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Un désir fou de danser

par Elie Wiesel

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Sixty year-old Doriel Waldman, a Polish Jew born in 1936, is on the verge of insanity until Dr. Thérèse Goldschmidt draws him out with his story of surviving the Holocaust in hiding with his father while his mother made a reputation for herself in the Polish resistance--only to die in an accident shortly after the war.… (plus d'informations)
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A New York, à la fin des années 90, Doriel Waldman va consulter une psychanalyste. Juif polonais, assez âgé pour avoir connu la guerre, il tente de se débarrasser de ses fantômes.

Qui a dit que lire devait être facile? Que j'ai eu du mal avec ce bouquin, moi qui suis pourtant du genre cuirassé. Le récit, surtout dans son premier quart, explique très peu et rhétorise énormément, dans ce style particulier que, faute de mieux, j'appellerai judaïsant: pratiquant l'ellipse et maniant la métaphore, répondant à une question par deux autres, discutant chaque énoncé et illuminant une obscurité d'un conte encore plus obscur... Bref, entièrement dans une tradition où, en l'absence de dogme, on interprète éternellement les intentions divines. Rien d'étonnant donc si, au bout d'une semaine de lutte, j'oubliai mon livre chez ma coiffeuse. Après cet heureux répit d'un mois, je décidai d'accorder à Waldman une seconde chance, et bien m'en a pris. Passées les difficultés de démarrage, le récit prend sa vitesse de croisière avec l'entrée du Dr. Goldschmidt, psychanalyste de Doriel, et ses comptes-rendus de séances avec son client. Grâce à son acharnement, un peu de bon sens pénètre peu à peu dans la tête de ce dernier, et nous soupirons de soulagement au fur et à mesure que se déroule l'histoire de la vie et de l'enfance de celui-ci, où se cachent, ô surprise, les éléments qui... Mais ne dévoilons pas l'épilogue. Souvenez-vous seulement que, comme on vous l'a sans doute répété maintes fois dans votre enfance, la récompense est proportionnelle à l'effort. ( )
  ccf | Feb 13, 2011 |
Ce livre se concentre sur un personnage qui hante le livre tout au long. Le début est long, Doriel se préserve et ne révèle rien au lecteur mais dès qu'il commence à se livrer, son histoire, épluchée par couches successives, devient fascinante. La fin est inattendue mais triomphante dans une joie insoupçonnable. Un livre merveilleux d'espoir et riche de l'âme humaine. ( )
  Cecilturtle | Oct 21, 2007 |
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She has dark eyes and the smile of a frightened child. I searched for her all my life.
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In this ambiguous universe, full of pitfalls and boasts, strength lies in the act of creating one's own lucidity and mastering one's own truth. The person who loves, who creates or re-creates if only for a split second, has already won a victory over the absurdity of fate.
Derniers mots
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Notice de désambigüisation
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Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais (1)

Sixty year-old Doriel Waldman, a Polish Jew born in 1936, is on the verge of insanity until Dr. Thérèse Goldschmidt draws him out with his story of surviving the Holocaust in hiding with his father while his mother made a reputation for herself in the Polish resistance--only to die in an accident shortly after the war.

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Description du livre
C'est l'histoire d'un homme seul qui frappe à la porte d'une psychanalyste juive à New York. Il apporte sa folie en bandoulière à cette jolie mécanicienne de l'âme; son «cerveau malade», comme il dit, peuplé de fantômes et d'innommés. L'Histoire, cette grande mangeuse d'hommes, ne semble-t-elle pas se nourrir de toutes les folies? Rares sont ceux qui ont la chance de ne pas vivre enfermés avec leurs démons, entre manque et débordement.

Le récit de cette aventure intérieure se déploie sur la toile de fond du XXe siècle. Le chemin n'est pas droit qui conduit Doriel de sa maison de Tomaszow (Pologne) aux rues animées de New York. Les étapes de sa vie dessinent le parcours d'un exil. Dans les textes sacrés (juifs ou catholiques), la vie est souvent comparée à une fuite ou à un pèlerinage. «A un rêve aussi, dit Doriel à une jeune fille qu'il vient de rencontrer dans un avion. En Orient, la vie n'est qu'illusion.» Etrange et long voyage, avec la solitude pour compagne et, comme bruit de fond, le vacarme d'un monde qui a choisi d'insulter les dieux.

Dans les flammes d'Auschwitz disparaissent ceux qui avaient échappé aux rafles. Reims sert de décor à une tragédie ordinaire au temps de la Résistance. Dix noms sur une affiche rouge. Dix sacrifiés. Marseille est la ville où Doriel récite devant la tombe de ses parents la prière des morts, pendant les Grandes Fêtes de 1947. La Palestine reste la terre qui se dérobe quand certains rabbins antisionistes agitent des lois talmudiques pour dénoncer le retour en Terre sainte. Doriel, finalement, ne sera pas un agent du Mossad. Il y a aussi l'Asie, ses camps de réfugiés et ses chamans convulsionnaires, la Californie et ses jeunes gens dévorés par le LSD.

La vie, dans Un désir fou de danser, semble l'expérience d'une longue attente où le repos des cœurs est interdit. L'auteur déroule longtemps sa cabale sous le signe de Sigmund Freud. Le souvenir de la mère de Doriel, parce qu'elle était trop belle, est devenu une prison pour son fils. Mais Elie Wiesel, contrairement à Sigmund Freud, entre dans la vérité des hommes par leurs lueurs. La chance vient à la rencontre de Doriel sous les traits d'une jeune femme. Il lui fait don de sa richesse (longtemps mystérieuse) et des années qui lui restent à vivre. La jolie psychanalyste est rendue à son bibliothécaire de mari. Elie Wiesel sait faire résonner les mots fatals qu'il trouve dans la vie et dans les textes sacrés. Son Désir fou de danser appartient à l'ordre du romanesque et de la méditation. (Daniel Rondeau dans L'Express - Livres, lundi 22 octobre 2007)
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