AccueilGroupesDiscussionsPlusTendances
Site de recherche
Ce site utilise des cookies pour fournir nos services, optimiser les performances, pour les analyses, et (si vous n'êtes pas connecté) pour les publicités. En utilisant Librarything, vous reconnaissez avoir lu et compris nos conditions générales d'utilisation et de services. Votre utilisation du site et de ses services vaut acceptation de ces conditions et termes.

Résultats trouvés sur Google Books

Cliquer sur une vignette pour aller sur Google Books.

Chargement...

Vies ecrites (1992)

par Javier Marías

Autres auteurs: Voir la section autres auteur(e)s.

MembresCritiquesPopularitéÉvaluation moyenneMentions
4141060,817 (3.87)16
In addition to his own busy career as "one of Europe's most intriguing contemporary writers" (TLS), Javier Marías is also the translator into Spanish of works by Hardy, Stevenson, Conrad, Faulkner, Nabokov, and Laurence Sterne. His love for these authors is the touchstone ofWritten Lives. Collected here are twenty pieces recounting great writers' lives, "or, more precisely, snippets of writers' lives." Thomas Mann, Rilke, Arthur Conan Doyle, Turgenev, Djuna Barnes, Emily Brontë, Malcolm Lowry, and Kipling appear ("all fairly disastrous individuals"), and "almost nothing" in his stories is invented. Like Isak Dinesen (who "claimed to have poor sight, yet could spot a four-leaf clover in a field from a remarkable distance away"), Marías has a sharp eye. Nabokov is here, making "the highly improbable assertion that he is 'as American as April in Arizona,'" as is Oscar Wilde, who, in debt on his deathbed, ordered up champagne, "remarking cheerfully, 'I am dying beyond my means.'" Faulkner, we find, when fired from his post office job, explained that he was not prepared "to be beholdento any son-of-a-bitch who had two cents to buy a stamp." Affection glows in the pages of Written Lives, evidence, as Marías remarks, that "although I have enjoyed writing all my books, this was the one with which I had the most fun."… (plus d'informations)
  1. 00
    Vies imaginaires par Marcel Schwob (bluepiano)
    bluepiano: bluepiano: Both are collections of short biographies of real people, but whilst Schwob's accounts are, em, creative Marias's are factual ones presented as fiction. Schwob isn't so well known as he deserves to be and Marias seems to be known here only for his novels, so these are in a sense neglected works. Both are quite wonderful.… (plus d'informations)
Chargement...

Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre

Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre.

» Voir aussi les 16 mentions

Contrairement à la plupart des autres œuvres de Marias, il s’agit d’un livret très court: ce n’est pas un roman, mais un recueil d’une vingtaine de portraits d’écrivains connus et moins connus, qu’il a publié dans un journal espagnol au début des années 1990. Ne vous attendez donc à aucune profondeur, au contraire. Marias souligne dans son introduction qu'il ne se concentre pas sur l'oeuvre des écrivains, mais sur les petits aspects, généralement moins connus de leur vie. En conséquence, ce livret propose une succession d'aspects mesquins et carrément misanthropes des écrivains si célèbres, qui semblent tous avoir été des gens assez excentriques, avec lesquels il n'était pas facile de vivre, et qui ont souvent mis fin à leurs jours en amère solitude. Pour être honnête, à la fin, j'avait l'impression que Marias avait présenté un véritable cabinet de curiosités. Au début, la liste interminable des petites manières des écrivains est assez divertissante, mais après un certain temps, il semble que les auteurs par définition soient des personnes impossibles. C'est aussi principalement une affaire d'hommes (ce qui peut expliquer certaines choses), mais Marias a par la suite ajouté des portraits féminins tout aussi laids. En général, c'est bien sûr une lecture intéressante, bien qu'il n'y ait pas grand chose de nouveau à apprendre sur les écrivains les plus célèbres (Joyce, Faulkner, Nabokov…). Oui, après tout, eux aussi ne sont que des humains! ( )
  bookomaniac | Oct 31, 2020 |
aucune critique | ajouter une critique

» Ajouter d'autres auteur(e)s (7 possibles)

Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Javier Maríasauteur principaltoutes les éditionscalculé
Enzenberg, Carina vonTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
Jull Costa, MargaretTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé

Appartient à la série éditoriale

Vous devez vous identifier pour modifier le Partage des connaissances.
Pour plus d'aide, voir la page Aide sur le Partage des connaissances [en anglais].
Titre canonique
Titre original
Titres alternatifs
Date de première publication
Personnes ou personnages
Lieux importants
Évènements importants
Films connexes
Épigraphe
Dédicace
Premiers mots
Citations
Derniers mots
Notice de désambigüisation
Directeur de publication
Courtes éloges de critiques
Langue d'origine
DDC/MDS canonique
LCC canonique

Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais (1)

In addition to his own busy career as "one of Europe's most intriguing contemporary writers" (TLS), Javier Marías is also the translator into Spanish of works by Hardy, Stevenson, Conrad, Faulkner, Nabokov, and Laurence Sterne. His love for these authors is the touchstone ofWritten Lives. Collected here are twenty pieces recounting great writers' lives, "or, more precisely, snippets of writers' lives." Thomas Mann, Rilke, Arthur Conan Doyle, Turgenev, Djuna Barnes, Emily Brontë, Malcolm Lowry, and Kipling appear ("all fairly disastrous individuals"), and "almost nothing" in his stories is invented. Like Isak Dinesen (who "claimed to have poor sight, yet could spot a four-leaf clover in a field from a remarkable distance away"), Marías has a sharp eye. Nabokov is here, making "the highly improbable assertion that he is 'as American as April in Arizona,'" as is Oscar Wilde, who, in debt on his deathbed, ordered up champagne, "remarking cheerfully, 'I am dying beyond my means.'" Faulkner, we find, when fired from his post office job, explained that he was not prepared "to be beholdento any son-of-a-bitch who had two cents to buy a stamp." Affection glows in the pages of Written Lives, evidence, as Marías remarks, that "although I have enjoyed writing all my books, this was the one with which I had the most fun."

Aucune description trouvée dans une bibliothèque

Description du livre
Résumé sous forme de haïku

Discussion en cours

Aucun

Couvertures populaires

Vos raccourcis

Évaluation

Moyenne: (3.87)
0.5
1 1
1.5
2 1
2.5 2
3 17
3.5 10
4 23
4.5 2
5 19

Est-ce vous ?

Devenez un(e) auteur LibraryThing.

 

À propos | Contact | LibraryThing.com | Respect de la vie privée et règles d'utilisation | Aide/FAQ | Blog | Boutique | APIs | TinyCat | Bibliothèques historiques | Critiques en avant-première | Partage des connaissances | 204,672,251 livres! | Barre supérieure: Toujours visible