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Chargement... Teckenriket (original 1970; édition 1999)par Roland Barthes, Johan Dahlbäck
Information sur l'oeuvreL'Empire des signes par Roland Barthes (1970)
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. Livre trop savant. Mais de belles pages sur la cuisine, le haïku. Trop difficile à lire. Il faudrait faire des extraits accessibles au vulgaire. ( ) Roland Barthes est présenté par Wikipédia comme un philosophe, critique littéraire et sémiologue. Pas du tout le genre d’auteur que je fréquente habituellement. Mais, lu ici par Denis Podalydès, cela me paraissait moins inaccessible et mon petit côté intello se sentait flatté. Certes, c’est une lecture ardue et je n’ai l’impression que d’avoir survolé le livre, mais j’ai aimé cette analyse du Japon. C’est l’analyse d’un européen, à n’en pas douter. L’analyse d’un occidental qui a passé un temps finalement assez court dans un pays étranger et qui, confronté à une culture radicalement différente, se laisse envoûter par son exotisme. C’est un livre tout en fascination, qui, probablement, ne supporterait pas le regard critique d’un spécialiste de la culture japonaise (si tant est que cela puisse être un titre dont quelqu’un se glorifie). Roland Barthes semble plus, dans son approche du Japon, refléter ses propres questionnements philosophiques, et c’est en creux l’analyse de sa propre culture qu’il fait en la confrontant à l’altérité. Son analyse de l’espace de la maison japonaise, dans toute la splendeur de son dépouillement, ses réflexions sur les haïkus, leur apparente simplicité et ce qu’ils disent et ne disent pas sont intéressantes, mais, il faut que le lecteur en soit prévenu, écrit dans une langue recherchée, à grand renfort de répétitions et de périphrases. Le livre est intéressant, les idées stimulantes, mais je n’ai pu m’empêcher de sourire à l’ironie d’une forme finalement assez ampoulée pour raconter un fond fait de simplicité et d’épure. Bel exemple de contradiction dans cette réflexion très occidentale sur une culture éminemment orientale. aucune critique | ajouter une critique
La 4ème de couv. indique :"Ne décrivant ni ne définissant, le haïku (j'appelle ainsi finalement tout trait discontinu, tout. événement de la vie japonaise, tel qu'il s'offre à ma lecture), le haïku s'amincit jusqu'à la pure et seule désignation. C'est cela, c'est ainsi, dit le haïku, c'est tel. Ou mieux encore : Tel dit-il, d'une touche si instantanée et si courte (sans vibration ni reprise) que la copule y apparaîtrait encore de trop, comme le remords d'une définition interdite, à jamais éloignée. Le sens n'y est qu'un flash, une griffure de lumière." Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)952History and Geography Asia JapanClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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