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Qui a peur du point G ? : Le plaisir féminin, une angoisse masculine

par Odile Buisson

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J'ai trouvé ce livre trivial et inintéressant. Il s'agit d'une suite d'anecdotes et de prononcements qui expriment principalement les intimes convictions de l'auteure. Je m'attendais à quelque chose de plus argumenté et scientifique sur les mécanismes psychologiques qui font que certains ont peur de l'orgasme de la femme. Du coup, j'ai été déçue. Manifestement écrit pour amuser la galerie plus que pour faire avancer la compréhension du sujet... ( )
  Dilara86 | Oct 6, 2011 |
Avertissement: j'utilise des termes sexuellement explicites dans cette critique, ne lisez pas si ça vous gêne.

D’abord un coup de gueule. Aux pages 37 et 38 l’auteure reprend les idées d’Élisabeth Badinter sur l’allaitement qu'elle développe dans son livre "Le conflit". Mais quand donc les femmes comprendront-elles que ce n’est que quand on les laissera vivre leurs différences sans les pénaliser qu’elles auront gagné l’égalité? Ce n’est pas en voulant imiter les hommes qu’elles arriveront à quelque chose, nous sommes différentes, personne ne pourra rien y changer. Vouloir gommer nos différences dans le sens "faisons comme eux", c’est encore rentrer dans le jeu de la culture dominante : un sexe est supérieur à l’autre. Ce qui est amusant c’est qu’elle ne s’aperçoit pas de la contradiction quand, à la page 91, elle écrit : "Être amie avec son corps et l’accepter tel quel est probablement le manque premier des femmes."

Contradiction avec tout le livre, d’ailleurs. Livre dans lequel elle s’indigne des réticences de la médecine française à chercher comment fonctionne la sexualité féminine (l’anatomie exacte du clitoris n’est connue que depuis 1998 et les premières échographies de cet organe datent de 2009, faites par l’auteure elle-même) et qui se termine par un plaidoyer pour la liberté des femmes à être elles-mêmes, à connaître leur corps et à en disposer (en parlant du Comité consultatif national d’éthique – en France - où il y a moins d’⅓ de femmes et qui a statué sur les mères porteuses : "Imaginerait-on une seule seconde une majorité de femmes statuant sur le corps des hommes ?")

Le livre se termine par une postface et une annexe, écrites par Pierre Foldès, le médecin qui reconstruit les femmes excisées. Dans la postface, il explique en quatre pages comment et pourquoi la plupart des sociétés sont devenues androcentrées et pourquoi elles le sont encore. Dans l’annexe, il commence par décrire une excision (âmes sensibles s’abstenir) puis parle du mythe fondateur de cette tradition et enfin du rôle des médecins dans sa dénonciation et dans sa réparation tout en mettant le doigt une fois de plus sur la différence d’attention que portent les médecins au pénis et au clitoris : la chirurgie réparatrice du pénis existe depuis très longtemps, celle du clitoris n’existe que depuis quelques années. Enfin, il parle des médecins exciseurs et termine par "Ce crime éthique et déontologique impacte la communauté médicale internationale dans son ensemble, qui n’a pas su faire son travail de régulation et de dérégulation." ( )
  Louve_de_mer | Mar 5, 2011 |
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Jusqu'à la moitié du siècle dernier, le plaisir charnel n'était pas dissociable de la reproduction de l'espèce, ce qui a valu aux femmes de nombreux drames.
Citations
Être amie avec son corps et l’accepter tel quel est probablement le manque premier des femmes.
Si je ne nie pas que certains experts soient sensibles à a parole des femmes et partagent leur combat, c'est tout de même une majorité d'hommes qui disent encore ce qui est permis ou non de faire sur leurs corps.
Derniers mots
(Cliquez pour voir. Attention : peut vendre la mèche.)
Notice de désambigüisation
Directeur de publication
Courtes éloges de critiques
Langue d'origine
DDC/MDS canonique
LCC canonique

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