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the_awesome_opossum: The plot and writing are really similar: a dense and complex mystery/thriller set in a monastery. The Name of the Rose is historical fiction, not sci fi, but if you enjoyed the complicated and weighty plot, Name of the Rose would also be good… (plus d'informations)
freddlerabbit: See the Name of the Rose recommendation above - I find Foucault's even more analogous here because Name of the Rose is a bit more plot-driven than the other two, where Foucault's and Anathem both have as much as 40% pure theory-disguised-as-dialogue.… (plus d'informations)
elenchus: Banks also introduces the "out of context" problem central to Anathem, but in a wildly different plot, and universe. Banks is less ontology and more space opera, but I found both books very entertaining, and both Stephenson and Banks sensitive to political questions raised by their respective plots.… (plus d'informations)
themulhern: Stephenson himself remarked that Anathem was a book about how people don't read books anymore. Moreover, there is a delightfully satirical sequence in which the characters are discusses serious things over food at a rest stop, and the narrator is repeatedly distracted by images on the speelies that are incoherent yet commanding. Later, the protagonist realizes that one of these images was relevant, and there is another bit of satire.… (plus d'informations)
themulhern: Another book in which the aliens appear with unknown motivations. Here, though, the context is a very contemporary Earth, and so the speculation is much more about the here and now. It spawned a series of which I have not read the rest.
Ça faisait un moment qu’Anathem, dernier ouvrage en date de Neal Stephenson, m’observait sur les rayons de ma bibliothèque. J’anthropomorphise (ou zoomorphise, si on veut), parce qu’avec ses mille pages de texte et ça couverture cartonnée, l’ouvrage tient beaucoup du monstre.
Et pas seulement en apparence : le contenu est également à même d’impressionner le lecteur moyen et ce que j’en avais lu était tout aussi dissuasif. Le problème est que Neal Stephenson s’est lancé dans le roman à secret en plaçant son histoire sur une planète qui n’est pas la Terre, mais qui y ressemble beaucoup et qui a des termes qui ne veulent pas dire exactement la même chose que ce à quoi on s’attend.
Vous voyez le problème ? Je soupçonne que Neal Stephenson, depuis la Trilogie Baroque, a décidé qu’il n’allait plus faire dans le simple. C’est un genre, mais c’est un genre qui mord.
C’est le gros, gros défaut de ce bouquin : Anathem est volontairement abscons et, s’il n’avait pas été doté d’une préface explicatrice, il est fort probable que je l’aurai abandonné au bout d’une dizaine de pages. Et même sans cela, quand l’intrigue – une sorte d’ordre monastique dédié à l’étude et à la science, dans un monde futuriste mais largement analphabète, est confronté à une découverte majeure qui menace de détruire la planète – peine à démarrer avant la trois centième page, c’est rude.
Le problème n’est pas que ce qui s’y passe n’est pas intéressant en soi. L’auteur a fait de gros efforts pour créer une cosmogonie unique à son monde et à ses six mille ans d’histoire, c’est juste que lire sur des paragraphes et des paragraphes des conversations mélangeant philosophie, théologie et physique quantique n’est pas exactement l’approche la plus attirante pour une narration réussie.
Si j’étais méchant, je dirais qu’Anathem est une matérialisation de l’abréviation TLDR sous la forme d’un roman. J’avoue sans honte que je n’ai pas tout lu et qu’il y a des paragraphes entiers qui sont entrés dans mon cerveau et en sont ressortis aussitôt, entrainant parfois dans leur sillage les cadavres de neurones suicidés.
Malgré tout, je ne peux pas dire que c’est un mauvais bouquin. L’intrigue – une fois qu’elle démarre – est intéressante, assez originale et bien développée ; de même, comme mentionné, l’univers décrit est plutôt captivant. Mais il faut vraiment s’accrocher. ( )
Seen through the eyes of a young ascetic named Erasmas, the universe of “Anathem” and its properties are revealed methodically over hundreds of pages, and at first, there is much joy to be found in watching this plausible other reality assemble itself and in observing how it parallels our own.
Too much of the book is dominated by lengthy dialectical debates, whose conclusions are hardly earth-shattering (if you are reading this review, I suspect you already know how to divide a rectangular cake into eight equal servings) and which do little to promote a reader’s engagement with the characters of “Anathem,” any more than one cares about the interior lives of Pausanias or Eryximachus while reading “The Symposium.” What’s worse, the book’s fixation on dialogue leads Erasmas (and Stephenson) to simply tell us what is happening or has happened in pivotal scenes, instead of allowing us to see the events for ourselves through descriptive action.
The only catch to reading a novel as imposingly magnificent as this is that for the next few months, everything else seems small and obvious by comparison.
Stephenson's world-building skills, honed by the exacting work he did on his recent Baroque Cycle trilogy, are at their best here. Anathem is that rarest of things: A stately novel of ideas packed with cool tech, terrific fight scenes, aliens, and even a little ESP.
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To my parents
Premiers mots
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"Do your neighbors burn one another alive?" was how Fraa Orolo began his conversation with Artisan Flec.
Citations
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"Our opponent is an alien starship packed with atomic bombs," I said. "We have a protractor."
Derniers mots
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But in that we started so many things in that moment, we brought to their ends many others that have been the subject matter of this account, and so here is where I draw a line across the leaf and call it the end.
Et pas seulement en apparence : le contenu est également à même d’impressionner le lecteur moyen et ce que j’en avais lu était tout aussi dissuasif. Le problème est que Neal Stephenson s’est lancé dans le roman à secret en plaçant son histoire sur une planète qui n’est pas la Terre, mais qui y ressemble beaucoup et qui a des termes qui ne veulent pas dire exactement la même chose que ce à quoi on s’attend.
Vous voyez le problème ? Je soupçonne que Neal Stephenson, depuis la Trilogie Baroque, a décidé qu’il n’allait plus faire dans le simple. C’est un genre, mais c’est un genre qui mord.
C’est le gros, gros défaut de ce bouquin : Anathem est volontairement abscons et, s’il n’avait pas été doté d’une préface explicatrice, il est fort probable que je l’aurai abandonné au bout d’une dizaine de pages. Et même sans cela, quand l’intrigue – une sorte d’ordre monastique dédié à l’étude et à la science, dans un monde futuriste mais largement analphabète, est confronté à une découverte majeure qui menace de détruire la planète – peine à démarrer avant la trois centième page, c’est rude.
Le problème n’est pas que ce qui s’y passe n’est pas intéressant en soi. L’auteur a fait de gros efforts pour créer une cosmogonie unique à son monde et à ses six mille ans d’histoire, c’est juste que lire sur des paragraphes et des paragraphes des conversations mélangeant philosophie, théologie et physique quantique n’est pas exactement l’approche la plus attirante pour une narration réussie.
Si j’étais méchant, je dirais qu’Anathem est une matérialisation de l’abréviation TLDR sous la forme d’un roman. J’avoue sans honte que je n’ai pas tout lu et qu’il y a des paragraphes entiers qui sont entrés dans mon cerveau et en sont ressortis aussitôt, entrainant parfois dans leur sillage les cadavres de neurones suicidés.
Malgré tout, je ne peux pas dire que c’est un mauvais bouquin. L’intrigue – une fois qu’elle démarre – est intéressante, assez originale et bien développée ; de même, comme mentionné, l’univers décrit est plutôt captivant. Mais il faut vraiment s’accrocher. ( )