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Le Voyage à Ixtlan. Les leçons de don Juan

par Carlos Castaneda

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Séries: Teachings of Don Juan (3)

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2,118227,579 (3.72)15
Carlos Castanada was a student of anthropology when he met Don Juan Matus, a Yaqui shaman and the inspiration for Castanada's The Teachings of Don Juan. In this controversial work, Castanada relays his experiences being challenged by his mentor on his perception of the world and all living things in it.… (plus d'informations)
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Récit d'une initiation à la pensée secrète des Indiens Yaqui d'Amérique. Proche de l' esprit du yoga malgré les différences formelles. L'impeccabilité dans chaque action comme thème majeur de la voie du "guerrier". Progression étonnante d'un volume à l'autre.
  yogasantosha | Jun 13, 2018 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Castaneda-Le-Voyage-a-Ixtlan/5113
> BAnQ (Le devoir, 28 sept. 1974) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2603192
> Nicolas (Amazon) : https://www.amazon.fr/gp/customer-reviews/R3DL7V4CY4JX57?ref=pf_vv_at_pdctrvw_sr...

> Par Tom Butler-Bodown (In: 50 classiques de spiritualité, Ed. Payot, 2012. pp. 78-79) : Derniers commentaires
(...)
Le Voyage à Ixtlan transmet des leçons surprenantes pour un livre du domaine de la spiritualité : soyez durs envers vous-mêmes, déterminés et pleinement responsables de vos actions. Vous avez peut-être le corps d’un adulte, mais votre esprit n’est pas celui d’un véritable homme ou d’une véritable femme. La plus grande faute, selon l’enseignement de don Juan, c’est de croire que la vie n’est pas bonne. Dans le succès comme dans l’échec, nous ne devons jamais perdre de vue que notre monde est un monde étonnant et nous devons être à la hauteur des défis qu’il pose.
La plupart des gens attendent que le monde fasse quelque chose pour eux. Ces personnes vivent entourées de technologie et de divertissements, mais ne connaissent rien du pouvoir ni du mystère. L’idée sous-jacente dans l’ensemble du livre de Castaneda est que les humains sont les indicateurs de l’existence d’une entité ou d’une force beaucoup plus grande qu’eux ; nous devons nous rendre compte que ce n’est qu’en reconnaissant cette force supérieure que nous pourrons prétendre à la connaissance de soi.
Les écrits de Castaneda ont provoqué une vaste controverse à savoir si le personnage de don Juan a vraiment existé et si les faits qui y sont relatés sont véridiques. Castaneda a soutenu qu’il ne s’agissait pas de fiction, malgré l’aspect irréel de leur contenu. Il est dans la nature humaine, semble-t-il, de refuser d’admettre la légitimité des idées révolutionnaires.

> LE VOYAGE À IXTLAN, par Carlos Castañeda - Gallimard, Coll. Folio, Langue d'origine : anglais (États-Unis), Traduit par Marcel Kahn, 1988, 352 p., 7.7 euros, Première édition : 1972 - ISBN : 978-2070324910. — « En toi rien n'a vraiment changé. » Ainsi se terminait le précédent livre de Carlos Castañeda, Voir, les enseignements d'un sorcier yaqui. C'est le même sorcier indien, don Juan Matus, qui constitue la figure centrale du Voyage à Ixtlan.
Deux conceptions du monde s'affrontent ici. Elles ont pour enjeu la conscience de l'auteur qui se voit soumis à un déconditionnement intensif, auquel il se prête avec curiosité, tout en s'efforçant de comprendre ce qui lui arrive. Ainsi s'opère une initiation déroutante à la faveur de laquelle l'Occidental pénètre toujours plus profondément dans le monde mental de son guide. Initiation qui ne va pas sans rébellion, scepticisme et repentirs, sans parler des terribles angoisses qu'elle impose au néophyte. Initiation qui se poursuivra pendant dix ans et prendra fin sur une illumination qui forme la dernière partie du livre.
BiblioMonde

> Carlos Castaneda. – L’herbe du diable ou la petite fumée, Paris - Le Soleil Noir, 1972 ; Voir, Paris, Gallimard, 1973 ; LE VOYAGE À IXTLAN, Paris, Gallimard, 1974 ; Histoires de pouvoir, Paris, Gallimard, 1978 ; Le second anneau de pouvoir, Paris, Gallimard, 1979 ; Le don de l’Aigle, Paris, Gallimard, 1982 ; Le feu du dedans, Paris, Gallimard, 1984 ; La force du silence, Paris, Gallimard, 1988. — En 1960, Carlos Castaneda, jeune anthropologue de l’Université de Los Angeles, spécialisé dans l’étude des plantes hallucinogènes, rencontre au Mexique un sorcier yaqui nommé Don Juan. Ce dernier, après avoir testé Carlos et mesuré son « inflexible résolution », qualité indispensable et fondamentale pour devenir « apprenti », accepte de lui transmettre sa science et de faire de lui un « homme de connaissance ». Commencent alors de longues années d’apprentissage, auprès de Don Juan et d’autres sorciers, apprentissage souvent ardu et douloureux qui prend parfois l’allure d’une aventure terrible et sans retour, où l’auteur, mené aux confins de lui-même, vit une transformation radicale de son être. Des relations extrêmement fortes s’installent entre Carlos et Don Juan ainsi que les autres sorciers et apprentis qu’il rencontre. Quel que soit son niveau de lecture et de compréhension, le lecteur est frappé par le caractère extraordinaire de ce maître sorcier qu’est Don Juan, par son étonnante pédagogie et par l’apothéose de cette relation maître-disciple où le maître, après avoir participé à la transformation radicale du disciple lui confère le titre de maître, assurant ainsi sa filiation.
Renverser les schémas connus, brûler tous les masques qui servent nos conditionnements afin de devenir « un homme de connaissance », voilà ce qu’enseigne le sorcier à l’anthropologue. Devenir « un homme de connaissance », c’est d’abord développer une écoute totale du corps, savoir accorder celui-ci aux tonalités du monde extérieur, apprendre à percevoir avec le corps tout entier, libérer le mental de cette surcharge d’activité que l’homme d’aujourd’hui s’impose et par là-même, chercher la vérité et non le savoir. Au cours de cette initiation, il apprend aussi à développer un nouveau rapport avec la nature ; celle-ci considérée comme « consciente » doit être traitée « impeccablement » de même que la création toute entière. Mieux encore, l’apprenti doit chercher à intérioriser le cosmos, à l’incorporer totalement jusqu’à créer un sentiment total d’unité avec le monde extérieur et pouvoir incarner l’esprit de chacun des éléments du cosmos. Autre thème récurrent de ces ouvrages : celui de la peur. Le « guerrier » cher à Don Juan doit cultiver en lui la force de poursuivre son apprentissage jusqu’au bout sans défaillir et surmonter avec succès toutes les épreuves les plus terrifiantes qui lui sont proposées pour extirper de lui ce fléau. Carlos est mis tout d’abord en situation d’expérimenter la peur afin d’évaluer soigneusement les sensations qu’elle génère et apprendre ensuite à la dominer en lui faisant face. La dominer aussi en se familiarisant avec la mort, et faire de celle-ci une alliée, un guide : « Il existe un étrange et brûlant bonheur dans le fait d’agir en sachant que cet acte peut tout aussi bien être le dernier de sa vie. Je te demande de reconsidérer la tienne et d’accomplir tes actions en pensant à cela ».
Revue Française de Yoga, (1), Janv. 1990
  Joop-le-philosophe | Nov 15, 2015 |
2 sur 2
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Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Castaneda, Carlosauteur principaltoutes les éditionsconfirmé
Kahn, MarcelTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Lukaz, P.J.Traducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
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Titre canonique
Titre original
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Épigraphe
Dédicace
Premiers mots
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I understand you know a great deal about plants, sir, I said to the old Indian in front of me.
On Saturday, May 22, 1971, I went to Sonora, Mexico, to see don Juan Matus, a Yaqui Indian sorcerer, with whom I had been associated since 1961.
Citations
Derniers mots
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Notice de désambigüisation
Directeur de publication
Courtes éloges de critiques
Langue d'origine
DDC/MDS canonique
LCC canonique

Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais (3)

Carlos Castanada was a student of anthropology when he met Don Juan Matus, a Yaqui shaman and the inspiration for Castanada's The Teachings of Don Juan. In this controversial work, Castanada relays his experiences being challenged by his mentor on his perception of the world and all living things in it.

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