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Les Suppléments se composent d'essais développant des sujets couverts dans le premier volume. On note en particulier ses réflexions sur la mort et sa théorie de la sexualité dans laquelle il voyait une manifestation de la Volonté pour s'assurer de sa perpétuation en privant les hommes de leur raison et de leur santé mentale dans leurs désirs amoureux. Sa franchise sur le sujet est inhabituelle pour l'époque et le rôle central de la sexualité dans la vie humaine est maintenant largement accepté. Sa théorie de la génétique est cependant erronée : il soutenait que les hommes héritent leur Volonté et donc leur caractère de leurs pères et qu'ils héritaient leur intelligence de leurs mères, fournissant des exemples de biographies de personnages historiques pour illustrer cette théorie. le volume contient aussi de très nombreuses attaques contre les philosophes contemporains de Schopenhauer tels que Fichte, Schelling et Hegel.… (plus d'informations)
galacticus: It is believed Ryle read Schopenhauer early and recycled many of Schopenhauer's ideas in this work after having forgotten his early study experiences.
> « La satisfaction d’aucun souhait ne peut procurer de contentement durable et inaltérable. C’est comme l’aumône qu’on jette à un mendiant : elle lui sauve la vie aujourd’hui pour prolonger sa misère jusqu’à demain. Tant que notre conscience est remplie par notre volonté, tant que nous sommes asservis à l’impulsion du désir, aux espérances et aux craintes continuelles qu’il fait naître, tant que nous sommes sujets du vouloir, il n’y a pour nous ni bonheur durable ni repos. » (Arthur SCHOPENHAUER) Source : Du Bonheur, un voyage philosophique de Frédéric Lenoir (Fayard, 2013)
> LE MONDE COMME VOLONTÉ ET COMME REPRÉSENTATION, d'Arthur Schopenhauer. — De cette imposante “somme” philosophique, nous retiendrons le troisième livre, consacré à l’esthétique (un des éléments de la “représentation” du monde), et surtout le dernier chapitre de celui-ci, sur la musique. Schopenhauer y élabore une théorie de la spécificité de la musique, complètement indépendante du monde phénoménal, par rapport aux autres arts. Il y classe les voix en fonction du degré d'évolution quelles expriment, de la plus grave (représentante de la matière inanimée) jusqu’à la “voix chantante”, la mélodie, où “nous reconnaissons la volonté à son plus haut degré d’objectivation, la vie et les désirs pleinement conscients de l’homme”. Une préoccupation de la conscience qui ne saurait étonner chez ce philosophe romantique imprégné de la pensée hindoue, dans laquelle il puisa une grande part de son inspiration. PUF, 1989 —Revue Française de Yoga, (7), Janvier 1993
> Nicolas. Faible In: Amazon.fr, le 18 novembre 2020 ; Le blog de Menon, le 18 novembre 2020 Finalement, Arthur Schopenhauer est le plus indianiste des philosophes occidentaux. Son Monde comme volonté… il l’a écrit les Upanishads dans une main et la Critique de la raison pure de Kant de l’autre. Ainsi, aussi intéressant soit cet ouvrage, on pourra en faire l’économie. Quel intérêt de lire ce fort volume (première édition en 1819 ; seconde en 1844) très dix-neuvièmiste puisque les Upanishads majeures ayant été écrites entre 800 et 500 avant notre ère ; puisqu’il existe mille ouvrages et analyses sur le sujet ; puisque, par la suite, le Bouddha (563-483 avant J.-C.) aura creusé ce sujet du monde comme volonté et comme représentation ; que les plus puissants métaphysiciens et éveillés indiens (comme Nagarjuna) ou japonais (courant Zen) auront produits des traités d’une rare hauteur sur cette question. Bref, nul besoin de Schopenhauer. Nul besoin de l’occident germanique du dix-neuvième pour penser la métaphysique de l’idéalisme transcendantale dont la plus haute antiquité a envisagé la question avant une hauteur de vue inégalée. Le monde comme volonté et comme représentation d’Arthur Schopenhauer (édition numérique gratuite)
> Deschepper Jean-Pierre. Schopenhauer, Le monde comme volonté et comme représentation. Traduit en français par A. Burdeau. Nouvelle édition revue et corrigée par Richard Roos. In: Revue Philosophique de Louvain. Troisième série, tome 64, n°84, 1966. pp. 658-659. … ; (en ligne), URL : https://www.persee.fr/doc/phlou_0035-3841_1966_num_64_84_5366_t1_0658_0000_3
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«De wereld is mijn voorstelling» – dit is een waarheid die voor elk levend en kennend wezen geldt, ofschoon alleen de mens haar in het reflexieve, abstracte bewustzijn kan brengen; doet hij dit dan is bij hem het stadium van de filosofische bezinning ingetreden.
Citations
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De waarheid is geen hoer die mensen om de hals vliegt die haar niet begeren; ze is veeleer een zo ongenaakbare schoonheid dat niemand zeker kan zijn van haar gunsten, ook al heeft hij alles voor haar over.
Derniers mots
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Het gaat hier om een vrije wilsuiting, want de wet van de toereikende grond, waaraan alle noodzakelijkheid haar betekenis ontleent, is alleen de vorm waarin die wilsuiting verschijnt. Juist daarom is die verschijning, als ze er eenmaal is, in haar verdere verloop volstrekt noodzakelijk. Het is alleen als gevolg van deze noodzakelijkheid dat we uit de verschijning de aard van die wilsuiting kunnen leren kennen, hetgeen ons de mogelijkheid biedt anders te willen.
Références à cette œuvre sur des ressources externes.
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Les Suppléments se composent d'essais développant des sujets couverts dans le premier volume. On note en particulier ses réflexions sur la mort et sa théorie de la sexualité dans laquelle il voyait une manifestation de la Volonté pour s'assurer de sa perpétuation en privant les hommes de leur raison et de leur santé mentale dans leurs désirs amoureux. Sa franchise sur le sujet est inhabituelle pour l'époque et le rôle central de la sexualité dans la vie humaine est maintenant largement accepté. Sa théorie de la génétique est cependant erronée : il soutenait que les hommes héritent leur Volonté et donc leur caractère de leurs pères et qu'ils héritaient leur intelligence de leurs mères, fournissant des exemples de biographies de personnages historiques pour illustrer cette théorie. le volume contient aussi de très nombreuses attaques contre les philosophes contemporains de Schopenhauer tels que Fichte, Schelling et Hegel.
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Source : Du Bonheur, un voyage philosophique de Frédéric Lenoir (Fayard, 2013)
> LE MONDE COMME VOLONTÉ ET COMME REPRÉSENTATION, d'Arthur Schopenhauer. — De cette imposante “somme” philosophique, nous retiendrons le troisième livre, consacré à l’esthétique (un des éléments de la “représentation” du monde), et surtout le dernier chapitre de celui-ci, sur la musique. Schopenhauer y élabore une théorie de la spécificité de la musique, complètement indépendante du monde phénoménal, par rapport aux autres arts. Il y classe les voix en fonction du degré d'évolution quelles expriment, de la plus grave (représentante de la matière inanimée) jusqu’à la “voix chantante”, la mélodie, où “nous reconnaissons la volonté à son plus haut degré d’objectivation, la vie et les désirs pleinement conscients de l’homme”. Une préoccupation de la conscience qui ne saurait étonner chez ce philosophe romantique imprégné de la pensée hindoue, dans laquelle il puisa une grande part de son inspiration. PUF, 1989
—Revue Française de Yoga, (7), Janvier 1993
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Schopenhauer-Le-monde-comme-volonte-et-comme-repr...
> Philo5 : https://www.philo5.com/Les%20philosophes%20Textes/Schopenhauer_PessimismeVolonte...
> Psycha Analyse : LE MONDE COMME VOLONTÉ ET COMME REPRÉSENTATION - BIBLIO 1909 (465 Pages - 27,1 Mo)
> Nicolas. Faible
In: Amazon.fr, le 18 novembre 2020 ; Le blog de Menon, le 18 novembre 2020
Finalement, Arthur Schopenhauer est le plus indianiste des philosophes occidentaux. Son Monde comme volonté… il l’a écrit les Upanishads dans une main et la Critique de la raison pure de Kant de l’autre. Ainsi, aussi intéressant soit cet ouvrage, on pourra en faire l’économie. Quel intérêt de lire ce fort volume (première édition en 1819 ; seconde en 1844) très dix-neuvièmiste puisque les Upanishads majeures ayant été écrites entre 800 et 500 avant notre ère ; puisqu’il existe mille ouvrages et analyses sur le sujet ; puisque, par la suite, le Bouddha (563-483 avant J.-C.) aura creusé ce sujet du monde comme volonté et comme représentation ; que les plus puissants métaphysiciens et éveillés indiens (comme Nagarjuna) ou japonais (courant Zen) auront produits des traités d’une rare hauteur sur cette question. Bref, nul besoin de Schopenhauer. Nul besoin de l’occident germanique du dix-neuvième pour penser la métaphysique de l’idéalisme transcendantale dont la plus haute antiquité a envisagé la question avant une hauteur de vue inégalée.
Le monde comme volonté et comme représentation d’Arthur Schopenhauer (édition numérique gratuite)
> Deschepper Jean-Pierre. Schopenhauer, Le monde comme volonté et comme représentation. Traduit en français par A. Burdeau. Nouvelle édition revue et corrigée par Richard Roos.
In: Revue Philosophique de Louvain. Troisième série, tome 64, n°84, 1966. pp. 658-659. … ; (en ligne),
URL : https://www.persee.fr/doc/phlou_0035-3841_1966_num_64_84_5366_t1_0658_0000_3