Fannie FlaggCritiques
Auteur de Beignets de tomates vertes
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Critiques
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noid.ch | 75 autres critiques | Mar 17, 2022 | J'ai tout bonnement adoré ce livre, tout comme j'avais adoré le film dans les années 90. La structure est au départ un peu complexe, le nombre de personnage aussi mais c'est ce qui rend ce roman riche et passionnant. Les destins et les époques se croisent: on traverse l'évolution de la société américaine et chaque personnage a son importance. J'aime beaucoup le style: une écriture simple et jolie, bref, gros coup de coeur!
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LNL | 189 autres critiques | Jul 21, 2016 | Whistle Stop est une toute petite ville au bord de la voie ferrée et n’offrirait pas grand intérêt sans l’ouverture du Whistle Stop Café, tenu par Idgie Threadgoode, garçon manqué et forte personnalité, et Ruth Jamison, la douceur incarnée. Le Whistle Stop café ne tarde pas à acquérir une réputation nationale. Idgie et Ruth ne refusent jamais en effet d'offrir toit et nourriture aux "hoboken", ces hommes victimes de la Grande Dépression et réduits au vagabondage. Elles n’hésitent pas non plus à défier les lois et le redoutable Ku Klux Klan en acceptant de servir leurs clients noirs, à une époque où la ségrégation est de rigueur.
Elles sont secondées dans leur entreprise par leurs cuisinières noires Sipsey et Onzell, et Big George, qui prépare le meilleur barbecue de toute l’Alabama (détail qui a une importance capitale dans le roman …)
Le roman est riche en rebondissements, parfois dramatiques, souvent drôles, la narration passant allègrement d’une époque à l’autre, d’un narrateur à l’autre (les dépêches de la gazette de Dot Weems sont désopilantes), s’attachant à l’histoire de chaque personnage sans que cela soit pour autant confus pour le lecteur.
L’histoire est principalement racontée par Ninny Threadgoode, 86 ans, belle-sœur d’Idgie, intarissable bavarde, pensionnaire de la maison de retraite Rose Terrace à Birmingham. C’est Evelyn Couch, femme au foyer malheureuse, mal dans sa peau , censée rendre visite à sa belle-mère, également pensionnaire de Rose Terrace, qui a le privilège de recevoir les confidences de Ninny. Une grande amitié se créée entre les deux femmes. Inspirée par l’audace d’Idgie, encouragée par Ninny, Evelyn va peu à peu se libérer des tabous qui l’empêchent de vivre. Certains passages sur sa phase de transformation en femme libérée sont irrésistibles.
Un roman drôle, tendre et émouvant (surtout les toutes dernières pages !), à prescrire de toute urgence si vous vous sentez d’humeur chagrine, à lire de toutes façons, même en cas d’excellente humeur.
Elles sont secondées dans leur entreprise par leurs cuisinières noires Sipsey et Onzell, et Big George, qui prépare le meilleur barbecue de toute l’Alabama (détail qui a une importance capitale dans le roman …)
Le roman est riche en rebondissements, parfois dramatiques, souvent drôles, la narration passant allègrement d’une époque à l’autre, d’un narrateur à l’autre (les dépêches de la gazette de Dot Weems sont désopilantes), s’attachant à l’histoire de chaque personnage sans que cela soit pour autant confus pour le lecteur.
L’histoire est principalement racontée par Ninny Threadgoode, 86 ans, belle-sœur d’Idgie, intarissable bavarde, pensionnaire de la maison de retraite Rose Terrace à Birmingham. C’est Evelyn Couch, femme au foyer malheureuse, mal dans sa peau , censée rendre visite à sa belle-mère, également pensionnaire de Rose Terrace, qui a le privilège de recevoir les confidences de Ninny. Une grande amitié se créée entre les deux femmes. Inspirée par l’audace d’Idgie, encouragée par Ninny, Evelyn va peu à peu se libérer des tabous qui l’empêchent de vivre. Certains passages sur sa phase de transformation en femme libérée sont irrésistibles.
Un roman drôle, tendre et émouvant (surtout les toutes dernières pages !), à prescrire de toute urgence si vous vous sentez d’humeur chagrine, à lire de toutes façons, même en cas d’excellente humeur.
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perduedansleslivres | 189 autres critiques | Nov 22, 2011 | Evelyn Couch accompagne son mari Ed chaque semaine à la maison de retraite pour voir sa belle-mère. Elle rencontre une résidente de 85 ans, Ninny Threadgood, dans la salle de visite. Celle-ci l'aborde en lui parlant de l'amitié qui liait Idgie, sa belle-soeur, et Ruth dans les années 30. Au fil des visites, une amitié se développe entre les deux femmes et on apprend à connaître la communauté de Whistle Stop dont est originaire Ninny. Au fur et à mesure que le passé est dévoilé, nous ne serons plus jamais les mêmes et Evelyn non plus.
Vous ne pourrez pas restés indifférents aux joies et peines de cette petite communauté ou à l'amitié que partagent ces femmes.
C'est le livre qu'il faut garder sur sa table de chevet pour ces moments où l'on a besoin de retrouver le sourire. A consommer sans modération.½
Vous ne pourrez pas restés indifférents aux joies et peines de cette petite communauté ou à l'amitié que partagent ces femmes.
C'est le livre qu'il faut garder sur sa table de chevet pour ces moments où l'on a besoin de retrouver le sourire. A consommer sans modération.½
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electrice | 189 autres critiques | Jan 7, 2011 | Ce roman nous emporte au coeur de l'amérique des années 50... à travers les yeux d'une fillette aussi drôle que pétillante qui nous raconte sa vie quotidienne et les idées farfelues de ses parents... à mourir de rire!!!
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mlle.dewey | 47 autres critiques | Jul 3, 2009 | Liens
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Une chose ne change pas, le problème c’est: les gens. Non mais, les gens, j’te jure !