> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Glattauer-Quand-souffle-le-vent-du-nord/172011
> BAnQ (La presse, 28 mai 2010) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2266277
> BAnQ (Le nouvelliste, 12 juin 2010) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3432893
> BAnQ (Le libraire : No 66 | Juillet - Août 2011) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2562744
> BAnQ (Le nouvelliste, 24 août 2013) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3434357
> BAnQ (Le soleil, 30 mai 2010) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3537027
> BAnQ (Le nouvelliste, 11 juin 2011) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/3433362
> Elle (Trollion C., Moussou K.) : https://www.elle.fr/Loisirs/Livres/Dossiers/Livres-qui-rendent-heureux/Quand-sou...
> Psychologies magazine : https://fr.calameo.com/books/000048378bf6d93a97b95

> « un roman épistolaire, léger, qui se lit très bien et qu’on a tout simplement du mal à arrêter de lire une fois qu’on a le nez dedans. »
—Claire Taillon, de la librairie Pantoute

J'ai ri et souris dès les premières pages. Ce livre, assez fin puisque "seulement" 348 pages, je l'ai lu en deux petits jours. Comme ce sont des mails, les paragraphes et chapitres sont très courts, mais le ton lui, est toujours là ! Daniel Glattauer que je découvre, a le sens de la bonne phrase (en tout cas, on peut aussi saluer sa traductrice, Anne-Sophie Anglaret !).
Bien sûr, le thème me touche particulièrement, faisant partie de ces gens qui communiquent virtuellement avec de parfaits étrangers, les laissent entrer dans une espèce de sphère semi-privée jusqu'au jour où... ce ne soit plus possible et qu'il faille faire un choix.
-> http://ouistilit.blogspot.fr/2013/03/quand-souffle-le-vent-du-nord-de-daniel.htm... ( )

Tout commence par un mail envoyé à la mauvaise personne. Emmi et Léo vont alors entamer une correspondance parlant de tout et de rien sans se connaitre, ni se rencontrer.
Une comédie drôle et piquante qui ne tombe pas dans la mièvrerie ! ( )

Deux âmes se rencontrent par hasard sur Internet et tombent amoureuses à force d'échanges de plus en plus intimes. Glattauer réussit très bien cette progression des émotions : humour, curiosité, coquetterie, confidences, puis obsession, malaise, impasse. Il y a parfois des longueurs, on comprend mal quelle est la motivation pour ces deux personnages de poursuivre cette relation qui n'est ni platonique ni sexuelle - ni l'un ni l'autre ne semblent réellement de manquer de quoi que ce soit... jusqu'à l'intervention du mari - là on comprend quelles sont les répercussions de cette relation soit disant innocente sur la vie des autres : les deux n'existent pas dans leur bulle; il y a forcément des conséquences. La fin est extrêmement habile : elle clôt parfaitement cette relation sans tomber ni dans le mièvre ni dans le tragique. Du coup, le lecteur sent la justice mais aussi la défaite de l'imaginaire. ( )

Un roman épistolaire et amoureux tour à tour drôle, émouvant, tendre, sensuel, passionné ou dramatique, mais toujours juste. Un délice ! ( )