Photo de l'auteur

Marie Desplechin

Auteur de Verte

63+ oeuvres 553 utilisateurs 11 critiques

A propos de l'auteur

Séries

Œuvres de Marie Desplechin

Verte (1996) 119 exemplaires
Sans moi (1998) — Auteur — 100 exemplaires
Trop sensibles (1995) 25 exemplaires
Pome (2007) 22 exemplaires
La vie sauve (2005) 16 exemplaires
Le sac à main (2004) 14 exemplaires
Satin grenadine (2004) 14 exemplaires
La Belle Adèle (2010) 12 exemplaires
Séraphine (2005) 11 exemplaires
Dragons (2003) 10 exemplaires
Ma collection d'amours (2002) 10 exemplaires
Mauve (2014) 9 exemplaires
Les yeux d'or (2008) 8 exemplaires
Et Dieu dans tout ça ? (1994) 8 exemplaires
La prédiction de Nadia (1997) 7 exemplaires
Babyfaces (2010) 6 exemplaires
La galerie de Psyché (2009) 5 exemplaires
Un pas de plus (2006) 5 exemplaires
La photo (2007) 5 exemplaires
Le bon Antoine (2013) 5 exemplaires
Danbé (2011) 4 exemplaires
Elie et Sam (2004) 4 exemplaires
Monde De Joseph (2000) 3 exemplaires
Le Coup du kiwi (2000) 3 exemplaires
Sothik (Grand Format) (2016) 3 exemplaires
Dis-moi tout ! (2004) 3 exemplaires
Le sac à dos d'Alphonse (1997) 3 exemplaires
La classe (2013) 2 exemplaires
Les confidences d'Ottilia (2001) 2 exemplaires
L'argent (2013) 2 exemplaires
Migrations Lille 2004 — Contributeur — 2 exemplaires
Ne change jamais ! (2019) 2 exemplaires
Hexenkram: Grüna (2023) 2 exemplaires
Ma vie d'artiste (2003) 2 exemplaires
Hexengeschichten.; 2 exemplaires
Entre l'elfe et la fée (2004) 2 exemplaires
¡Por Fin Bruja! 1 exemplaire
Sothik 1 exemplaire
La capucine (2020) 1 exemplaire
Bensiz 1 exemplaire
Babyface (2022) 1 exemplaire
Tu seras un homme mon neveu (1995) 1 exemplaire
La vraie fille du Volcan (2004) 1 exemplaire
Ta race ! Moi et les autres (2017) — Auteur — 1 exemplaire
Saltimbanques (2011) 1 exemplaire
Retrat d'Olivia (2000) 1 exemplaire
Traversée du Nord (2002) 1 exemplaire
Copie double (2000) 1 exemplaire

Oeuvres associées

Contes de Grimm (2017) — Préface, quelques éditions2 exemplaires

Étiqueté

Partage des connaissances

Date de naissance
1959-01-07
Sexe
female
Nationalité
France
Lieu de naissance
Roubaix, France
Relations
Desplechin, Arnaud (brother)
Prix et distinctions
Prix La Grande Ourse (2020)

Membres

Critiques

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Desplechin-Traversee-du-Nord/823407

> L'auteur a écrit un texte personnel, vivant, nostalgique, avec une touche d'humour bienvenue.
Danieljean (Babelio)
 
Signalé
Joop-le-philosophe | Feb 12, 2021 |
Mes parents, Iskander, Paulina, Chaquet, elle maintenant. Je n’arrêtais pas de perdre des gens. Mon cœur était devenu une passoire…
(1h28’, Séquence 54).

La Traversée est le scénario d’un film d’animation écrit en 2011, et dont je ne sais s’il a vu le jour. C’est le film de l’exil, celui d’enfants qui perdent leur famille en fuyant de leur village où, déjà, ils n’étaient qu’à peine tolérés. C’est le film de l’exclusion, du rejet, c’est le film de la débrouille et des combines pour survivre. C’est le film de l’espoir, aussi tenu et inatteignable puisse-t-il être.
Une grand-mère raconte son exil, d’un pays au nom étrange que l’on devine quelque part en Europe de l’Est et ses errances, d’un refuge à l’autre, mais toujours plus proche de cette frontière qui semble un graal au-delà duquel, enfin, tous les problèmes trouveront leur résolution.
Une fable inspirée des grands exils du XXème siècle et qui résonne dans l’actualité plus proche. Un bon moment de lecture, je n’ai rien appris, cela n’a pas modifié mon regard sur la question, mais cette évocation est simplement une bonne façon de se souvenir, de ne pas faire semblant de ne pas ou de ne plus savoir.
… (plus d'informations)
 
Signalé
raton-liseur | Jun 21, 2017 |
Je croyais lire un livre de la rentrée littéraire, mais non, ce titre a déjà plus de quinze ans. Bon, ça ne le rend pas obsolète, certaines choses ne changent pas si vite. Mais bon, je dois avouer que je ne suis pas complètement convaincue par cette histoire.
Une belle idée même si pas des plus originales, cette amitié entre deux femmes que tout oppose. Mais cette opposition est presque trop didactique pour véritablement faire mouche. En puis c’est un peu trop facile, le coup de la fille complètement cabossée par la vie mais tellement forte qu’elle s’en sort toujours et qu’elle peut même sauver les autres d’eux-mêmes. Complètement névrosée et défaite dans la première partie du livre, elle se révèle tout à coup (sans aucun élément déclencheur) être plus forte que tous, forte pour elle-même et forte pour les autres. Au point même que la narratrice voit en elle une « sainte ». Métamorphose qui m’a semblé complètement artificielle et facile. Loin de moi l’idée de dire qu’il y a un déterminisme inamovible et que l’on ne peut se relever d’un passé compliqué. Je « crois » en la résilience, et pas qu’un peu. Mais ça n’est pas de la magie non plus, et là il y a un peu tromperie sur la marchandise me semble-t-il…
Et que dire de cette complaisance dans l’invention d’un passé noir, très noir, plus noir que le charbon. Une telle complaisance que pendant un bon bout de temps, j’attendais à ce que la narratrice découvre finalement que sa baby-sitter était avant tout mythomane.

Par contre, il faut reconnaître que la description du blues de la narratrice est plutôt convaincante. Une situation plutôt correcte, des enfants qu’elle aime, mais cette pression constante de devoir payer le loyer (amusant comme c’est cette facture-là qui revient de façon lancinante), cette nécessité constante de s’assurer que tout fonctionne, que les enfants soient prêts à l’heure, que la maison tourne en un mot. Et cela sans arrêt, sans arrêt, comme une vie qui s’écoule sans que l’on en voit la justification ou même seulement la satisfaction. Peut-être parce que cela me parle plus que l’enfance cabossée et les viols à répétition, tout simplement parce que si j’en crois la quatrième de couverture ce livre est tiré de l’expérience même de Marie Desplechin avec une de ses baby-sitters et que, peut-être elle sait mieux décrire le personnage qui la représente que l’autre moitié du duo. Je ne sais pas, toujours est-il que cela m’a paru sonner juste et j’ai aimé cette description à petites touches de ce mal-être qui s’installe. Après, encore une fois, le pathos revient à la charge et la crédibilité commence à s’étioler, dommage…

Un livre que j’aurais pu aimer, mais la complaisance, les évocations gores et gratuites de scènes de sexe, un trait trop grossier n’ont pas réussi à me convaincre, et je suis passée à côté de cette lecture qui me laisse seulement, maintenant que j’y repense quelques jours plus tard, un sentiment de malaise diffus, et non le beau souvenir d’une amitié féminine qui était, si j’ai bien compris, le propos de l’auteur.
… (plus d'informations)
 
Signalé
raton-liseur | Jan 3, 2016 |
J'ai aimé ce livre. Il y avait quelques mots que je ne comprenais pas. C'était intéressant et peu ennuyeux. J'ai pas vraiment compris l'histoire parce que c'était dur à suivre. (Annabelle M.)

Non, je n'aime pas ce livre parce que tout le livre raconte les émotions de Verte. ce livre est très ennuyeux. Non, je ne le recommanderais à personne. (Rémi D.)
 
Signalé
sixiemes | 3 autres critiques | Mar 13, 2008 |

Listes

Prix et récompenses

Vous aimerez peut-être aussi

Auteurs associés

Betty Bone Illustrator
Christophe Paviot Contributor
Will Hobson Translator
Floor Borsboom Translator
Heli Lehtoranta Translator
Olivier Adam Contributor
Eduardo Berti Contributor
Nadine Bismuth Contributor
Fanny Chiarello Contributor
Wang Chao Contributor

Statistiques

Œuvres
63
Aussi par
1
Membres
553
Popularité
#45,138
Évaluation
½ 3.6
Critiques
11
ISBN
140
Langues
14

Tableaux et graphiques