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Critiques

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13 sur 13
Très bien écrit, plein de verve et d’humour. L’auteur s’attache curieusement plus à des détails du voyage qu’à l’ambiance et à la culture belges. Un récit très littéraire qui n’en apprendra pas forcément beaucoup sur Anvers.
 
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corporate_clone | May 2, 2021 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Gautier-Les-vacances-du-lundi/823148

> Au milieu du XIXe le voyage «aux Alpes» est à la mode. Et sur ce sujet la littérature de l'époque est abondante. Son voyage le conduira de Genève à Hospital, du mont Blanc au Cervin. Il traversera des contrées savoyardes : Bonneville, Cluses, Sallanches, Saint Martin, Chamonix.
Danieljean (Babelio)
 
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Joop-le-philosophe | Feb 18, 2021 |
> Gautier, Théophile. Emaux et camées. Avec une iconographie rassemblée et commentée par Madeleine Cottin. Paris: Minard, 1968. Pp. 226. 48 F.
Se reporter au compte rendu de René MERKER
In: The French Review, Vol. 43, No. 2 (Dec., 1969), p. 345… ; (en ligne),
URL : https://drive.google.com/file/d/1_h7sD4XZZNL_DaqAQqKMNA0zjgV1Z62H/view?usp=shari...

> Gautier, Théophile, Emaux et Camées, éd. par Jean Pommier. Textes littéraires français. Libr. Droz, 1945. xv + 146 pp. Bibliogr. (p. 135-144).
Se reporter au compte rendu de M. DENKINGER
In: The French Review, Vol. 21, No. 6 (May, 1948), p. 513… ; (en ligne),
URL : https://drive.google.com/file/d/1BHf8VjdOfHGmR9oJh0jRujOpM6SGK6Bs/view?usp=shari...

> Gallica : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55679961/f144.item

> Cottin Madeleine. ÉMAUX ET CAMÉES, MUSÉE DE POCHE.
In: Cahiers de l'Association internationale des études francaises, 1966, n°18. pp. 215-226. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/caief_0571-5865_1966_num_18_1_2319
 
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Joop-le-philosophe | Jan 21, 2021 |
> Par Adrian (Laculturegenerale.com) : Les 150 classiques de la littérature française qu’il faut avoir lus !
07/05/2017 - « Le magicien ès lettres françaises » (selon Baudelaire) livre ici un roman qui précède son propre voyage. Qu’importe, Gautier a l’art de faire renaître dans un style magnifique les époques perdues.

> Un roman captivant qui mêle histoire et amour, un voyage au cœur de la civilisation fabuleuse des pharaons, un classique passionnant ! Nouvelle présentation. À partir de 11 ans.
--Revue de presse
 
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Joop-le-philosophe | 11 autres critiques | Jan 27, 2019 |
> On connaît Théophile Gautier (1811-1872), grand romancier et poète romantique, auteur de Mademoiselle Maupin, du Capitaine Fracasse, du Roman de la Momie et des célèbres vers du recueil Émaux et camées. Ses travaux de critique d’art et de fervent défenseur des beaux-arts méritent amplement d’être redécouverts. C’est ce que propose cette réédition illustrée et annotée du guide du musée du Louvre, rédigée par Gautier en 1867, alors que la seconde Exposition universelle de Paris ouvrait ses portes.
À travers une prose chatoyante, l’auteur nous invite à parcourir les salles et galeries de ce « sanctuaire de l’art » pour découvrir sous son œil d’esthète avisé les collections telles qu’elles s’offraient au public sous le Second Empire. Des différentes écoles de peinture (française, italienne, hollandaise et flamande, mais aussi espagnole), selon un choix que seule guide la délectation visuelle, il donne une lecture qui, loin de s’encombrer d’érudition, favorise une approche directe de la forme et du coloris. Authentique entreprise de vulgarisation, ses descriptions vivantes, relevées d’anecdotes et de détails inattendus, constituent une initiation réjouissante à l’histoire de la peinture de la Renaissance au XIXe siècle. Par ses partis pris esthétiques, ce texte nous dévoile le musée imaginaire de Théophile Gautier : son goût des grands maîtres italiens de la Renaissance, son admiration pour le réalisme hollandais et particulièrement pour Rembrandt, son inclinaison pour les artistes de son siècle (Gros, Girodet, Géricault…).
—admincb (Culturebox)
 
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Joop-le-philosophe | Jan 13, 2019 |
En 100-150 mots, pourquoi ce livre? (Ici, vous devez décrire les circonstances de votre expérience de lecture : quel est le contexte qui vous a poussé à faire ce choix? Ce sont les autres parties qui porteront davantage sur ce que vous en avez pensé.) :
J’ai toujours été passionné par l’histoire ancienne, en particulier celle de l’Égypte. Cet été, j’ai effectué plusieurs recherches dans l’espoir de trouver un roman où l’action se déroulerait à une époque lointaine, à l’aire des pharaons et de la mythologie égyptienne. Je n’avais jamais lu de roman traitant de ce sujet, mis à part de nombreux ouvrages documentaires et je souhaitais me plonger dans cet univers par l’entremise de la prose d’un écrivain. C’est ainsi que je suis tombé sur ce roman, écrit en 1858 par Théophile Gautier. J’étais très enthousiaste, car je suis également passionné d’artéfacts anciens et ce livre, écrit au 19e siècle me permettrait de lire un auteur ayant vécu une autre réalité que la mienne aujourd’hui, au 21e siècle. J’ai cherché dans l’application iBook, et il était là, à mon grand bonheur.

En 75-100 mots, un premier aspect qui m’a plu :
J’ai apprécié les longues descriptions qui permettent de se faire une image très claire du contexte physique. En effet, l’auteur décrit avec une précision presque maniaque les lieux, les objets et les personnages, et ce, tout au long du texte. Bien que cela pourrait sembler lourd pour certains, j’ai aimé pouvoir me plonger pleinement dans l’univers physique du roman. J’ai trouvé que cela avait pleinement sa place dans une oeuvre qui se passe dans un contexte si différent de ce que l’on connaît aujourd’hui au 21e siècle.

En 75-100 mots, un second aspect qui m’a plu :
L’auteur a pris soin d’élaborer un long prologue précédant l’histoire qui prépare très bien le contexte dans lequel le roman se développe. Au départ, j’ai cru être entré dans le coeur d’une histoire de chercheurs de tombeaux anciens. À la fin du prologue, j’ai compris que l’histoire qui suivait découlait plutôt d’une découverte surprenante par des chercheurs contemporains. Le roman n’est donc pas entièrement de Théophile Gautier… J’ai donc eu le plaisir de lire un roman bien plus ancien que je ne le croyais!

En 75-100 mots, aspect qui m’a moins plu :
La structure générale de l’oeuvre n’est pas toujours claire, ce qui rend difficile le positionnement exact du récit de l’histoire. Bien que cela soit certainement dû à la découverte mentionnée plus haut (que je ne dévoilerai pas pour protéger l’intrigue initiale), il reste que j’ai trouvé certaines parties du texte plus ardues à lire. Il a fallu que je relise quelques chapitres deux fois pour mieux me situer dans l’histoire. Outre cela, j’ai beaucoup apprécié ce roman historique, qui a éveillé en moi beaucoup de curiosité.

En 225-250 mots, l’objet numérique : (ici, vous devez faire l’analyse des attributs et des fonctions liés à la lecture en format numérique, selon leur pertinence, voire leur absence :
a. Fonctions liées à l’affichage et à l’annotation
J’ai bien apprécié les différentes fonctions liées à la lecture en numérique dans l’application iBook. D’abord, la possibilité de tourner l’angle du iPod afin de lire à la verticale ou l’horizontale m’a beaucoup plu. Dans iBook, il est possible de choisir entre 8 polices différentes. La possibilité de changer la taille de la police à ma guise a été aussi bien pratique. Une autre fonction que j’ai beaucoup appréciée est celle de la possibilité de changer la couleur de l’arrière-plan. L’application iBook offre 4 choix : blanc, beige, gris et noir. Pour tourner les pages, il suffit de passer le doigt horizontalement dans la direction voulue, ou encore de taper à droite ou à gauche de l’écran. Il est possible d’annoter et de surligner le texte, simplement en maintenant le doigt enfoncé sur un mot. Il est également possible d’effectuer une recherche de termes dans tout le texte, et d’insérer plusieurs signets à travers le texte. Une table des matières est également visible sous l’onglet “Contenu”.

b. Fonctions hypertextuelles
La navigation à travers l’application est assez simple, il n’y a pas énormément de fonctionnalités. Chaque note inscrite dans le texte est renvoyée sous l’onglet “notes” et il est alors aisé de voir simultanément toutes les notes inscrites. Avec iBook, il est possible d’avoir accès à plusieurs ressources simultanément, c’est à dire des livres de sources différentes et de créer sa propre bibliothèque virtuelle dans un seul endroit. Je n’ai pas remarqué de renvois externes lorsque je suis dans le fichier d’un livre comme tel.
 
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karl6344a15 | 11 autres critiques | Oct 13, 2015 |
Dans ce récit, Théophile Gautier raconte ses voyages en Espagne dans ses différentes régions, nous décrit les églises, parle en fin connaisseur de l'art espagnol: théâtre, peinture et sculpture.
 
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ancilla | 1 autre critique | May 19, 2015 |
On comprend aisément que Charles Baudelaire ait dédié ses Fleurs du mal à Théophile Gautier en lisant ces récits fantastiques.
L'écriture est très riche, poétique, colorée et sensuelle. La beauté de la femme y est célébrée de bout en bout et la mort toujours liée à l'amour. Beaucoup d'originalité, d'inventivité dans l'écriture où la tragédie côtoie la comédie. À découvrir absolument.
 
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biche1968 | 1 autre critique | Apr 21, 2013 |
Maintenant, je sais que la version que j’ai lue adolescente était une version abrégée. Et pourtant, déjà à ce moment-là les descriptions m’avaient parues fastidieuses ! Théophile Gautier arrive en effet à délayer sur près de 600 pages en version poche une histoire somme toute très simple et plus que prévisible, qu’il agrémente, surtout dans la première moitié du livre, d’une litanie d’interminables descriptions. Etrange parti-pris d’auteur pour ce qu’on a coutume de qualifier d’un roman de cape et d’épée.
Je n’ai fini par trouver un certain intérêt à cette lecture que quand j’ai commencé à lire ce roman au second degré. Après l’avoir refermé, je préfère y voir un pastiche des grands romans à la mode à l’époque, avec des revirements de situation rocambolesques, des coïncidences tellement nombreuses qu’elles en sont de plus en plus invraisemblables, et son incontournable deus ex machina final. Gautier jours avec ses personnages, faisant de ce roman une scène de théâtre (aux indications scéniques plus développées que les dialogues !) qui met en abyme le théâtre ambulant dont ils sont les acteurs. Théâtre dans le roman, roman de théâtre, Théophile Gautier se préoccupe bien peu de rendre son histoire crédible ou de soigner la psychologie de ses personnages tout aussi caricaturaux que des pantins de la Commedia dell’arte.
En définitive ce roman, tant par son contenu que par son style, me semble avoir bien vieilli. Son intérêt aujourd’hui me semble plus résider dans le fait qu’il est le représentant d’un moment de notre histoire littéraire que dans ses qualités intrinsèques. Bien que l’on en fasse un classique pour la jeunesse, je ne me risquerais pas à la recommander à de jeunes lecteurs, qui risqueraient fort de s’ennuyer en compagnie de ce capitaine d’opérette !
 
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raton-liseur | 4 autres critiques | Aug 10, 2012 |
Ce roman retrace les aventures d'une jolie jeune fille qui s'amuse à se travestir en homme le jour. Le thème du travestissement provoqua un véritable scandale et la préface, véhément manifeste en faveur de la théorie de l'Art pour l'art dont Gautier était un fervent partisan, attaque ouvertement les critiques littéraires qu'il qualifie de ' crétins, d'imbéciles et de goitreux '.
 
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vdb | 13 autres critiques | Nov 21, 2010 |
Un lord anglais découvre la momie d'une jeune fille et en tombe amoureux. Un papyrus placé dans la tombe, conte l'histoire de la mystérieuse '°endormie°'... À Thèbes, en Égypte, au temps de Moïse, Tahoser, jeune et séduisante Égyptienne brûle d'amour pour Toëri, un bel inconnu. Mais Toëri appartient au peuple esclave des Hébreux et aime Ra'hel. Tahoser en a le coeur brisé... Pendant ce temps, Pharaon la poursuit d'un amour dont elle ne veut pas...
 
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vdb | 11 autres critiques | Aug 14, 2010 |
Théophile Gautier est un auteur du Parnasse.A l'instar de Charles Baudelaire et de Villiers de L'Isle-Adam ( pour n'en citer que quelques-uns), il rompt totalement avec le Romantisme.Désormais,l'auteur est un sculpteur qui est davantage préoccupé par la plastique que par l'esprit et Les Contes et Récits Fantastiques de Théophile Gautier reflètent parfaitement l'état d'esprit de ce mouvement littéraire méconnu.Pour lui, la femme ne peut être sublimée que par la mort (La cafetière,Omphale).Ce recueil de nouvelles est agréable à lire et nous apporte des connaissances sur une période de l'histoire littéraire où le fantastique a une place primordiale.½
 
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Mzlle_Frizouille | Sep 25, 2009 |
Le féminisme avant l'heure½
 
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Cecilturtle | 13 autres critiques | May 20, 2006 |
13 sur 13