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Chargement... Mon autobiographie spirituelle (2009)par Dalai Lama XIV
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Biography & Autobiography.
Religion & Spirituality.
Nonfiction.
HTML: In this elegant self-portrait, the world's most outspoken and influential spiritual leader recounts his epic and engaging life story. The Dalai Lama's most accessible and intimate book, My Spiritual Journey is an excellent introduction to the larger-than-life leader of Tibetan Buddhismâ??perfect for anyone curious about Eastern religion, invested in the Free Tibet movement, or simply seeking a richer spiritual life. The Dalai Lama's riveting, deeply insightful meditations on life will resonate strongly with readers of Pema Chodron, Thich Nhat Hanh, or the His Holiness's own The Art of Happiness and Ethics for the New Millennium. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)294.3Religions Other Religions Religions of Indic origin BuddhismClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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> MON AUTOBIOGRAPHIE SPIRITUELLE, Reccueiïlie par Sofia Stril-Rever, Editions Presses de la Renaissance - Paris 2009 - 19,80€ 341 pages. — Le titre de l'ouvrage est suivi, en page 5, de la précision suivante : « Enseignements, propos et discours recueillis, traduits, adaptés et édités par Sofia Stril-Rever ».
Elle est aussi co-auteure avec Mathieu Ricard de « kalachakra, un mandala pour la paix » et guide à Paris, un groupe de pratique du Kalachakra.
Dans son avant-propos, Sofia Stril Rever déroule le fil conducteur qui l'a amenée à concevoir cet ouvrage afin de témoigner de la spiritualité ouverte du Dalaï Lama : « prier à partir de ce qui est universel aux religions invite à découvrir la dimension intérieure de notre humanité en nous réappropriant notre qualité d'être humain ». Et encore : « Il s'agissait de montrer l'impact de l'humanité du Dalaï Lama sur notre monde à un moment critique de l'histoire, ou la survie des générations futures semble menacée ».
Le Dalaï Lama ouvre son autobiographie spirituelle sur ses trois engagements de vie : Promotion des valeurs humaines et des qualités de cœur, promotion de l'harmonie entre les religions et défense de la cause du Tibet. Ces trois engagements forment les trois parties principales de l'ouvrage, reprenant chacune l'expression de Sa Sainteté en tant qu'être humain, en tant que moine bouddhiste et en tant que Dalaï Lama, ainsi que sa conclusion sur un message d'espoir renforcé par le dernier quatrain de la prière du saint indien Shantideva. En tant qu'être humain, il invite à prendre conscience du fond, au-delà des multiples formes que l'incarnation nous conduit à connaître. Ce fond qui définit notre commune humanité et nous fait rechercher le bonheur, ce bonheur par lequel « chacun peut apporter une contribution profonde et efficace, capable d'améliorer l'ensemble de la communauté humaine.
En tant que moine bouddhiste, il ne différencie pas vie quotidienne et vie religieuse, tout est méditation, tout est yoga (« yoga de la déité » précise-t-il, « dans lequel j'utilise différents mandalas, en me visualisant sous forme de déités successives et focalisant ainsi mon esprit sur un plan où il n'est pas sollicité par les informations fournies par les sens »), méditation portant principalement sur la vacuité, exercice de pure conscience. Mourir n'est pas pour lui une fin en soi, il accorde à cette expérience une très grande importance : « Nombreux sont les grands maîtres spirituels qui prennent congé de l'existence terrestre en méditation. Quand cela se produit, leur corps ne se décompose que bien après la mort clinique ». N'ignorant rien des violences interreligieuses, Le Dalaï Lama invite au pluralisme religieux au nom de leurs communes valeurs.
En tant que Dalaï Lama, il retrace à grands traits l'histoire de son avènement comme chef temporel du Tibet. Il ne fait pas l'impasse sur les erreurs commises, notamment l'isolement choisi, non seulement du fait de relations conflictuelles avec les peuples voisins, mais renforcé, il fut un temps, par le manque d'intérêt pour la politique étrangère et les relations internationales. C'est ainsi que « le Tibet a négligé de faire
reconnaître son indépendance par la communauté des nations lors de la première révolution chinoise en 1911 ». Partisan de la démocratie laïque (Contitution démocratique du Tibet en 1963) et de la non-violence, il rend hommage au Mahtma Gandhi et au peuple tibétain dont il dénonce les souffrances, comme il dénonce la sinisation du Tibet.
Le Dalaï Lama conclut son autobiographie en affirmant : « Je place mon espoir dans le courage des tibétains, dans l'amour de la vérité et de la justice qui habite toujours le cœur humain. Et ma foi demeure en la compassion du Bouddha ».
Sofia Stril Rever conclura à son tour en nous invitant sous forme de slogan :« avec le Dalaï Lama, gagner la paix ».
L'ouvrage est complété par des notes de références et une bibliographie. —Gilbert GIESELER
—Infos Yoga, (73), Eté 2009, (p.43)
> QUE PEUT APPORTER LA RELIGION À L'HOMME ?, de Dalaï-lama et Geneviève Prevost
In: Revue des Deux Mondes, (NOVEMBRE 1986), pp. 276-286… ; (en ligne),
URL : https://drive.google.com/file/d/1mUhacr-656dE8uWBEcxC1rRtwQt5XOeq/view?usp=shari...
> JE SERAI PEUT-ÊTRE LE DERNIER…, de Le dalaï-lama
In: Revue des Deux Mondes, (JUIN 1989), pp. 8-24… ; (en ligne),
URL : https://drive.google.com/file/d/17kCFmLffqRXbuls8LLMKQr2_37-kRHlb/view?usp=shari...