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Chargement... La Peau Du Tambour (French Edition) (original 1995; édition 1997)par Perez-Reverte
Information sur l'oeuvreLa peau du tambour par Arturo Pérez-Reverte (1995)
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. Je me suis beaucoup amusé à lire ce roman de prêtre-détective pris dans une intrigue autour de la spéculation immobilière à Séville. N'ayez crainte, ce n'est pas un livre pieux, et l'auteur n'a visiblement aucune admiration pour l'Eglise et la majorité de ces dirigeants sinon de ces prêtres. Par ailleurs, il nous conte une Séville pleine de parfums d'orangers, de chaleur sensuelle, de petits malfrats et de grands escrocs. Et puis il y a une femme tellement ... avec des yeux si.... et des cheveux et un corps, bref une femme à faire pêcher notre brave détective du Vatican. Un pirate informatique s'introduit dans le réseau du Vatican et réussit à déposer un message dans l'ordinateur du Pontife. Dans ce message il est fait allusion à une vieille église de Séville menacée par des intérêts immobiliers. Les services secrets de la Papauté envoient le père Quart pour enquêter. Il va se trouver confronté à une situation assez complexe où s'affrontent le directeur d'une banque, un journaliste à la moralité douteuse, un trio de "malfaiteurs" plutôt innofensif, un prêtre traditionaliste et deux femmes de la plus ancienne aristocratie espagnole. Le tout dans une Séville marquée par l'histoire et qui se révèle, finalement, le vrai héros du livre. Ce roman est un roman policier parce qu'il y a meutre(s) et enquête. Mais tout cela n'est que prétexte. On y découvre plutôt la présence du passé et l'affrontement entre ce même passé qui se refuse à disparaître et un présent qui n'a pas grand chose à offrir. Roman nostalgique hanté par les fantômes de Séville autant que par ceux des héros. Roman traditionaliste aussi, où l'on voit la puissance et la légitimité de vénérables institutions (aristocratie, église catholique) tenir en respect nouveaux riches et arrivistes. Reste un dernier point amusant à signaler, c'est un roman où les femmes portent tout le poids du péché, mais ce sont aussi elles qui font ce qui doit être fait... Étrange roman que celui-ci. Tout y est pour faire un parfait roman foisonnant et passionnant. Pourtant ça n’a pas pris avec moi. Bizarrement j’ai eu du mal à y entrer. Le style est toujours aussi distingué, raffiné, (même si j’ai trouvé un peu longues et superflues les digressions en plein dialogues qui font perdre le fil), les descriptions de Séville sont envoûtantes, l’atmosphère est parfaitement rendue, les personnages sont eux aussi assez fouillés. Malgré toutes ces indéniables qualités, je n’ai pas perçu le “truc” qui m’aurait fait dévoré le livre. Je ne l’ai trouvé ni haletant ni prenant. Il m’a manqué ce rythme qui fait qu’on ne lâche pas un livre avant d’en savoir plus. Certains personnages secondaires frisaient tout de même la caricature, et l’identité du pirate informatique est capillotracté comme pas permis. La fin va trop vite en comparaison du reste, très long. La Peau du tambour ne sera pas mon préféré de l’auteur.
Seville is known for its barbers, its Gypsy temptresses, its Latin lovers; for the tomb (if not the actual body) of Christopher Columbus, bullfights, orange blossoms, Holy Week processions and an extraordinary mix of Arab, Baroque and Renaissance architecture. Julius Caesar conquered it; the Roman Emperors Hadrian and Trajan were born nearby; the Vandals, Visigoths, Moors and crusaders grudgingly passed it on to one another. It was the site of the Spanish Inquisition's first auto-da-fe, but, most important, the home port of Spain's bounteous New World empire. ''Dramatic extravagance,'' V. S. Pritchett once observed, ''is in the Sevillian nature.'' And dramatic extravagance is what the former journalist Arturo Perez-Reverte provides in ''The Seville Communion,'' his third thriller (following ''The Flanders Panel'' and ''The Club Dumas'') to be published in English and the second to be translated by Sonia Soto. Perez-Reverte writes with wit, narrative economy, a sharp eye for the telling detail and a feel for history. ''The Seville Communion'' is good fun, as entertaining as it often is silly. . . . Almost all of Perez-Reverte's characters are plausible, but usually as types. His vivid descriptions of the city, like his stories of Seville's outsize romantic and heroic past, are more resonant. Good at making the reader want answers, he is less good at giving satisfying ones. Finally, motive and explanation are too stagy and, more disappointing, the murderer is too peripheral to the psychological heart of the story. There's also a lot of facile talk about splendid buildings and elaborate ritual as a ''means of entrancing the masses'' because ''naked faith can't be sustained.'' Much of this seems filched from the Cliffs Notes to Dostoyevsky's ''Grand Inquisitor.'' Still, you'd have to be a remarkably faithless reader not to want to visit Seville after finishing this flavorful confection. "Reading Perez-Reverte is one of the most choice pleasures contemporary fiction offers." Est contenu dansPrix et récompensesDistinctions
A hacker breaks into the pope's computer, asking him to save from demolition a 17th century church in Seville. The Vatican dispatches handsome Father Lorenzo Quart who quickly attracts the attention of an aristocratic beauty embroiled in the affair. By the author of The Flanders Panel. Aucune description trouvée dans une bibliothèque
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)863.64Literature Spanish and Portuguese Spanish fiction 20th Century 1945-2000Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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> BAnQ (La presse, 8 juin 1997) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2184094
> « Si les trois premiers livres - Le Maître d'escrime, Le Tableau du maître flamand et Le Club Dumas - de ce flamboyant mais discret Espagnol témoignaient déjà d'un talent de conteur remarquable, habile à nouer de subtiles intrigues, La Peau du tambour, sans rien renier de ces bonnes recettes, y ajoute la profondeur de champ qui transforme un très bon roman en un grand roman. »
—Philippe NOURRY, Le Point