Photo de l'auteur
1,076+ oeuvres 59,487 utilisateurs 549 critiques 43 Favoris

Critiques

Anglais (321)  Danois (82)  Français (56)  Espagnol (42)  Néerlandais (18)  Allemand (12)  Portugais (Portugal) (6)  Italien (4)  Finnois (3)  Portugais (Brésil) (1)  Hongrois (1)  Portugais (1)  Toutes les langues (547)
Affichage de 1-25 de 56
 
Signalé
Martyne | Mar 23, 2024 |
Je me suis bien amusée à la lecture de ce tome de Lucky Luke. De l’humour tout simple, pas désagréable, un bon petit scénario tout simple (à la limite du simpliste) mais bien ficelé. Et elle est marrante cette Ma Dalton entre sentiments maternels et chef d’une bande de hors-la-loi.
Je me suis laissée dire que c’est une des BD de la bonne période de Lucky Luke, celle où Morris et Goscinny étaient aux manettes, et que tout n’est pas du même acabit. Ma très petite expérience ne me permet pas de porter un jugement éclairé, mais pour ce tome, je n’ai pas boudé ma petite demi-heure de plaisir facile et de petit sourire au coin des lèvres.
 
Signalé
raton-liseur | 2 autres critiques | May 5, 2015 |
Je n’ai jamais été une grande amatrice d’Astérix. Les personnages sont sympathiques, j’en connais beaucoup, mais je crois que l’humour gaulois m’échappe. Et il paraît qu’il s’agit ici d’un des premiers livres de la série, dans laquelle les auteurs sont encore en mode rodage. Alors j’ai souri, oui (sauf à quelques allusions datées dont je n’ai pas tout compris comme l’affaire du courrier de lyon, dont je ne maitrise pas les tenants le les aboutissants), mais sans plus.
Un livre emprunté à la bibliothèque par P’tit Raton qui veut découvrir les sommités de la culture française. Il semble qu’il a aimé même si je suis sûre qu’il a encore moins compris les blagues que moi, mais l’idée du champagne brut dans une amphore lui a plu, alors que demander de plus ?
 
Signalé
raton-liseur | 17 autres critiques | Oct 28, 2014 |
Toute la tendresse de Sempé et Goscinny.
 
Signalé
Dug87 | 10 autres critiques | Feb 3, 2014 |
La suite des aventures de Nicolas, toujours aussi drôles.
 
Signalé
Dug87 | 5 autres critiques | Feb 3, 2014 |
Toujours touchant et drôle, ce petit Nicolas ravit grands et petits.
 
Signalé
Dug87 | 35 autres critiques | Feb 3, 2014 |
C'est toujours un plaisir de retrouver le Petit Nicolas et ses copains. Avec l'âge, ce sont les personnages adultes qui m'intéressent et me font rire de plus en plus - ce qui démontre bien que cette série est agréable pour toutes les générations! Ce qui est aussi fabuleux, c'est que les histoires, les personnages et les décors ne prennent pas une ride, même le vocabulaire survit le passa du temps: un signe clair que ces livres sont désormais des classiques! Un délice...
 
Signalé
Cecilturtle | Sep 29, 2013 |
Où l'on découvre le chinatown de San Francisco et les Dalton se faiseant passer pour des chinois...
 
Signalé
CHINEDESENFANTS | 3 autres critiques | Jul 29, 2012 |
L'excellent début d'une série incontournable
 
Signalé
shakenhanska | 36 autres critiques | Jun 27, 2012 |
Les histoires vont de tout a fait moyenne à franchement amusante. Mais quoi qu'il en soit c'est une série plaisante et relaxante a lire.
 
Signalé
lunarkin | Feb 7, 2012 |
Les histoires vont de tout a fait moyenne à franchement amusante. Mais quoi qu'il en soit c'est une série plaisante et relaxante a lire.½
 
Signalé
lunarkin | Feb 7, 2012 |
J'ai toujours plaisir à retrouver le Petit Nicolas et ses aventures. Ce recueil ne fait pas exception, mais j'ai senti l'imitation (la fatigue peut-être) dans cette série : beaucoup de répétition et peu de nouveauté. Il m'a semblé que quelque chose clochait : on dirait que le vocabulaire a été modernisé pour l'adapter au goût du jour : impression ou réalité? Il n'en reste pas moins que certains passages m'ont fait rire aux éclats - la magie n'a donc pas complètement disparue!½
 
Signalé
Cecilturtle | 1 autre critique | Dec 14, 2011 |
Il y a quelques nouvelles histoires dans cette série qui se démarquent bien des autres, et elles sont absolument hilarantes. Alors que nous les lisions en famille, les rires fusaient : il était difficile de continuer l'histoire. Nous avons même eu une crise de fou rire qui a été difficile à contrôler... bref un fabuleux moment à partager et des histoires indémodables, malgré le temps qui passe!
 
Signalé
Cecilturtle | Nov 19, 2011 |
Le Petit Nicolas me fera toujours rire, et dans cette collection d'histoires, on le retrouve tel qu'il a toujours été : espiègle, rigoleur, vif et attachant. C'est vrai que l'on a l'impression d'un « déjà vu » : les histoires sont toutes calquées sur le même modèle avec la répétition des caractéristiques (Alceste qui mange tout le temps, Agnan qui est le chouchou de la maîtresse, Eudes qui a les genoux sales, etc.), mais c'est aussi le charme de retrouver de vieux amis qui, paradoxalement, ne vieillissent pas. Avec un petit clin d'œil aux adultes, qui, eux, ont une toute autre perception des aventures de Nicolas et de ses copains.
 
Signalé
Cecilturtle | 9 autres critiques | Nov 3, 2011 |
L'histoire commence lorsqu' Abraracourcix, notre chef, aprend par son frere, que son neveu de Lutèce, Goudurix, doit debarquer au village avec pour mission d'en faire un homme (un vrai gaulois quoi !). Astérix et Obélix sont tout désigné pour s'occuper de ce jeune citadin... Au meme moment, on fait la connaissance des Normands, valeureux guerriers du grand Nord... Ces barbares sont si brave, qu'ils ne connaissent pas la peur... Mais leur chef, Grossebaf, aimerait bien la connaitre car il parait qu'elle donne des ailes et que l'on peut voler... C'est ainsi que les Normands décident de partir vers d'autre rivages pour apprendre "la peur"... Et il se trouve que nos Gaulois n'ont peur que d'une chose : "que le ciel leur tombe sur la tête..." mais Goudurix, lui, est un champion de la peur...½
 
Signalé
vdb | 11 autres critiques | Jun 10, 2011 |
Abraracourcix et Bonemine se rendent à Lutèce chez le frère de cette dernière, Homéopatix, qui est un riche commerçant. Astérix et Obélix les accompagnent mais, lors du repas du soir, le chef du village et Obélix se retrouvent saoûls et prétendent dans leur moment d'ivresse pouvoir voler la couronne de lauriers de Jules César (« Farpaitement ! »). Homéopatix met au défi Astérix et Obélix de le faire.½
 
Signalé
vdb | 6 autres critiques | Jun 7, 2011 |
Pour ne pas payer ses impôts, Moralélastix un chef gaulois avare dépose tout l'argent de sa commune dans un chaudron et demande à Abraracourcix de le garder dans son village jusqu'au passage du questeur romain. Abraracourcix accepte mais dans la nuit, le chaudron gardé par Astérix est dérobé. Le Conseil du village est alors contraint, en raison du code d'honneur gaulois, de le bannir, et Astérix doit alors remplir le chaudron à nouveau pour effacer sa faute et être autorisé à regagner les siens, accompagné d'Obélix, qui ne veut pas le laisser aller seul.
 
Signalé
vdb | 5 autres critiques | Jun 7, 2011 |
Nous sommes en 45 avant Jésus-Christ. Toute la région de Munda (Montilla) en Hispanie est occupée par les Romains... Toute ? Non ! Un village peuplé d'irréductibles Ibères résiste encore et toujours à l'envahisseur. Jules César enlève donc Pépé, fils de Soupalognon y Crouton, le chef du village, et l'envoie à Babaorum, une garnison armoricaine, pour le protéger. C'était sans compter sur les voisins immédiats du camp retranché. Effectivement, Astérix et Obélix libèrent Pépé et décident de le ramener en Hispanie.½
 
Signalé
vdb | 12 autres critiques | Jun 7, 2011 |
Terrorisés par un violent orage, les habitants du village se sont réunis dans la hutte de leur chef. L'arrivée d'un étranger hautain vêtu d'une peau de bête provoque de prime abord la panique générale. Celui-ci prétend être un devin, et profitant de la crédulité de ses hôtes et de l'absence de leur druide, prend rapidement un ascendant considérable sur les villageois, à l'exception d'Astérix qui reste sceptique. Bientôt les Romains cherchent à tirer parti de la situation.½
 
Signalé
vdb | 5 autres critiques | Jun 7, 2011 |
Le druide Panoramix a brisé sa serpe d’or. Le village se retrouve alors en danger, car le gui, ingrédient essentiel de la potion magique, n'a de propriété magique que cueilli avec une serpe d’or. Astérix et Obélix partent donc lui en chercher une nouvelle à Lutèce, où ils apprennent la disparition d’Amérix, le marchand de serpes, un cousin d’Obélix…
 
Signalé
vdb | 14 autres critiques | Jun 7, 2011 |
Au début de l’album, l’inspecteur général Lucius Fleurdelotus arrive au camp romain de Petibonum et informe le centurion Nenjetéplus qu’il est mandé par Jules César pour s’occuper de l’irréductible village gaulois.
Mais après une défaite contre les Gaulois, Lucius Fleurdelotus est convaincu que les Gaulois ne peuvent pas être vaincus et décide de les isoler en construisant une palissade autour du village. Lorsqu’Astérix découvre la palissade, il lance un défi à l’envoyé spécial de Jules César : avec Obélix, il franchira la palissade, fera le tour de la Gaule et ramènera comme preuves des spécialités gastronomiques des villes gauloises.
Astérix et Obélix profitent d’une diversion du reste du village pour partir vers Rotomagus (Rouen). Peu après leur entrée dans la ville, ils sont reconnus par une patrouille, fuient vers la Seine et profitent d’un bateau loué par un couple en croisière pour aller vers Lutèce (Paris). Après avoir acheté du jambon de Lutèce, ils fuient les patrouilles romaines en achetant un char d’occasion qui perd sa roue peu après être sorti de la ville. Ils volent un char de dépannage à un Romain (Tikedbus) pour arriver à Camaracum (Cambrai). Ils y achètent des bêtises mais se retrouvent coincés par une patrouille romaine. S’ensuit une bataille. Le marchand de bêtises devient la première personne à aider Astérix et Obélix dans leur pari en retenant les légionnaires le plus longtemps possible. Sur la route vers Durocortorum (Reims), ils découvrent un char en panne, celui pour lequel le char de dépannage que conduisent les deux héros avait été appelé. Ils dupent le Romain attendant près du véhicule pour passer un barrage puis l’abandonnent au bord de la route. Astérix et Obélix achètent des amphores de vin à Durocortorum (Reims) puis se dirigent vers Divodurum (Metz). Alors qu’ils passent par une forêt, Obélix est attiré par l’odeur de sangliers vers la maison de Quatrédeusix, qui trahit les Gaulois en les dénonçant aux Romains. Mais, Obélix étant parti en forêt chasser du sanglier, seul Astérix est attrapé. Obélix part ensuite pour Divodurum (Metz) où il se fait mettre en prison pour pouvoir libérer Astérix. Les deux Gaulois partent ensuite dans un char postal pour aller vers Lugdunum (Lyon). Ils y sont accueillis par de nombreux légionnaires mais sont aidés par Beaufix, le chef clandestin de la ville, qui perd la garnison dans un labyrinthe de ruelles (les traboules). Il offre du saucisson et des quenelles à Astérix et Obélix avant qu’ils ne partent pour Nicae (Nice). Après de longs embouteillages sur la voie romaine n°VII, ils arrivent à Nicae où ils achètent une salade nicaeoise. Repérés par une patrouille romaine, ils fuient sur une plage bondée et empruntent une barque à un vacancier pour aller jusqu'à Massilia (Marseille). Ils y récupèrent une bouillabaisse auprès de César Labeldecadix, qui aide ensuite les deux Gaulois en retenant les Romains (au cours d’une mémorable partie de pétanque) pendant qu’ils quittent la ville pour Tolosa (Toulouse). Les deux Gaulois marchent jusqu’à ce qu’il fasse nuit noire puis s’endorment. En se réveillant, ils découvrent qu’ils se sont endormis au milieu d’un camp romain. Ils commencent par se défendre puis se laissent attraper lorsqu’ils apprennent que les Romains ont l’intention de les amener à Tolosa, ce qui leur permet d’y acheter facilement des saucisses. Ils poursuivent ensuite leur route vers Aginum (Agen). À Aginum, les Gaulois sont invités par Odalix, un traître gaulois, à manger dans son auberge. Ce dernier leur donne un petit paquet de pruneaux1. Cependant, Astérix, méfiant, force Odalix à goûter le premier ses sangliers et découvre ainsi qu'ils sont remplis de somnifères. Dans leur route vers Burdigala (Bordeaux), ils se font voler leur sac contenant les spécialités régionales par Radius et Plexus, deux voleurs romains. Les deux voleurs se font capturer et sont pris pour Astérix et Obélix. Les deux vrais Gaulois vont chercher leur sac de victuailles alors que les voleurs sont sur le point d’être exécutés, provoquant une émeute. Ils retournent ensuite vers l’Armorique à bord du bateau du capitaine Changélédix, transportant des menhirs. Ils croisent et, conformément à la tradition, coulent les pirates puis arrivent à Gésocribate (Le Conquet) d’où ils retournent à leur village. Ils présentent alors le banquet à Fleurdelotus, en y ajoutant la spécialité du village : la châtaigne.½
 
Signalé
vdb | 17 autres critiques | Jun 7, 2011 |
Jules César nargue Cléopâtre : les Romains construisent des temples et des forums magnifiques alors que les Égyptiens ne construisent plus rien depuis les pyramides. Vexée, Cléopâtre charge son architecte Numérobis de bâtir un palais pour César en trois mois. Pour Numérobis, sa seule chance de venir au bout de cette tâche malgré l'obstruction des Romains est de demander l'aide de son vieil ami Panoramix. Le druide part donc pour l'Égypte lui prêter main-forte, accompagné d'Astérix et Obélix. A noter, que c'est dans cet album que Panoramix donne pour la première fois de la potion magique à Obélix.½
 
Signalé
vdb | 14 autres critiques | Jun 7, 2011 |
Affichage de 1-25 de 56