> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Bach-Jonathan-Livingston-le-goeland/27897

> Un grand livre, qui traite avec coeur de notre singularité et de la liberté à acquérir.
—Danieljean (Babelio)

> A travers l'exemple d'un goéland, Richard Bach, tel La Fontaine avec ses fables, montre de manière parfaite les différentes étapes de l'évolution spirituelle des êtres humains, les plans de conscience, la maîtrise des différents corps, la libération en atteignant la Sagesse. La relation Maître-disciple est très bien décrite. Ce livre qui date de plus de 30 ans n'a pas pris une ride. (Revue Shakti)

> JONATHAN LIVINGSTON LE GOÉLAND, par Richard Bach. — Un goéland des plus ordinaires veut apprendre à voler mieux et plus vite que ses pairs. Ses parents l'incitent à se comporter comme tout bon goéland qui vole pour se nourrir. Mais ce besoin est irrésistible chez Jonathan. Il parvient après de longs et douloureux efforts, à dépasser les limites qui bornaient jusqu'à présent le comportement de ses congénères. On le chasse alors du clan, on le condamne à une vie d'exclu solitaire. Pourtant il finira par gagner et par prouver qu'un goéland est l'image de la liberté sans limite.
— Un beau petit livre tout simple à lire et relire pour s'en imprégner, pour apprendre à dépasser nos limites, à goûter à la liberté. Pour comprendre comment il faut croire en notre vérité malgré les pressions sociales. Malgré tout le poids du regard social qui s'oppose bien souvent aux changements et à l'évolution.
—Isabelle Nadeau (ICI.Radio-Canada.ca)

> Par Tom Butler-Bodown (In: 50 classiques de spiritualité, Ed. Payot, 2012. pp. 51-52) : Derniers commentaires
(...) Il est facile maintenant, plus de trente ans plus tard, de faire peu de cas de l’originalité du concept de cet ouvrage. Certaines personnes le qualifient même de naïf, mais les idées qu’il exprime sont en fait des idées intemporelles sur le potentiel de l’être humain.
Lorsque vous allez à la mer et que vous voyez des goélands se chamailler autour d’une pauvre frite ou d’une croûte de pain, vous vous dites probablement qu’ils se chamaillent pour peu de chose. Le livre de Bach montre que la plupart des gens agissent comme les congénères de Jonathan : s’ils pouvaient au moins sortir de leurs visions étroites, ils prendraient conscience des richesses qui sont à leur portée. Si vous songez apporter de grands changements à votre vie, ce livre peut vous insuffler la confiance nécessaire.

> Parfait
Par Nicolas (Le blog de Menon), le 10 juil. 2006 (Sur Amazon.fr) 5/5 … ; (en ligne),
URL : https://www.amazon.fr/gp/customer-reviews/R28CPBDX96SZQS?ref=pf_vv_at_pdctrvw_sr...
En contant l'histoire d'un goéland qui veut voler plus haut que ses frères, pour lequel la subsistance est mineur et seul compte l'ascension, Richard Bach livre un roman initiatique de tout premier ordre. Platonicien de bout en bout, il assimile Jonathan au philosophe qui va se désengager du monde matériel pour planer dans le ciel, là où siègent les purs concepts, les Idées.
On apprécie - outre cette thématique ô combien audacieuse à traduire pour un public d'enfants ! - le ton léger du récit ; par moment, on se sent aussi proche des récits martiaux chinois, avec le vieux maître qui semble se téléporter tellement il se déplace vite, ou qui fait preuve d'ironie face à un élève encore mal dégrossi.
Jonathan Livingston se lit en une heure, pas plus, car le texte de l'édition Librio propose en sus des photos de Goéland en noir et blanc... Néanmoins, c'est un ouvrage à lire, voir à posséder. Il est d'ailleurs conseillé de le déguster, en prenant tout son temps, afin de bien se laisser pénétrer par le récit et sa philosophie. ( )

Depuis toujours, Jonathan Livingston s'afflige de n'être ni albatros ni pélican, en bref, de n'être doué ni pour le looping ni pour le vol plané. A la consternation de ses parents, il s'entraîne jour et nuit pour améliorer sa vitesse et sa qualité de vol. Le Grand Conseil finit par se réunir et par exclure ce drôle d'oiseau qui ne respecte pas les limites de sa race ! Jonathan en effet ne considère pas le vol comme un vulgaire moyen de déplacement, mais comme la chance d'accéder à la perfection et de donner un sens plus noble à la vie. Sa pénitence se transforme en paradis lorsqu'il rencontre Chiang l'Ancien et les autres exclus assoiffés d'infini. Chiang lui apprend l'absolu, mais aussi la responsabilité, la confiance, l'amour, la liberté. Tel un Saint-Exupéry américain, Richard Bach est écrivain-aviateur. Cet ancien pilote de l'armée de l'air américaine a pour seule religion le vol qui confère à son regard une perspective salutaire. Jonathan Livingston le goéland - qui rappelle parfois le Petit Prince - lui valut la célébrité dès 1970. ( )