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Chargement... Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi (2010)par Katherine Pancol
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. J'ai enfin fini la trilogie! Le scénario est parfois un peu alambiqué et le style est assez simple (ce qui ne déplaît pas forcément) mais j'adore comment l'auteure arrive à décrire les petites choses de la vie quotidienne, mettre des mots sur des sentiments "ordinaires" que nous avons tous pu ressentir un jour, Mme Pancol est vraiment douée pour ça! ( ) Les romans fleuve existent toujours et en voilà un bel exemple! 900 pages d'aventures, d'intrigues, d'amours... c'est parfois un peu long mais on se prend au jeu et les pages défilent les unes après les autres. Les personnages, trop caricaturaux pour être mémorables, sont parfois un peu lancinants dans leur stéréotype - Pancol met l'accent sur le détail plutôt que sur la psychologie, mais il y a des passages sympathiques, notamment le travail de Joséphine sur son nouveau livre avec Petit Jeune Homme. J'ai aussi aimé les personnages un peu inusités comme Junior ou Becca même s'ils relèvent presque de la science fiction tant ils sont singuliers. Ce n'est pas un grand roman et je l'oublierai facilement, mais pour la plage, on ne peut pas demander mieux! Katherine Pancol fait dire à un éditeur : "Ecrivez-moi un roman d'aujourd'hui avec des femmes, des enfants, des maris qui trompent leur femme et qui sont cocus, des femmes qui pleurent et qui rient, un bel amour, une trahison, la vie, quoi ! Vous savez les temps sont durs et les gens ont envie qu'on les distraie.." Et de mon point de vue c'est l'exact description de ce roman, troisième opus d'une série qui remplit parfaitement cet objectif... distraire. Sentence qui est un peu paradoxale avec ce qu'ajoute l'éditeur : "Ecrire, c'est empoigner sa souffrance, la regarder en face et la clouer sur la croix" car je n'ai pas ressenti cet aspect dans l'écriture de Katherine Pancol. C'est bien écrit, bien fait, je me suis laissé embarqué par cette histoire sans vraiment bien comprendre où Katherine Pancol souhaitait nous amener. Quelques mois après le départ de sa soeur Iris, Joséphine est toujours là, presque égale à elle-même c’est-à-dire à la disposition de tous, sauf peut-être de sa propre vie. La jeune femme consacre tout son temps à sa famille, ses amis, sa thèse, son chien, mais c’est comme si elle le faisait exprès, elle ne peut pas s’empêcher de passer à côté de l’essentiel, à côté de son propre bonheur... Bien sûr, elle est toujours folle amoureuse de son beau-frère : un amour réciproque sur lequel elle fait une croix : indécent pense-t-elle d’aimer le veuf de sa soeur... Bien sûr, elle est là pour ses filles. La plus jeune, Zoé, découvre le bonheur et les déceptions de la vie, avec son premier flirt et les balbutiements de l’amour. L’ainée, Hortense, est toujours aussi assoiffée de réussite et de reconnaissance dans le monde si particulier de la mode. Hortense qui n’échappe pas non plus aux flèches de Cupidon alors qu’elle voudrait tant résister à cette passion naissante pour se concentrer exclusivement à son métier de styliste. Tout cela alors qu’un éditeur demande à Joséphine de se remettre à écrire : elle a de l’or entre les mains paraît-il, mais l’inspiration lui fait défaut... jusqu’au moment où elle est obligée, pour éviter un drame, de se plonger dans les poubelles de son immeuble. C’est là qu’elle va faire connaissance avec Petit Jeune Homme et le fameux, l’unique, le magnifique Cary Grant himself... aucune critique | ajouter une critique
Appartient à la sérieTrilogía animal (libro 3) Les yeux jaunes des crocodiles (tome 3) Appartient à la série éditorialeDistinctions
Souvent la vie s'amuse.Elle nous offre un diamant, cach sous un ticket de m tro ou le tomb d'un rideau. Embusqu dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.Il faut faire attention aux d tails. Ils s ment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens press s, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les d tails. Ils veulent du lourd, de l'imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute se baisser pour un sou, une paille, la main d'un homme tremblant.Mais si on se penche, si on arr te le temps, on d couvre des diamants dans une main tendue... Et la vie n'est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi... Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)843.914Literature French and related languages French fiction Modern Period 20th Century 1945-1999Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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