Norman MailerCritiques

> L'Express : https://www-lexpress-fr.cdn.ampproject.org/c/s/www.lexpress.fr/culture/livre/mem...

> Nuit blanche, No. 8 (hiver 1983), p. 41. … ; (en ligne),
URL : https://id.erudit.org/iderudit/1675ac

> Par LEXPRESS.fr : Le Chant du bourreau par Norman Mailer
01/11/2005 ... Reconstitution de la vie de l'Américain Gary Gilmore, des circonstances qui en ont fait un assassin à sa décision en 1977 d'accepter sa condamnation à mort.
____________________
Norman Mailer, Le chant du bourreau, traduit de l'américain par Jean Rosenthal, Laffont (1980), 1312 pages

Roman touffu, langage violent et cru, qui m'a déconcertée, histoire à rebondissements, difficile à suivre pour mes neurones ! j'ai eu du mal à aller jusqu'au bout, tout en me disant que Norman Mailer, tout de même, ce n'est pas le premier venu des écrivains !

C'est malheureux pour ma première lecture de Norman Mailer. La quatrième de couverture posait la question suivante: Norman Mailer a tenté comme Truman Capote avec De sang froid de faire un chef d'oeuvre avec un fait divers, a-'t-il réussi son pari? Je suis au regret de dire, qu'en dehors de la taille de l'ouvrage qui force l'admiration, la lecture est assomante au possible. Je ne suis pas entrée un seul moment dans cette histoire, et c'est bien laborieusement que je suis arrivée à la page 152...

Comme souvent, après la jaquette très accrocheuse, on reste un peu sur sa faim...il ne s'agit pas d'un roman historique, il est certaienement bien documenté mais reste avant tout un roman. Néanmoins c'est un livre agréable à lire.