« Le roman de Beaulieu est provocateur, certes, mais il se veut aussi un cri du coeur pour défendre la littérature et ses artisans, les écrivains, surtout dans le contexte de la mondialisation des marchées et de l'oeuvre unique. C'est une oeuvre émouvante, même si le romancier tâte souvent de l'humour, une oeuvre qui suscite la réflexion. »Aurélien Boivin, Québec français« De l'ensemble ressort surtout la passion, contagieuse, de l'auteur pour la littérature québécoise, qu'il connaît manifestement très bien. »Marie-Claude Fortin, La Presse *** (trois étoiles)« (...) ce roman d'Alain Beaulieu est d'une originalité toute simple et constitue un plaisir certain de lecture. »Maxime Catellier, ICI« (...) la somme de recherche et de travail derrière l'écriture de ce roman est colossale. »Bryan St-Louis, CKIA FM - Épilogue« Ainsi passe très vite, trop vite, la lecture de ce roman craquant. La chute est habile, aussi, bien que hautement acrobatique, à la hauteur de tout l'exercice. »Florence Meney, Radio-Canada, livres (www.radio-Canada.ca) Trois étoiles et demie« Ludique, sérieux ou provocateur, La Cadillac blanche de Bernard Pivot est avant toute chose un acte de foi personnel et sincère envers la littérature. (...) Mieux que n'importe quel reportage, la fiction littéraire est la voie royale pour toucher les consciences, abattre des murs et balayer l'indifférence. »Christian Desmeules, Le Devoir« En s'appropriant fort judicieusement la voix de ces auteurs célèbres, Alain Beaulieu fait preuve d'une grande maîtrise littéraire. De Jack Kerouac à Amélie Nothomb, de Ducharme à VLB, il arrive à cerner de manière juste et vivante l'essence de la personnalité et de l'oeuvre de ses prestigieux protagonistes. Bien plus qu'un exercice de style, La Cadillac blanche de Bernard Pivot est surtout une belle réflexion sur la place de la littérature québécoise dans le monde francophone. L'auteur nous partage aussi de manière métaphorique, mais fort lucide, son constat quant à l'avenir de la littérature et de la lecture à l'heure où la notion d'industrie l'emporte bien souvent sur l'acte créatif ou l'importance de la littérature dans une collectivité. On retiendra ainsi la faculté d'Alain Beaulieu de nous partager ses inquiétudes tout en gardant un sourire en coin qui évite à cet ambitieux défi de devenir trop laborieux. Exercice d'un écrivain qui se fait plaisir, rêve de tout lecteur ou essai sur la littérature? Il y a un peu de tout ça dans La Cadillac Blanche de Bernard Pivot, un roman qui fait sourire... et réfléchir! »Valérie Gaudreau, CKIA-FM - Émission Épilogue.