Rohinton Mistry
Auteur de L'Equilibre du monde
A propos de l'auteur
Rohinton Mistry was born in Bombay in 1952 and immigrated to Canada in 1975. He began writing stories in 1983 while a student at the University of Toronto. His books recount everyday life in India. Titles include Tales From Firozsha Baag, a collection of short stories, and A Fine Balance, a novel. afficher plus Mistry's first novel, Such a Long Journey, received several awards, including the Governor General's Award and the Commonwealth Writers Prize for Best Book. It was also shortlisted for the Booker Prize and for the Trillium Award. (Bowker Author Biography) afficher moins
Crédit image: Eye on Books
Œuvres de Rohinton Mistry
Searching for Stevenson 3 exemplaires
The Ghost of Firozsha Baag 1 exemplaire
Passages 1 exemplaire
"Condolence Visit," "Lend Me Your Light" and "The Collectors" [I] in Coming Attractions (Vol. 4) (1st Edition) (1986) 1 exemplaire
A Fine Balance by Mistry, Rohinton (2001) Paperback 1 exemplaire
Fine Balance *Oprah #44 1 exemplaire
Oeuvres associées
Freedom: Stories Celebrating the Universal Declaration of Human Rights (2009) — Contributeur — 73 exemplaires
Bookclub-in-a-Box Discusses A Fine Balance, the Novel by Rohinton Mistry (Bookclub in a Box) (2005) 11 exemplaires
SHIVERS: House Party at Smoky Island; August; Coffins for Two; The Money Box; The Charlottetown Banquet; The… (1989) — Contributeur — 9 exemplaires
Étiqueté
Partage des connaissances
- Date de naissance
- 1952-07-03
- Sexe
- male
- Nationalité
- India (birth)
Canada (immigrated) - Pays (pour la carte)
- India
- Lieu de naissance
- Bombay, India
- Lieux de résidence
- Mumbai, India
Brampton, Ontario, Canada - Études
- University of Mumbai (BA | 1975 | St. Xavier's College | Mathematics ∙ Economics)
University of Toronto (BA | English | Philosophy) - Professions
- writer
- Prix et distinctions
- Timothy Findley Award (2005)
Neustadt International Prize for Literature (2012) - Agent
- Lucinda Vardey (Lucinda Vardey Agency)
Membres
Discussions
A Fine Balance Group Read: July 2013 à 75 Books Challenge for 2013 (Août 2013)
Critiques
Listes
Five star books (2)
1970s Narratives (1)
Favourite Books (1)
Unread books (1)
1990s (1)
Big Jubilee List (1)
To Read (1)
BBC Big Read (1)
A Novel Cure (1)
Urban Fiction (1)
All Things India (3)
Booker Prize (3)
BBC Big Read (1)
AP Lit (1)
Sense of place (1)
Asia (1)
Prix et récompenses
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Auteurs associés
Statistiques
- Œuvres
- 14
- Aussi par
- 13
- Membres
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- Popularité
- #1,634
- Évaluation
- 4.2
- Critiques
- 349
- ISBN
- 176
- Langues
- 16
- Favoris
- 105
Prends une décision, choisis - Comment faire ? Je ne suis qu’un être humain (p125)
Ils venaient d’achever leur première journée de travail chez Dîna Dalal. Soutenus, portés par le troupeau de ceux qui revenaient au logis, épuisés par dix heures de couture, ils paraferaient avec la foule la sainteté du moment, cette heure de transition entre lassitude et espoir. BIentôt il ferait nuit (..) Ils tisseraient leurs projets et rêveraient leur avenir sous les couleurs fabaorable, jusqu’à ce que revienne l’heure de reprendre le train, le lendemain matin. (P261)
On en peut tracer des lignes, délimiter des compartiments et refuser de les franchir. IL faut parfois utiliser ses échecs comme marchepieds vers le succès. Maintenir un bon équilibre entre l’espoir et le désespoir. (..) Oui répétant-il, au bout du compte tout est une question d’équilibre. (P337)
Mais personne n’oublie jamais rien en réalité, bien que parfois on prétende le contraire quand ça nous arrange. Les souvenirs sont permanents. Les douloureux demeurent tristes, malgré les années, quant aux heureux, on ne peut jamais les recréer - pas avec la même joie. La mémoire entretient sa propre affliction. Et cela paraît si injuste :que le temps transforme tristesse et bonheur en une source de douleur. (P486)
Maintenant je préfère croire que Dieu est un géant qui fabriquait un patchwork. Avec une infinité de motifs. Et le patchwork a tellement grandi qu’on n’en peut plus discerner le modèle ; les carrés, les rectangles et les triangles ne s’emboîtent plus les uns dans les autres, tout ça n’a plus de sens. Alors, Il a abandonné. (P492)
C’était ça la vie ? Ou bien une cruelle plaisanterie ? Il ne croyait plus au juste équilibre des plateaux de la balance. QUe sa casseroile fût remplie, qu’elle contienne de quoi subvenir à ses besoins lui suffisait. Il n’’espérait rien de mieux du Faiseur de l’Univers. (P509)
Dans le meilleur des cas la démocratie consiste en un équilibre entre le chaos total et la confusion tolérable (p538)
Il avait du faire un faux mouvement à un moment quelconque de sa vie (p602)
Tu sais, le visage humain est une surface limitée. SI tu remplis ta figure de rire, il n’y aura plus de place pour les larmes. (..) Mais ça ne veut pas dire que nous ne sommes pas tristes. Ca ne se voir peut-être mais c’’est enfoui là à l’intérieur. Il mit la main sur son cœur. Là il y’a un espace illimité bonheur, gentillesse, chagrin, colère, amitié, tout a sa place là. (P636)
Des monstres, voilà ce que nous sommes - tous.. (..) Niassance et mort que peut-il y avoir de plus monstrueux ? Nous nous plaisons à nous tromper nous-mêmes, à parler de beauté, de merveille, de majesté mais c’est tout bonnement grotesque, reconnaissons le. (P663)
[A propos du patchwork chaque morceaux étant lié à un moment de leur vie …]
Voilà la règloe qu’il faut se rappeler : l’ensemble est beaucoup plus l’important que chaque pièce qui le compose. (P705)
L’avenir devenait efffectivement passé, tout s’évanouissait dans le néant, et quand on essayait de rattraper quelque chose on récoltait quoi ? Un bout de ficelle, des vieux morceaux de tissu, ombres de l’âge d’or (p706)
C’est ce que je ressens toujours après avoir assisté à une crémation - une plénitude, un calme, un équilibre parfait entre la vie et la mort. (P727)
Il est impossible de se fier au temps - quand je veux qu’il file, les heures se collent à moi comme de la glu. Et il a un caractère très changeant. Le temps est le fil qui ligote nos vies en paquets d’années et de mois. Oui un élastique qui s’étire selon le bon vouloir de notre imagination. Le temps peut être le joli ruban qui orne les cheveux d’une petite fille. ou les rides sur un visage, ou celui qui vous vole le teint et les cheveux de votre jeunesse.. Mais pour finir le temps est un noeud coulant passé autour du cou qui vous éttrangle lentement. (P742)
Qui sommes-nous pour trancher de la question du bien et du mal ? Il arrive que pour une fois les plateaux paraissent s’équilibrer. (P797)
Il y a toujours de l’espoir pour équilibre notre désespoir. SInon nous serions perdus (p808)
Après tout nos vies ne sont qu’une succession d’accidents - une chaîne cliquetante d’incidents hasardeux. Une ligne de choix inopinés ou délibérés, qui s’ajoutent à cette calamité majeure que nous appelons la vie (p809)
Perdre, perdre encore et toujours, telle est la base même du processus de vie, jusqu’à ce qu’il ne nous reste plus que l’essence nue de l’existence (p812)
Tout comme le temps engloutit les effort et la joie des humains. Le temps cet ultime grand maître qui ne pourrait jamais être mis en échec et mat. Aucune voie n’existait hors de son ventre distendu. Il lui fallait anéantir la méprisable créature. (P842)
Le monde avait-il un sens ? Où était Dieu, ce Sacré Imbécile ? Ne possédait-Il aux une notion de justice et d’injustice ? Ne savait-Il pas lire un simple bilan ? (P854)
Il faudra qu’un jour vous me racontiez l’histoire de votre vie, pleine et entière, ni abrégée ni expurgée. .. C’est très important. (..) C’est très important parce que ça aide à se rappeler qui on est. Après quoi on peut aller de l’avant, sans crainte de se perdre dans ce monde en perpétuel changement. (P867)… (plus d'informations)