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Chargement... Filspar Serge Doubrovsky
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Appartient à la série éditorialeGallimard, Folio (3554)
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)843.91Literature French and related languages French fiction Modern Period 20th CenturyClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne: Pas d'évaluation.Est-ce vous ?Devenez un(e) auteur LibraryThing. |
l'auteur joue obsessionellement avec la langue. Serge Doubrovsky, critique littéraire et professeur de littérature, est considéré
comme le père de l'autofiction, c'est-à-dire une "fiction" faite d'"événements et faits strictement réels". Il explique que dans Fils " tout est vrai, mais tout est rebrassé par le travail d'écriture. Cette fameuse journée de 24 heures
est entièrement fictive, bien sûr, mais les faits qui la nourrissent sont vrais. Prenons le fameux rêve du monstre marin : il est
authentique, mais je n'en ai jamais parlé à mon psychanalyste. Les paroles du psychanalyste, elles aussi, sont vraies, mais elles n'ont
pas été prononcées pendant la même séance. Les étudiants, eux aussi, ont existé, mais ils n'étaient pas là le jour du cours sur Racine."
> "Fils", père de l'autofiction, par Anne Chemin, Le
Monde Culture et Idées. 2013.
" La vie de l’auteur devient chronique médicale : en un jeu constant du somatique et du psychique, les maladies changent de forme, réactivées par la lecture du Larousse médical ou des récits de cas freudiens. Une telle oeuvre ressemble donc au « pharmakon » de Platon, puisque le livre apparaît à la fois comme « purge » et « poison » : occasion de reconnaître que le mal est sans remède, et qu’il nous faut accepter l’irrémédiable. " Jacques Poirier