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Hánshān

Auteur de Montagne froide

35+ oeuvres 648 utilisateurs 11 critiques 6 Favoris

A propos de l'auteur

Crédit image: Yan Hui, Han Shan 寒山. Color on silk. Tokyo National Museum

Œuvres de Hánshān

Montagne froide (1962) 482 exemplaires
Cold Mountain Poems (1965) — Auteur — 29 exemplaires
150 Gedichte vom Kalten Berg (1974) 7 exemplaires
Encounters with Cold Mountain (1996) 5 exemplaires
108 poèmes (1985) 5 exemplaires
El Maestro del Monte Frío (2008) 3 exemplaires

Oeuvres associées

World Poetry: An Anthology of Verse from Antiquity to Our Time (1998) — Contributeur — 450 exemplaires
Riprap and Cold Mountain Poems (1958) 331 exemplaires
Zen Poems (Everyman's Library Pocket Poets) (1999) — Contributeur — 174 exemplaires
Classical Chinese Poetry (2008) — Contributeur — 130 exemplaires

Étiqueté

Partage des connaissances

Nom canonique
Hánshān
Autres noms
Cold Mountain
Date de naissance
Unclear whether he represents a real individual
Sexe
male
Nationalité
China
Pays (pour la carte)
China
Courte biographie
Legendary Ninth century Chinese figure associated with beautiful poetry of the T'ang Dynasty, known for its remarkable poetry. He is honored as an incarnation of the Bodhisattva-figure Manjusri in Zen lore.

Membres

Critiques

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/shan-108-poemes/310215

> Ce livre et celui de Jack Kerouac, The dharma bums (Les Clochards célestes), qui en fera un modèle pour les contestataires de la beat generation, puis pour les hippies.
Danieljean (Babelio)
 
Signalé
Joop-le-philosophe | Feb 20, 2021 |
> LE CHEMIN DE LA MONTAGNE FROIDE, Vie et poème d’un ermite bouddhiste…, Han Shan, trad. C. Yuen et É. Sablé. — Han Shan, poète chinois du VIIe siècle, c’est curieusement retrouvé l’un des principaux vecteur de la révolution culturelle et sociale des “beatniks”. En effet, le vieux poète ermite chinois, anticonformiste et libre de toute emprise religieuse, s’opposait aux institutions de son époque. La poésie de Han Shan offre l’enseignement direct de l’esprit en harmonie avec la nature. Les éléments nous parlent quand la dualité et ses discours sur « l’unité de toute chose » se taisent, quand nous voyons que le « voyageur perdu, regarde et regarde encore, mais ne peut voir le ciel » et quand nous voyons nos rêves et que notre « esprit est comme la lune d’automne. » Combien d’enseignements subtils en ces quelques pages ! Celui qui, en nous, « regarde et regarde encore » n’est-il pas perdu ? Nous ne savons pas regarder, contempler... « Je contemple l’essence de mon esprit, un lotus en fleur jaillit de la boue. » La vision est directe : voir la boue de tout le processus de penser, sans jugement, c’est voir l’essence de mon esprit, mais l’essence n’est pas la boue, et un lotus fleurit. La pensée dualiste, conditionnée par la séparation entre ce qui est et ce qui devrait être ne peut comprendre ces jaillissements de l’être ; nous qui ne comprenons pas, voyons que l’acte de percevoir notre propre bourbier revient à le refuser. Pour Han Shan, la vision de la vérité des apparences (la boue) et de la vérité profonde (l’essence) - en termes bouddhistes - découle de la vision pénétrante. Pour ce taoïste libre d’esprit, « la nature de Bouddha brille en toute chose ». Les éditions Terre Blanche présente de beaux et de profonds textes traditionnels. Ed. Terre Blanche, 2009
3e millénaire, (94), Hiver 2009
… (plus d'informations)
 
Signalé
Joop-le-philosophe | Apr 12, 2019 |

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