon Umberto Eco - pour signer ce Jeu de l'ange. Nous sommes dans la Barcelone des années 1920 en compagnie d'un jeune narrateur amateur de bonne littérature, David, dont la vie bascule lorsqu'il rencontre un mystérieux éditeur qui semble être la réincarnation de Lucifer. Quel pacte diabolique va réunir les deux hommes ? Réponse dans ce roman bondissant et rebondissant, au bout duquel David, le Faust des ramblas, sera vampirisé par ses propres rêves. Zafon sème le vent, et récolte le frisson.
L'Express

> LE JEU DE L'ANGE CARLOS RUIZ ZAFÔN (Robert Laffont, 536 p.)
Se reporter au compte rendu de Marie-Ève SÉVIGNY
In: (2009). Compte rendu de [Nouveautés — La rentrée littéraire en 30 titres]. Entre les lignes, 6 n° 1 (automne 2009), p. 32.… ; (en ligne),
URL : https://id.erudit.org/iderudit/11020ac
 
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Joop-le-philosophe | 417 autres critiques | Feb 10, 2021 |
On reconnaît un roman du barcelonais Carlos Ruiz Zafón au fait qu'il se déroule toujours dans sa ville, à Barcelone, à la façon dont l'intrigue se déroule dans un mille-feuilles temporel, et à son atmosphère tirant sur le surnaturel. "Marina" est un roman gothique et macabre qui évoque le Frankenstein de Mary Shelley (dont le nom est d'ailleurs ouvertement emprunté), livre fascinant, où légendes d'une époque révolue, maladies et désir d'immortalité se côtoient. Les héros en sont deux adolescents, mais les personnages secondaires, tous sans exception des personnes désormais âgées, sont complexes et tortueux, car suivant quel personnage raconte au narrateur sa version des faits, le mystérieux Mihaïl Kolvenik, au centre du roman, devient tour à tour génie désintéressé, self-made man forcément suspect, amant romantique ou malade fou à lier. Les pièces du puzzle s'assemblent petit à petit pour un final grandiose, avant quelques derniers chapitres épilogue qui racontent la fin de la vie de la jeune Marina, elle aussi condamnée par la maladie.
 
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Vercez | 114 autres critiques | May 5, 2020 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Ruiz-Zafon-Lombre-du-vent/3143
> Le Livre de Poche (celiatas) : https://fr.calameo.com/books/0043038443afedcb9a996

Prix des Lecteurs du Livre de Poche 2006.

> L'OMBRE DU VENT, par Carlos Ruiz Zafón. — Dans l’Espagne de Franco, juste après la guerre civile, à Barcelone, un jeune garçon est amené par son père libraire à choisir un livre au Cimetière des livres oubliés. Ce sera un livre étrange que plusieurs personnes chercheront à se procurer et qui lanceront l’enfant puis l’adulte dans la quête de l’histoire de l’auteur. Avec en toile de fond les blessures de la politique, une quête au sein de la ville, à la limite du fantastique et de la poésie. Une épopée, best-seller en Espagne avec plus de 8 millions d’exemplaires vendus. FV.
Revue Silence, oct. 2007

> Si vous avez le malheur de lire les trois premières pages de son roman, vous n'avez plus aucune chance de lui échapper.
Didier Sénécal, Lire

> Mêlant roman initiatique et thriller politique, réalisme maqique et embardées fantastiques, Zafôn sème le vent avec un sacré punch. Et récolte le frisson.
André Clavel, L'Express

> Énigme où les mystères s'emboîtent comme des poupées russes, Carlos Ruiz Zafon mêle inextricablement la littérature et la vie.
-- L'importance de transmettre le goût de la littérature à la nouvelle génération.
Michel Bourgault (ICI.Radio-Canada.ca)

> Jean-François Ponge (E-Litterature) : L’ombre du vent - Carlos Ruiz Zafón
11 mai 2011 … Si vous avez aimé, dans le désordre, « Les indes noires » (Jules Verne), « Les rivières pourpres » (Jean-Christophe Grangé), « Les mystères de Paris » (Eugène Sue) ou bien encore « Les trois mousquetaires » (Alexandre Dumas), alors vous adorerez « L’ombre du vent ». Roman gothique, polar noir, très noir, récit fantastique, mélodrame, thriller, roman à énigmes, tous les genres propres à vous faire frémir ou pleurer sont au rendez-vous dans ce récit où passé et présent se mêlent inextricablement au long de 50 ans d’histoire de Barcelone la grande. Tout part de la visite faite par un enfant de dix ans, Daniel Sempere, dans le « Cimetière des Livres Oubliés », un lieu magique où l’on peut acquérir gratuitement un livre, mais un seul, que l’on se devra de conserver toute sa vie et auquel on consacrera celle-ci. On comprend dès la première page que l’écriture et la lecture, les livres donc, seront au centre de l’histoire. Un stylo rarissime, censé avoir appartenu à Victor Hugo, va servir de lien entre passé et présent. Le reste est action, suspense, amour et… perdition, autour d’une énigme qui va s’enrichir au fil des souvenirs des divers personnages rencontrés par notre détective en herbe. Au cours de la dizaine d’années que va durer son enquête, le lecteur va se promener dans une Barcelone étrange, aux quartiers oubliés, lourds d’histoire et de mystère. Un plaisir constant tient le lecteur en haleine au long de ces 600 et quelques pages, dont on ne ressort pas indemne. De la belle, très belle littérature populaire, ou littérature tout court pour ceux et celles que ce mot effraie…
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Librairie Générale Française (Le Livre de Poche), 2007, 636 pp. (traduction de François Maspero)
 
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Joop-le-philosophe | 1,041 autres critiques | Nov 25, 2018 |
Impossible de finir... déclaré forfait à 40 pages de la fin. Rien d'original dans ce fouillis mais des petits bout d'autres œuvres compilées. Décevant.½
 
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Nikoz | 1,041 autres critiques | May 7, 2017 |
Un conte gothique pour ado... too much, trop de tout.½
 
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Nikoz | 114 autres critiques | Jan 30, 2017 |
Si E.T.A. Hofmann et Mary Shelley avaient vécu au 21e siècle, ils auraient peut-être écrit à quatre mains ce roman noir, romantique et fantastique qui fait se croiser un lycéen, une jeune fille malade, des chanteuses d'opéra, un peintre et des savants fous dans une Barcelone sombre, froide et pluvieuse. Un récit gothique et vivifiant, nocturne et lumineux, tragique et envoûtant.
 
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Steph. | 114 autres critiques | Oct 30, 2016 |
La plume encrée de mystère, de baroque et de romantisme du célèbre écrivain barcelonais se retrouve ici. On suit sans désintérêt les aventures de ses protagonistes plongés dans une ambiance gothique rendant hommage à Frankenstein. Cependant, moins fort et prenant que L'ombre du vent.
 
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PaFink | 114 autres critiques | Sep 25, 2016 |
Ce troisième et dernier tome du cycle de la brume est à l'image des deux précédents : intéressant uniquement par moments du fait d'une intrigue un peu trop simple et d'un antagoniste aux pouvoirs trop importants. Certes, cela convient sûrement au public jeunesse visé mais les adultes n'y trouveront pas leur compte. Dommage...½
 
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Patangel | 19 autres critiques | Nov 15, 2015 |
Ce roman de Carlos Ruiz Zafón, deuxième volet du cycle de la brume, n'est étonnamment en rien lié avec l'ouvrage qui le précède, Le prince de la brume. Il partage néanmoins avec lui la présence d'un antagoniste non humain aux pouvoirs bien trop grands par rapport aux héros qui l'affrontent, amenuisant ainsi l'intérêt de leur opposition. Cependant, l'intrigue a plus de profondeur, les personnages sont variés et avec des psychologies différentes mêmes si certains manquent d'approfondissement. Meilleur que le premier, moins bon que le troisième, c'est tout ce que le lecteur espère.
 
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Patangel | 53 autres critiques | Nov 1, 2015 |
Ce premier roman de Carlos Ruiz Zafón est dédié à la jeunesse. Mais à l'inverse de Marina qu'il écrira six ans plus tard, Le prince de la brume souffre d'une intrigue pas assez approfondie et d'un manque de profondeur de l'antagoniste qui donne son nom au roman. Enfin, les pouvoirs de Caïn semblent beaucoup trop grands pour que quiconque, et qui plus est des jeunes tels les trois héros du livres, puissent s'y opposer. Néanmoins, la psychologie ces derniers est plutôt bien développée et l'écriture de l'auteur plutôt agréable. Cette œuvre de jeunesse laisse présager, avec raison, d'une carrière en devenir.½
 
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Patangel | 101 autres critiques | Oct 13, 2015 |
Quand on commence on ne finie plus !
 
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les.Douds | 151 autres critiques | Jan 18, 2014 |
Suite directe de L'ombre du vent, le merveilleux roman de Carlos Ruiz Zafón, Le prisonnier du ciel est centré sur trois personnages : Daniel Sempere et Fermín Romero de Torres, deux personnages déjà au centre de l'intrigue de L'Ombre du vent, et David Martín, personnage central du roman Le jeu de l'ange qui se déroulait chronologiquement avant L'ombre du vent. Cela est rendu possible par un flash-back représentant la moitié du livre et pendant lequel Fermín raconte à Daniel sa rencontre avec David dans une prison barcelonnaise. Toutes les questions restées en suspens dans les deux livres précédents trouvent ici des réponses élégamment mises en scène. L'intrigue est prenante et l'auteur a enfin réussi à se détourner des ficelles utilisées dans les deux précédents romans. Un très bon livre, avec une fin qui nous donne envie de vite lire sa suite.
 
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Patangel | 151 autres critiques | Nov 25, 2013 |
Roman bizarre, fantasmagorique. La première moitié du livre est intéressante, l'écriture agréable. Hélas, L'auteur en rajoute dans les scènes "d'horreur", comme dans un film gore. On finit par se lasser, d'autant que l'on y comprend pas grand chose.½
 
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pangee | 19 autres critiques | Apr 7, 2013 |
histoire d'un jeune écrivain "maudit" qui signe un pacte avec un homme plus qu'étrange. Dès lors, toutes ses relations ou presque périront de manière atroce.
idée intéressante mais la fin est décevante. elle tombe comme un cheveu sur la soupe.
 
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yermat | 417 autres critiques | Mar 23, 2013 |
Ce roman de Carlos Ruiz Zafón, publié deux années avant L'ombre du vent, possède déjà une partie des qualités qui lui valurent un succès et une reconnaissance internationale. Les personnages prennent immédiatement vie sous sa plume, deviennent vite attachants et l'intrigue se noue rapidement. On y trouve également le zeste de fantastique qui pimente tous les romans de l'auteur. Un défaut apparaît cependant, mais de façon mineure : certaines réactions de personnages pêchent un peu par naïveté ou manquent parfois de crédibilité. Mais cela cadre finalement pas trop mal avec la jeunesse des deux héros du livre.
Voici un bon roman qui se lit très bien et fait passer au lecteur un agréable moment : deux qualités non négligeables !½
 
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Patangel | 114 autres critiques | Feb 28, 2012 |
Barcelone, années 1920. David Martin, dix-sept ans, travaille au journal La Voie de l’Industrie. Son existence bascule un soir de crise au journal : il faut trouver de toute urgence un remplaçant au feuilletoniste dominical. Sur les conseils de Pedro Vidal, chroniqueur à ses heures, David est choisi. Son feuilleton rencontre un immense succès et, pour la première fois, David est payé pour ce qu'il aime le plus au monde : écrire. En plein succès, David accepte l’offre de deux éditeurs peu scrupuleux : produire à un rythme effréné des feuilletons sous pseudonyme. Mais après quelques années, à bout de force, David va renoncer. Ses éditeurs lui accordent alors neuf mois pour écrire son propre roman. Celui-ci, boudé par la critique et sabordé par les éditeurs, est un échec. David est d'autant plus désespéré que la jeune fille dont il est amoureux depuis toujours – et à laquelle le livre est secrètement dédié – va épouser Pedro Vidal. Son ami libraire, Sempere, choisit ce moment pour l’emmener au Cimetière des livres oubliés, où David dépose le sien. Puis arrive une offre extraordinaire : un éditeur parisien, Corelli, lui propose, moyennant cent mille francs, une fortune, de créer un texte fondateur, sorte de nouvelle Bible, " une histoire pour laquelle les hommes seraient capables de vivre et de mourir, de tuer et d’être tués, d’offrir leur âme ". Du jour où il accepte ce contrat, une étrange mécanique du meurtre se met en place autour de David. En vendant sa liberté d’écrivain, aurait-il vendu son âme au diable ? Épouvanté et fasciné, David se lance dans une enquête sur ce curieux éditeur, dont les pouvoirs semblent transcender le temps et l’espace.
 
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vdb | 417 autres critiques | Jan 24, 2012 |
Un roman agréable à lire, d'une bonne qualité stylistique, dont l'intérêt principal est le décor et l'ambiance (la Barcelone sombre et gothique, au réveil de la 2ème guerre mondiale) plutôt que l'histoire principale, finalement un peu légère et pas vraiment originale mais que l'auteur a pourtant choisi de délayer, en parsemant les révélations d'une manière qui semble artificielle.
 
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phildec | 1,041 autres critiques | Jan 4, 2012 |
Roman intéressant sans plus. L'accroche de l'édition poche "Si vous avez le malheur de lire les trois premières pages de ce roman vous n'avez plus aucune chance de lui échapper" est tout de même exagérée !
Lecture agréable parfois des superbe phrases qui en quelques mots décrivent parfaitement un personnage, une atmosphère
"Il vivait perpétuellement collé à un pipe éteinte qui répandait des effluves de marché persan"
"Le garçon acquiesça et partit en traînant les pieds, et son âme avec"
"L'haleine de la rue agitait les rideaux"
"Une horde de petits vieux courtisaient les pigeons du cru, réduisant la vie à des miettes de pain et à une attente sans but"
L'idée initiale du roman, choisir dans un lieu secret un livre qui vous marquera à jamais et influencera votre vie, est très originale et aurait pu donner un roman dense de réflexion sur le destin, le hasard, la responsabilité, les choix de vie, etc. Carlos Ruiz Zafon aborde par moment ces thèmes sans vraiment aller jusqu'au bout. L'auteur oscille entre plusieurs direction, le roman d'action un peu thriller, avec cet officier de la police espagnole, Fumero, tortionnaire, dont la seule obsession est la vengeance, le roman historique décrivant la Barcelone du début du siècle et durant la guerre civile, un roman sociologique et psychologique sur l'Espagne de cette époque, très pudibonde, catholique rigide sur les moeurs et la découverte par un jeune adolescent de l'amour. A vouloir courir tous ces thèmes, j'ai fini par m'enliser (m'ennuyer) dans un roman un peu fade, avec des rebondissements dignes d'un roman de gare ou des "Feux de l'amour", cependant très agréable à lire mais qui n'est pas arrivé à me captiver. Dommage.
 
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folivier | 1,041 autres critiques | Oct 4, 2011 |
Il est de ces romans que l'on vit comme une plongée en apnée. Pas que ce soit des chef d'oeuvre de la littérature, des romans inoubliables, mais simplement qu'au moment ou on les lit, on sent tellement d'empathie pour les personnages, on est tellement happe par l'intrigue et l'enchainement du récit qu'on en retient son souffle jusqu'à la larme d'émotion qui coule sur la dernier page.
C'est une belles histoire, ou plutôt des belles histoires, humaines et cruelles, avec le soupçon de fantastique qui donne plus de relief aux sentiments humains, aux questions qui restent sans réponses.½
 
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jackie67 | 114 autres critiques | Apr 17, 2011 |
Je n'ai pas lu l'ombre du vent et le jeu de l'ange est donc mon premier Carlos Ruiz Zafon... et le dernier?
J'avoue en effet avoir été lassée par la longueur de ce récit qui aurait gagné à être écourté et l'énigme à être plus rapidement résolue. De plus, peut-être suis-je un peu trop terre à terre, mais tout cela m'a semblé vraiment tiré par les cheveux, et ce pauvre héros pour qui on avait ressenti un peu de compassion au début du récit finit par nous agacer terriblement;
 
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PIC | 417 autres critiques | Jan 29, 2011 |
Après l'immense succès de l'ombre du vent, l'auteur a mis sept années pour publier à nouveau un livre, Le jeu de l'ange. L'histoire se déroule toujours à Barcelone, tourne toujours autour des livres et du cimetière des livres oubliés. On y croise le père et le grand père de Daniel Sempere, le héros de l'ombre du vent. La fluidité du texte égale sans soucis celle du volume précédent, on prend toujours autant de plaisir à suivre les aventures des personnages de Carlos Ruiz Zafón. Néanmoins, les ficelles utilisées sont toujours les mêmes et la surprise est du coup moins au rendez-vous. On aurait aimé que l'auteur nous surprenne plus et calque moins son intrigue sur la précédente. L'héritage de l'ombre du vent semble difficile à porter et à gérer. Espérons que l'auteur saura le digérer pour son prochain ouvrage.
 
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Patangel | 417 autres critiques | Jan 12, 2011 |
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