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Michel Jean (1) (1960–)

Auteur de Kukum

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8 oeuvres 177 utilisateurs 8 critiques

A propos de l'auteur

Crédit image: Michel Jean

Œuvres de Michel Jean

Kukum (2019) 89 exemplaires
Tiohtiá:ke (2021) 23 exemplaires
Le vent en parle encore (2015) 20 exemplaires
Atuk, elle et nous (2012) 19 exemplaires
Amun (1900) — Directeur de publication — 12 exemplaires
Wapke (2021) — Directeur de publication — 9 exemplaires
Envoyé spécial (2008) 3 exemplaires
La Belle Mélancolie (2015) 2 exemplaires

Étiqueté

Partage des connaissances

Date de naissance
1960
Sexe
male
Nationalité
Canada

Membres

Critiques

C'est un magnifique ouvrage que nous offre Jean: à la fois un hommage à son arrière-grand-mère et à son peuple innu. J'ai eu l'impression d'être dépaysée en voyageant sur les terres ancestrales des Innus, aussi bien au Pékauwaka qu'aux terres de chasse autour du Péribonka. Il nous communique l'amour d'Almanda pour sa famille, ses coutumes, sa langue et son mode de vie. Il nous fait aussi apprécier la rapidité avec laquelle la colonisation a coupé les Innus avec leurs valeurs en moins de deux générations. Certains passages sont très durs, mais le texte reste doux et il y subsiste une lueur d'espoir.
Un livre à découvrir!
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½
 
Signalé
Cecilturtle | 3 autres critiques | Nov 8, 2023 |
Michel Jean est un auteur qui commence à avoir une belle audience, mais j’étais complètement passée à côté de son œuvre jusqu’à présent. Je le découvre donc avec ce livre, dont le titre difficile à prononcer (et donc sous-titré Montréal par l’éditeur français puisque « Djiodjiagué » est le nom de la ville en mohawk).
Dans ce livre, on suit Elie Mestenapeo, tout juste sorti de prison et banni de la communauté où il a toujours vécu du fait de son crime. Ne lui restent alors plus que les rues de Montréal. Au fil de ses expériences et de ses rencontres, le lecteur apprend à connaître une face de la ville qui est bien sûr rarement mise en avant.
Le livre se lit facilement, mais j’ai un peu l’impression que l’auteur évite les moments difficiles par des ellipses littéraires. Et puis tout cela me paraît en fait un peu trop gentil par rapport à ce que j’imagine que la réalité peut être. C’est peut-être un peu dur de le dire comme cela, mais j’ai un peu l’impression d’avoir lu du Comtesse de Ségur où les gentils sont toujours gentils et tout s’arrangera pour eux, et les méchants ne sont pas vraiment méchants après tout.
C’est donc un bon livre pour une introduction à une réalité compliquée et difficile à affronter, pour commencer à ouvrir les yeux sans que ce soit trop difficile à lire. Je crois que cette écriture un peu édulcorée n’est pas pour moi, mais je vois tout à fait le lectorat qui pourra apprécier ce bouquin.

Merci aux éditions Seuil et à leur (plus si nouvelle) collection Voix autochtones de m’avoir permis de découvrir ce livre, via netgalley.
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1 voter
Signalé
raton-liseur | 1 autre critique | Oct 18, 2023 |
Des jeunes de 6 à 16 ans autochtones sont séparés de leurs parents et transportés dans des couvents à Fort Georges dans les années 1932. Plusieurs subiront des maltraitance et des abus sexuels par les frères et les soeurs du couvent
 
Signalé
JasmineG | Apr 28, 2022 |
Éloi , jeune amérindien, qui est accusé du meurtre de son père passe 10 ans en prison. À sa sortie, il s’en va à Montréal où il se fait plusieurs amis parmi les autochtones et rencontre Lisbeth. Celle-ci demande à une avocate de faire des recherches sur ce meurtre et finalement ce n’est pas lui qui a tué son père mais c’est sa mère. Il termine ses études comme avocat et Lisbeth comme médecin
 
Signalé
JasmineG | 1 autre critique | Jan 29, 2022 |

Listes

Prix et récompenses

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Statistiques

Œuvres
8
Membres
177
Popularité
#121,427
Évaluation
½ 4.3
Critiques
8
ISBN
31
Langues
3

Tableaux et graphiques