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Chargement... Look to Windward (original 2000; édition 2001)par Iain M. Banks
Information sur l'oeuvreLe sens du vent par Iain M. Banks (2000)
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La Culture, cette société galactique tolérante, cynique et par-dessus tout hédoniste attache évidemment une grande importance à l’art. Et c’est pourquoi le compositeur chelgrien (non humain) Ziller, de réputation galactique, a été prié par l’I.A. du monde artificiel orbital Masaq’ de créer une symphonie lorsque la lumière d’une ancienne nova, résultat de la destruction d’une étoile dans une guerre, huit siècles plus tôt, atteindrait enfin ce monde. Ziller, le Chelgrien, a abandonné sa planète d’origine et son peuple dont la violence lui répugne. Cette même violence a provoqué une guerre entre la Culture et les Chelgriens. La Culture l’a emporté mais un noyau de fanatiques Chelgriens envisagent toujours d’en découdre. Et lorsque Ziller apprend qu’un Chelgrien est envoyé sur Masaq pour le rencontrer et en principe pour lui demander de revenir sur son monde d’origine, il flaire un piège et refuse de recevoir l’ambassadeur, malgré les pressions des services de la Culture. Il craint en effet d’être assassiné. Mais la réalité est bien plus complexe. L’ambassade masque un autre piège tendu à la Culture : la destruction pure et simple de l’orbitale Masaq’ et la mort de ses milliards d’habitants, pour une obscure raison religieuse. L'orbitale Masaq' est un monde immense de 50 milliards d'habitants, un immense anneau artificiel qui héberge des environnements divers et spectaculaires qui servent de distraction aux habitants, presque tous membres de la Culture. Le compositeur chelgrien Ziller s'est réfugié sur l'orbitale où son talent fait de lui un hôte de marque surtout qu'il y prépare une nouvelle symphonie qui sera mise en scène par le mental même de Masaq'. S'il a choisi de s'exiler dans un des mondes de la Culture c'est que Chel, monde d'origine de Ziller, et cette dernière entretienne de mauvais rapports, la Culture ayantt maladroitement déclenché une guerre civile sur Chel. Or Ziller refuse catégoriquement le système social de sa planète qui repose sur un système de castes. Mais Chel envoir Qillian, un ancien soldat devenu moine, prier Ziller de revenir sur Chel.
Banks writes with a sophistication that will surprise anyone unfamiliar with modern science fiction. He begins in medias res, introducing characters, places and events that are not explained in detail until many pages later. [...] The deus ex machina ending will strike some as too easy. But as in all good fiction, what's important in Banks's work is the subtext, which I take to be the idea that freedom is both necessary and dangerous, and that only by imagining the unimaginable, both in ourselves and others, can we hope to remain free. .. he is not afraid to to ponder the implications of his flash-bang spectaculars. He examines the fine distinction between hedonism (what the Culture thinks it practises) and decadence (what many others perceive), as well as the responsibilities that come with immeasurable power. An enjoyable romp is overlaid with tragedy as he rubs our noses in the consequences of war: ... Appartient à la sérieAppartient à la série éditorialePrix et récompensesDistinctions
It was one of the less glorious incidents of the Idiran wars that led to the destruction of two suns and the billions of lives they supported. Now, 800 years later, the light from the first of those deaths has reached the Culture's Masaq' Orbital. A Chelgrian emissary is dispatched to the Culture. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)823.914Literature English English fiction Modern Period 1901-1999 1945-1999Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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On a pourtant des bons personnages, et le style est agréable; mais c’est creux. Dommage ! ( )