Cliquer sur une vignette pour aller sur Google Books.
Chargement... L'origine de la violencepar Fabrice Humbert
Aucun Chargement...
Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. > Babelio : https://www.babelio.com/livres/Humbert-Lorigine-de-la-violence/115585 > Psychologies magazine : https://fr.calameo.com/books/000048378bf6d93a97b95 > Ce roman a obtenu le prix Orange en 2009. Un roman haletant, au style clair, sec, dépouillé. Sans doute la grande révélation de l’année 2009. —François Brunel, Le Journal du Dimanche > Un puissant hommage à la mémoire des morts. —Alexandre Fillon, Lire. ... « On reste abasourdi par ce torrent de violence souterraine qui peut couler sous les sourires et la bienséance. Un grand livre, vraiment. » —André Rollin, Le Canard enchaîné Attiré par le titre, j'ai été déçu par le roman. Structuré en deux parties, Humbert décrit dans un premier temps l'enquête qu'il réalise suite à sa visite du camp de Buchenwald et de la découverte d'une photo sur laquelle il lui semble reconnaître un visage connu, David Wagner. Puis dans une seconde partie il nous présente sa relation avec Sophie, sa compagne allemande dont le grand-père était un dignitaire nazi au camp de Buchenwald mais également proche des officiers ayant tenté d'assassiner Hitler, son rapprochement avec son grand-père Marcel Fabre qui lui révèle l'histoire de David Wagner et des liens avec la famille Fabre et finalement la re-découverte de son père Adrien, "le bâtard". J'ai été touché par la description de la relation fils-père et sensible aux différents personnages du roman et de leur complexité. Cependant je reste sur ma faim concernant une réflexion sur la violence que laisse suggéré le titre du livre. La mise en relation d'une violence que l'auteur ressent depuis son enfance (le secret de famille entretenu par son père), la violence vécue comme jeune enseignant dans une zone de banlieue, la violence engendrée par la guerre, l'intolérance, la peur de l'autre, la défense de sa famille et la violence ultime de Buchenwald ne m'ont pas convaincu.
Humbert is duidelijk geporteerd van de duistere denkwereld van Georges Bataille, misschien is dat een oorzaak waarom De oorsprong van geweld beduidend weerbarstiger en minder strategisch verteld is dan Binets compositorisch uitgebalanceerde roman. Losse eindjes tref je niet aan bij Binet, bij Humbert des te meer. Gebrek aan balans kenmerkt zijn roman, die véél aan de orde stelt. Tegelijkertijd is dat boeiend, want door het voortdurend bijstellen van de zoektocht, de uit weidingen, het erbij betrekken van de geschiedenis van kampbeulen die zijdelings betrokken waren bij het lijden van David Wagner in Buchenwald, omcirkelt Humbert zijn onderwerp en volvoert hij de missie die de ik-verteller in het begin van zijn roman gesteld heeft: ‘de bron en de plaats van het Kwaad te lokaliseren’ – ‘de ultieme strijd’. Tegen het slot zegt hij: ‘Voortaan, als iemand “Wagner” intypt, zal hij lezen: “David Wagner, geboren in Parijs op 4 augustus 1915, gedeporteerd naar Buchenwald, gestorven op 21 maart 1942.” (…) Dat is waarom ik schrijf.’ Appartient à la série éditorialeLe livre de poche (31750) Prix et récompenses
Lors d'un voyage scolaire en Allemagne, un jeune professeur d couvre au camp de concentration de Buchenwald la photographie d'un d tenu dont la ressemblance avec son propre p re le stup fie et ne cesse de l'obs der. Ce prisonnier, David Wagner, est en fait son v ritable grand-p re. Peu peu se met en place l'autre famille, la branche cach e, celle dont personne chez les Fabre n' voque l'existence... Au cours de sa qu te, le jeune homme comprend qu'en remontant l'origine de la violence, c'est sa propre violence qu'on finit par rencontrer...Ce roman a obtenu le prix Orange en 2009. Un roman haletant, au style clair, sec, d pouill . Sans doute la grande r v lation de l'ann e 2009. Fran ois Brunel, Le Journal du Dimanche.Un puissant hommage la m moire des morts. Alexandre Fillon, Lire.On reste abasourdi par ce torrent de violence souterraine qui peut couler sous les sourires et la biens ance. Un grand livre, vraiment. Andr Rollin, Le Canard encha n . Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
Discussion en coursAucunCouvertures populaires
Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)843.92Literature French and related languages French fiction Modern Period 21st CenturyClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
Est-ce vous ?Devenez un(e) auteur LibraryThing. |
Et c’est peut-être là que réside la beauté du titre : la violence nazie de la Shoah, ultime. Mais aussi la violence de la passion, de l’amour, de la jalousie, de la vie, des non-dits et des secrets de famille. La violence qui frappe mais aussi la violence reçue.
Un roman (ou une auto-fiction ?) d’une grande profondeur à la narration brillante, pleine d’humanité et de sensibilité ( )