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Critiques

11 sur 11
Dans les années 1870, au temps des cerises, une gamine dessine sur le trottoir du boulevard Rochechouard. Un monsieur important remarque sa beauté et son talent. Il s'appelle Puvis de Chavannes et lui demande de poser pour lui. Dix ans plus tard, la jeune fille, qui a pris le nom de Suzanne Valadon, connaît déjà tous les peintres de la Butte Montmartre, ce quartier encore champêtre où le génie semble courir les rues. Renoir, Degas, Toulouse-Lautrec, et même Eric Satie le musicien, entrent dans sa vie. Suzanne devient leur modèle, leur muse, leur maîtresse. En marge de cette vie d'art et d'amour, elle élève le petit Maurice, enfant d'une liaison passagère avec un Catalan nommé Utrillo. Et aussi, et surtout, elle continue à peindre, magnifiquement...
 
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Dabs | 1 autre critique | Jul 31, 2023 |
Un écrivain de l'école de Brive "courant contemporain du roman de terroir".
 
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marievictoire | Mar 16, 2023 |
Périgord, 1830. Depuis l'enfance, Séverine avait toujours su que les riches terres du Paradou, et surtout son haut fourneau, lui reviendraient à la mort de son père. Elle, son frère, ne s'intéressait qu'aux vieilles pierres, et quant à Emma, sa sueur, elle se perdait dans des amours sans lendemain.
Oui, la jeune femme savait qu'elle deviendrait maître de forge à son tour, mais pas si vite, pas si tôt, à peine remise de sa séparation avec un mari volage.
Et Séverine, mélancolique, songe à ce qu'aurait été sa vie si elle avait osé épouser Pierre, son tendre compagnon d'enfance, le fils du métayer. Mais les temps changent, et si tout devenait enfin possible ?
 
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Dabs | Apr 10, 2022 |
Au crépuscule de son existence, Charlemagne livre à son secrétaire, Eginhard, le récit des riches heures de sa vie. Au long de cette confession impériale, les deux hommes revisitent ensemble le destin fascinant du premier roi des Francs sacré empereur d'Occident. Parcourir la vie de Charlemagne, c'est avant tout voir se dessiner les contours de l'Europe. Et imaginer des armées levées en masse converger vers des fleuves mythiques - l'Elbe et le Danube. A leur tête, un chef de guerre adulé, redoutable et redouté. Derrière cette représentation légendaire se révèle cependant un tout autre visage: celui d'un vieil homme attendant la mort et d'un ardent défenseur de la foi, des pauvres et de la culture. Un personnage complexe, profondément attaché à son peuple et soucieux de son sort, auquel Michel Peyramaure rend le plus vibrant des hommages.
 
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vdb | Jan 23, 2012 |
Dieu lui a donné la victoire... En moins de trois mois - mai, juin, juillet 1429 -, elle a renversé le cours de l'histoire de France: en levant le siège d'Orléans, elle a arrêté les Anglais sur la Loire; en faisant sacrer le dauphin Charles à Reims, elle a restauré la légitimité royale.
Accomplis les deux premiers points de sa mission, il lui reste à " bouter les Anglais hors de France ". C'est alors que le destin chancelle. Dans l'élan de la victoire, il fallait marcher sur Paris. Le roi tergiverse : la politique a repris ses droits. Charles VII use l'héroïne aimée du peuple en de vaines campagnes. Elle échoue devant Paris ; sous les murs de Compiègne, elle est capturée par les Bourguignons, qui la vendent aux Anglais. Alors commence son martyre, sa " passion ", qui, de forteresse en forteresse, la mènera dans la prison de Rouen et sur le bûcher de la place du Vieux-Marché après une horrible détention et un procès scandaleux où, avec une fermeté, une foi et une grandeur admirables, elle tiendra tête, seule, à l'évêque Cauchon et à l'Inquisition.
Mais les Anglais voulaient sa mort. Du milieu des flammes, elle a lancé sept fois vers le ciel le nom de Jésus. Et les assistants sanglotaient. "Nous avons brûlé une sainte ! " s'écria un soldat anglais. Déjà, elle était entrée dans la légende.
 
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vdb | Jan 23, 2012 |
Le monde entier connaît l'histoire de Jeanne la Pucelle qui sauva son pays " avec l'aide de Dieu ".
Sur toute la terre, sur tous les continents, Jeanne incarne la France. Mais sait-on qui était cette jeune fille qui, de février 1429 à mai 1431 - en deux ans seulement ! -, entre dans notre histoire pour ne cesser d'y grandir ? Michel Peyramaure n'a pas craint de faire de la petite paysanne de Domrémy l'héroïne d'un roman. Ainsi, d'épreuves en chevauchées, de sièges en batailles, à travers conflits et intrigues, ce premier tome - un autre suivra qui mènera au bûcher de Rouen - fait-il revivre, avec exactitude et vérité, la figure fascinante de Jeanne d'Arc.
" Va, Fille Dieu, va ! " disaient les voix et Jeanne allait. " Les hommes d'armes combattront et Dieu donnera la victoire ", répétait-elle. Jusqu'au jour où, après le triomphe de Reims, une autre voix se fit entendre: " Jeanne, tu ne dureras guère, un an, deux ans tout au plus. Hâte-toi... "
 
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vdb | Jan 23, 2012 |
Il a été tiré un téléfilm de L’Orange de Noël, dont on a cru bon de tirer une suite. Et l’auteur du livre original, Michel Peyramaure, a cru bon d’en tirer à son tour un livre. Que ce soient les scénaristes ou l’auteur, ils auraient tout de même pu respecter la continuité de l’histoire et ne pas ressusciter les morts…
Indépendamment du premier livre (que j’ai d’ailleurs lu ensuite), l’idée de ce livre me plaisait. Comment reconstruire une vie, une société dans un village saigné par la guerre, et l’on sait que les villages français ont payé un tribut plus lourd que les villes lors de la Première Guerre Mondiale. Mais si ce sujet est le titre du livre, il n’est pas véritablement abordé. Certes, un bal est organisé, où se rencontrent des paysannes veuves ou seules et des hommes venus de la ville, mais c’est plus une parodie de « Tournez Manège » qu’un roman qui apprendrait quoi que ce soit. Ce livre promettait plus qu’il n’a tenu, je suis déçue et l’on ne m’y reprendra pas…
 
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raton-liseur | Sep 6, 2011 |
Un roman gentillet sur l’arrivée d’une « hussarde de la République » dans un petit village de Corrèze, au tournant du XXème siècle. La belle gagnera bien sûr le respect des habitants et trouvera l’amour, mais le lecteur n’apprendra rien des conditions de vie à cette époque ni des changements qui se préparent dans notre société. Une lecture aussi vite oubliée que le livre est fermé.
 
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raton-liseur | Sep 6, 2011 |
En 1635, Catherine et Denis, deux adolescents originaires du Périgord, embarquent pour la Nouvelle-France. A cette époqe, le Canada est une contrée sauvage. Si les français ont pour amis les hurons et les Algonquins, ils doivent parer aux attaques des iroquois, alliés aux anglais...
Mais Catherine et Denis n'ont peur de rien. Ils s'aiment et c'est là qu'ils veulent s'établir.
 
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grimm | Apr 13, 2007 |
Je ne connaissais pas la vie galante (comprendre amoureuse et sexuelle) de Louis XIV. Maintenant c'est chose faite. L'intérêt de ce livre ne réside que dans cette connaissance historique d'un aspect de la vie du Roi Soleil.
Le problème, c'est que les astuces pour dévoiler l'Histoire sont un peu grossières. On voit clairement ce qui fait partie du roman, de l'imaginaire de l'auteur (ici la vie du narrateur, Nicolas) et ce qui fait partie des archives historiques (les maîtresses et favorites, les complots, les petites phrases).
 
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schwabinger | Mar 12, 2007 |
C'est à partir de 1560, en pleines guerres de religion que débutent les tentatives françaises de colonisation de la Floride. Elles se réseument à 3 expéditions. La première vise à trouver une terre d'asile pour les huguenots persécutés mais se berce aussi de faux espoirs : trouver de l'or, la fontaine de jouvence, etc...
Ces tentatives vont se heurter aux difficultés naturelles telles qu'ouragans, marécages pleins de reptiles et de moustiques porteurs de fièvres et finalement succomber suite aux faiblesses des meneurs et aux assauts des espagnols.
Le livre relate ces épisodes méconnus de l'histoire en y ajoutant quelques éléments inventés qui le rendent très agréable à lire.
 
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grimm | Jan 20, 2007 |
11 sur 11