Suzanne Lilar (1901–1992)
Auteur de Le couple
A propos de l'auteur
Crédit image: Photo of Suzanne Lilar taken by her daughter, Marie Fredericq-Lilar
Œuvres de Suzanne Lilar
Le malentendu du deuxième sexe 5 exemplaires
Soixante ans de théâtre belge 2 exemplaires
The Belgian theater since 1890 1 exemplaire
Étiqueté
Partage des connaissances
- Nom canonique
- Lilar, Suzanne
- Nom légal
- Verbist, Suzanne-Jeanne-Charlotte
- Date de naissance
- 1901-05-21
- Date de décès
- 1992-12-11
- Sexe
- female
- Nationalité
- Belgium
- Lieu de naissance
- Ghent, Belgium
- Lieu du décès
- Brussels, Belgium
- Lieux de résidence
- Antwerp, Belgium
- Études
- Ghent University
- Professions
- playwright
novelist
essayist
autobiographer
lawyer - Relations
- Fredericq-Lilar, Marie (daughter)
- Prix et distinctions
- Belgian Royal Academy of Language and Literature
- Courte biographie
- Suzanne-Jeanne-Charlotte Verbist was de eerste vrouw die rechten studeerde aan de Gentse universiteit en de eerste advocate aan de Antwerpse balie.
Suzanne Lilar, née Verbist, was a Flemish Belgian essayist, novelist, and playwright writing in French. She trained as a philosopher and lawyer, and was the first woman in her country to receive a law degree. She became the wife of the Belgian Minister of Justice Albert Lilar and mother of the writer Françoise Mallet-Joris and the art historian Marie Fredericq-Lilar. Her 1960 novel La confession anonyme (The Anonymous Confession) was adapted as a film called Benvenuta in 1983. She also wrote two autobiographical books, Une enfance gantoise (A Ghent Childhood, 1976) and À la recherche d’une enfance (In Search of a Childhood, 1979).
Membres
Critiques
Prix et récompenses
Statistiques
- Œuvres
- 11
- Membres
- 88
- Popularité
- #209,356
- Évaluation
- 4.1
- Critiques
- 3
- ISBN
- 16
- Langues
- 2
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Lilar-Le-couple/960601
> Lilar Suzanne, La Nouvelle Revue des Deux Mondes, (NOVEMBRE 1975), pp. 291-303
> Un système de l’amour ne mérite ce nom que pour autant qu’il fasse apparaître la liaison entre le désir physique d’un corps déterminé et le désir métaphysique d’échapper à toute détermination et de reconstituer — ne serait-ce que par éclair — l’Unité perdue. (Albert SARALLIER)
--Clés, (12), (Juillet-Août 1990), p. 49… (plus d'informations)