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New York, années folles… Dans sa somptueuse demeure de Long Island, Jay Gatsby organise de fastueuses réceptions où les invités se pressent en foule. Mais leur hôte ne cherche à éblouir qu’une seule personne : Daisy Buchanan. Elle est élégante, riche, séduisante, mais elle est la femme d’un héritier millionnaire… Avec ce texte devenu un classique, Fitzgerald, sur un air de jazz et une coupe de champagne à la main, met à nu le Rêve américain et écrit l’un des plus beaux romans du XXe siècle. [4e de couv.]… (plus d'informations)
CGlanovsky: Shady social upstarts rising to prominence in societies dealing with fundamental class upheaval and entertaining romantic aspirations outside their traditional spheres.
lottpoet: This book features a well-off family, pillars of the community, taking things to quite tragic lengths. It follows an African-American family and so adds colorism and racism to the mix.
elenchus: Unfinished Season is set in the 1950s in and around Chicago, but elsewise an interesting parallel to The Great Gatsby in terms of setting and basic plot: class and manners among the society elite, and a young man wrestling with changes in family, caste, and personal relations.… (plus d'informations)
Un vrai plaisir de lecture que ce plongeon dans les années folles à Long Island, la Riviera de New-York, et toute cette bourgeoisie mondaine et richissime qui occupe son temps en d'innombrables soirées où tout est possible. Le personnage de Gatsby est mystérieux, unique, à la fois attachant et horripilant par sa suffisance, sa fortune, son air de ne rien prendre au sérieux. Toute une cour tourne autour de lui, chez lui, dans sa somptueuse demeure qui accueille tous ceux qui souhaitent participer à ce faste et être vus et reconnus au sein de ce microcosme huppé. Amours, désillusions, fortunes, corruptions, tout est là, cachant des vies amères, des absences de sens, des désillusions. Le narrateur, Nick Carraway, le voisin le plus proche de Gatsby et qui devient son ami tout en restant très conscient de l'étrangeté du personnage, assiste au déroulement de la vie de cet être fortuné et au fond très perdu, qui s'est construit avec l'aide d'un escroc pour gravir l'échelle sociale afin de retrouver Daisy, son unique amour, d'un autre monde que lui, qui a finalement épousé un autre homme. Jusqu'au drame final, un magnifique témoignage d'une époque révolue, dans une écriture somptueuse. J'en reste imprégnée pendant un bon moment... ( )
…mieux pour inclure l'introduction réécrite de Fitzgerald en référence à HL Mencken. Il est dommage que ce livre n'ait pas été disponible gratuitement au moment de la lecture dans son pays d'origine en raison de son délai de limitation de copie plus long, contrairement à d'autres endroits.…
> New York, années folles… Dans sa somptueuse demeure de Long Island, Jay Gatsby organise de fastueuses réceptions où les invités se pressent en foule. Mais leur hôte ne cherche à éblouir qu’une seule personne : Daisy Buchanan. Elle est élégante, riche, séduisante, mais elle est la femme d’un héritier millionnaire… Avec ce texte devenu un classique, Fitzgerald, sur un air de jazz et une coupe de champagne à la main, met à nu le Rêve américain et écrit l’un des plus beaux romans du XXe siècle. —Pauline Hamon (Culturebox)
> Par Linternaute (Linternaute) : 50 livres à avoir lus absolument 11 mars 2010 - Le New York des années 20 L'histoire : Jay Gatsby est riche et mystérieux. Il se lie d'amitié avec Nick, son voisin et le narrateur du récit. C'est le début d'une histoire trouble et tragique. Pourquoi faut-il l'avoir lu ? Parce que ce livre est devenu un classique et qu'il formule une critique brillante du rêve américain.
> À sa sortie en 1925, Gatsby le magnifique fit polémique et fut un échec en librairie. Très vite retiré de la vente, il ne connut le succès qu'à sa réédition dans les années 1950. Il est aujourd’hui l'oeuvre emblématique de la « génération perdue » des années 1920, celle des jeunes gens qui cherchaient à noyer leur désespoir né de la guerre dans le jazz et l'alcool de contrebande. —Le Livre de Poche
> (Re) découvrir ce texte merveilleux, c’est renouer avec la littérature de nos vingt ans, exaltante, moderne, loin de nos petites réalités étriquées. Gatsby est une sorte de héros fantasmé de l’Amérique, sa puissance et aussi sa faiblesse. S’il n’y avait qu’un seul Fitzgerald à lire, il faudrait sans conteste lire celui-là. Parce que Gatsby, c’est à la fois la force du désir et le rêve inachevé, un concentré d’utopie et de désastre, reflet troublant d’une société dont nous sommes les héritiers. —Claire Strohm, Librairie Au Moulin des Lettres à Épinal (88)
"The Great Gatsby" de F. Scott Fitzgerald est le drame d'une société écartelée entre luxe et pauvreté, espoirs de réussite et avenir tout tracé. Dans un style sobre et visuel, l'auteur nous entraîne dans le tourbillon des années 20, mais continue à nous toucher, notamment dans sa réflexion sur la fuite du temps. "So we beat on, boats against the current, borne back ceaselessly into the past." ( )
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Then wear the gold hat, if that will move her; If you can bounce high, bounce for her too, Till she cry "Lover, gold-hatted, high-bouncing lover, I must have you!" —Thomas Parke D'Invilliers
Dédicace
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ONCE AGAIN TO ZELDA
Premiers mots
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In my younger and more vulnerable years my father gave me some advice that I've been turning over in my mind ever since.
Citations
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Let us learn to show our friendship for a man when he is alive and not after he is dead.
All right ... I'm glad it's a girl. And I hope she'll be a fool—that's the best thing a girl can be in this world, a beautiful little fool.
This is a valley of ashes—a fantastic farm where ashes grow like wheat into ridges and hills and grotesque gardens, where ashes take the forms of houses and chimneys and rising smoke and finally, with a transcendent effort, of men who move dimly and already crumbling through the powdery air. Occasionally a line of gray cars crawls along an invisible track, gives out a ghastly creak and comes to rest, and immediately the ash-gray men swarm up with leaden spades and stir up an impenetrable cloud which screens their obscure operations from your sight.
"Whenever you feel like criticizing any one," he told me. "just remember that all the people in this world haven't had the advantages that you've had."
I rented a house ... on that slender riotous island which extends itself due east of new york -- where there are, among other natural curiosities, two unusual formations of land. Twenty miles from the city a pair of enormous eggs, identical in contour and seprated only by a courtesy bay, jut out into the most domesticated body of salt water in the Western hemisphere, the great wet barnyard of Long Island Sound. They are not perfect ovals ... but their physical resembalnce must be a source of perpetual wonder to the gullsthat fly overhead.
. . . he must have felt that he had lost the old warm world, paid a high price for living too long with a single dream. He must have looked up at an unfamiliar sky through frightening leaves and shivered as he found what a grotesque thing a rose is and how raw the sunlight was upon the scarcely created grass. A new world, material without being real, where poor ghosts,breathing dreams like air, drifted fortuitously about . . . like that ashen, fantastic figure gliding toward him through the amorphous trees.
They were careless people, Tom and Daisy - they smashed things up and creatures and then retreated back into their money or their vast carelessness or whatever it was that kept them together, and let other people clean up the mess they had made...
Most of the big shore places were closed now and there were hardly any lights except the shadowy, moving glow of a ferryboat across the Sound. And as the moon rose higher the inessential houses began to melt away until gradually I became aware of the old island here that flowered once for Dutch sailors’ eyes — a fresh, green breast of the new world. Its vanished trees, the trees that had made way for Gatsby’s house, had once pandered in whispers to the last and greatest of all human dreams; for a transitory enchanted moment man must have held his breath in the presence of this continent, compelled into an aesthetic contemplation he neither understood nor desired, face to face for the last time in history with something commensurate to his capacity for wonder.
And as I sat there, brooding on the old unknown world, I thought of Gatsby's wonder when he first picked out the green light at the end of Daisy’s dock. He had come a long way to this blue lawn and his dream must have seemed so close that he could hardly fail to grasp it. He did not know that it was already behind him, somewhere back in that vast obscurity beyond the city, where the dark fields of the republic rolled on under the night.
Gatsby believed in the green light, the orgastic future that year by year recedes before us. It eluded us then, but that’s no matter — tomorrow we will run faster, stretch out our arms farther.... And one fine morning —
"I'm thirty," I said. "I'm five years too old to lie to myself and call it honor."
And I like large parties. They're so intimate. At small parties their isn't any privacy.
“If it wasn’t for the mist we could see your home across the bay," said Gatsby. "You always have a green light that burns all night at the end of your dock."
Daisy put her arm through his abruptly, but he seemed absorbed in what he had just said. Possibly it had occurred to him that the colossal significance of that light had now vanished forever. Compared to the great distance that had separated him from Daisy it had seemed very near to her, almost touching her. It had seemed as close as a star to the moon. Now it was again a green light on a dock. His count of enchanted objects had diminished by one.
Derniers mots
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So we beat on, boats against the current, borne back ceaselessly into the past.
New York, années folles… Dans sa somptueuse demeure de Long Island, Jay Gatsby organise de fastueuses réceptions où les invités se pressent en foule. Mais leur hôte ne cherche à éblouir qu’une seule personne : Daisy Buchanan. Elle est élégante, riche, séduisante, mais elle est la femme d’un héritier millionnaire… Avec ce texte devenu un classique, Fitzgerald, sur un air de jazz et une coupe de champagne à la main, met à nu le Rêve américain et écrit l’un des plus beaux romans du XXe siècle. [4e de couv.]
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Le personnage de Gatsby est mystérieux, unique, à la fois attachant et horripilant par sa suffisance, sa fortune, son air de ne rien prendre au sérieux. Toute une cour tourne autour de lui, chez lui, dans sa somptueuse demeure qui accueille tous ceux qui souhaitent participer à ce faste et être vus et reconnus au sein de ce microcosme huppé. Amours, désillusions, fortunes, corruptions, tout est là, cachant des vies amères, des absences de sens, des désillusions.
Le narrateur, Nick Carraway, le voisin le plus proche de Gatsby et qui devient son ami tout en restant très conscient de l'étrangeté du personnage, assiste au déroulement de la vie de cet être fortuné et au fond très perdu, qui s'est construit avec l'aide d'un escroc pour gravir l'échelle sociale afin de retrouver Daisy, son unique amour, d'un autre monde que lui, qui a finalement épousé un autre homme.
Jusqu'au drame final, un magnifique témoignage d'une époque révolue, dans une écriture somptueuse. J'en reste imprégnée pendant un bon moment... ( )