> Bibliographie : https://www.librarything.fr/work/30835700/book/247558596

> L'expérience religieuse au delà des religions et l'importance de l'amour et de l'érotisme dans la quête spirituelle.
-- Durckheim donne des pistes merveilleuses pour un chemin de découvertes vers la contemplation, appel de vie intérieure.
—Thérèse Desrochers Vincent (ICI.Radio-Canada.ca)

> LE CENTRE DE L’ÊTRE, de Karlfried Graf Dürckheim, propos recueillis par Jacques Castermane. — Le plus proche élève de Dürckheim nous livre ici la substance du dialogue qu’il entretint avec le philosophe durant vingt ans. Dürckheim aborde ce qu’il nomme « l’expérience religieuse au-delà des religions », et insiste sur l’importance de l’amour dans la quête spirituelle. Albin Michel, 1992. (Spiritualités Vivantes)

> Bibliographie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Karlfried_Graf_D%C3%BCrckheim#%C5%92uvres_traduite...
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Durckheim-Le-Centre-de-letre/104875

> Ce livre présente l'enseignement de Durckheim suivi par J Casterman.
Il est bien structuré et se lit très facilement.
Il donne également une autre vision de la psychologie. (Danieljean)

Passionnant, une bonne base pour découvrir et comprendre ce que Karlfried G. Durkheim a rapporté et transmis à l'occident de l'essence même de la sagesse orientale basée sur l'expérience transcendentale ancrée dans le corps.
A lire et relire pour pouvoir plonger dans notre Etre profond, le sentir, l'expérimenter. ( )

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Durckheim-Hara-Centre-vital-de-lhomme/192997
> BAnQ (Mainmise, 1973, mars, pp. 6-7) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2219873
> Bibliographie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Karlfried_Graf_D%C3%BCrckheim#%C5%92uvres_traduite...
> Scribd : http://fr.scribd.com/doc/118591695/Hara-centre-vital-de-l-homme-par-Karlfried-Gr...
> Bibliographie : https://www.librarything.fr/work/30835700/book/247558596

> HARA, Centre vital de l'homme, de K. G. Durckheim - Ed. Le courrier du livre (1974), 254 pages. — RÉSUMÉ. — Le " Hara " n'est pas seulement une théorie doctrinale . c'est l'enseignement d'une pratique au service de l'essentiel. La pratique de Hara aide à la fois dans la maîtrise de la vie en ce monde et dans la progression sur la Voie. Il s'agit de la Voie qui redonne à l'homme ayant perdu ses racines, la conscience de son origine éternelle et qui le prépare à réaliser sa destination première, c'est-à-dire à révéler l'Etre dans l'existence. Le retour en son centre originel de l'homme devenu étranger à lui-même a toujours joué un rôle décisif dans l'engagement sur la Voie. L'enseignement et la pratique du Hara, du centre vital de l'homme, font prendre conscience de ce processus.
Pour ce qui est des rapports entre " esprit occidental " et " sagesse orientale ", il devient évident que les oppositions entre monde oriental et monde occidental constituent, au fond, un problème inhérent à la nature profonde de l'homme. Il faut faire une distinction entre les principes fondamentaux à valeur humaine générale et leur concrétisation qui prend différentes formes selon la race, les conditions géographiques, la tradition spirituelle et le niveau de développement.
Le présent ouvrage n'a pas d'autre prétention que d'ouvrir une porte menant à une sagesse née de l'expérience transcendantale, sagesse dont on n'a pas, jusqu'à présent, assez apprécié la valeur. Qu'il commence aujourd'hui à en être autrement ne signifie pas que l'on emprunte à une conception orientale, mais au contraire que l'on s'ouvre à une vérité propre à tous les hommes, vérité qui n'avait pas encore fait son chemin.

> HARA, de K. G. Durckheim. — Le livre clé du maitre rhénan, sur le centre (vital et de gravité) de l’être humain : une pratique au service du réel et de l'essentiel : “L'exercice de la respiration juste doit commencer par une descente vers le bas, c’est-à-dire mettre l'accent sur l'expiration… L'enracinement dans le centre vital, dans le hara, donne à l'homme la jouissance d'une force qui lui permet de maîtriser sa destiné autrement qu’il ne peut avec les seules forces du Moi. C'est une force qui le porte en secret, une force ordonnatrice et formatrice ; mais également libératrice et unificatrice.” Le courrier du Livre. (Albert SARALLIER)
—Nouvelles Clés, (12), Juillet/Août 1990, (p. 45)

> HARA, de K. G. Durckheim. — Parmi les nombreux ouvrages en langues française et anglo-saxonne que j'ai pu lire, c'est de loin le plus riche d'enseignement. Une réflexion profonde sur la dimension verticale de l'être humain en relation avec sa respiration. Face au stress de la vie moderne, beaucoup voudraient pouvoir lâcher prise. Ce livre vous dira comment y arriver. En tant que professeur d'aikido et pratiquant de tai chi, je reviens souvent à l'ouvrage de Durckheim pour enrichir mon enseignement et ma pratique. Chaque re-lecture m'apporte une dimension nouvelle. Loin d'être un concept ésotérique, le Hara est LE centre autour duquel tout s'organise, notre évolution physique, mentale et spirituelle.
—Elaidi "Arty" (Paris)

> HARA, de K. G. Durckheim. — Enfin un livre simple sans prétention qui apporte une méthode de travail sur soit et délivre une clef de compréhension à énormément de domaine , art martiaux , médecine chinoise , relaxation ....
Pour moi , c'est le livre que j'aurais dù avoir depuis tout petit et qui , si on se donne la peine évite l'égarement dans la vie de tout les jours.
Chaque lecture conduit a une vision nouvelle et remplace les médecins , gomme la fatigue et les iritations.
Une lecture qui guérit.
—A. Jean-yves "Jean-Yves" (france)

> HARA : centre vital de l'homme. — Karlfried Graf Dürckheim, […] décédé à l’âge de quatre-vingt douze ans en 1988, fut […] un ardent promoteur du Zen chrétien. Il a découvert le Zen en 1921 par la lecture d’un article d’Eugen Herrigel sur l’art du tir à l’arc. Il en est si marqué que, lorsqu’il se rend au Japon en 1938, il décide d’apprendre le tir à l’arc avec le maître du propre maître d’Herrigel. De plus en plus passionné par le Zen, mais aussi chrétien convaincu, il rédige un petit livre sur maître Eckart et le Zen, publié en japonais en 1943. « Je ressens qu’Eckart et le Zen veulent peut-être dire la même chose. Mais de quoi s’agit-il seulement? Chez l’un comme chez l’autre, on respire peut-être ce même air cristallin, comme celui que l’on trouve au sommet d’une montagne par un clair matin d’automne. Chez les deux on se sent le cœur libre et ouvert. On se sent sur la terre ferme et à la fois comme élevé au-dessus de toutes choses, et pourtant on se trouve au cœur du monde, et celui-ci devient clair et transparent, comme si l’on pouvait voir son noyau [1]. »
Dès son retour en Allemagne en 1948, Dürckheim a le souci de transmettre la tradition zen suivant une démarche adaptée à l’homme occidental. Mais il entend inscrire cette démarche dans une perspective plus vaste qui associe la thérapie occidentale, le christianisme et la pratique de zazen. C’est ainsi qu’il met au point au début des années 50 sa propre méthode, qu’il qualifie de « thérapie initiatique ». La méditation zen constitue l’un des piliers de cette thérapie initiatique explicitement enracinée dans le christianisme : « L’assise en silence dans la posture zazen est un exercice initiatique qui favorise l’union intérieure avec l’Être essentiel. Dans cet exercice, il faut commencer par lever les obstacles qui empêchent cette union et éveiller ce qui y conduit [2]. »
Situé en plein cœur de la Forêt noire, le célèbre centre de Rütte accueille dès le milieu des années 50 des milliers d’Occidentaux en quête de ressourcement intérieur. De nombreux prêtres et religieux catholiques y apprendront la méditation zen sous la direction de Dürckheim, et certains d’entre eux fonderont par la suite leurs propres centres de Zen chrétien. Quelques disciples de Dürckheim, tel Jacques Castermane, qui a ouvert un centre dans la Drôme en 1981, feront dès lors rayonner son enseignement à travers le monde.
1. Cité par Gerhard Wehr, in Dürckheim. Une vie sous le signe de la transformation, op.cit., p. 140
2. Dürckheim, Méditer, pourquoi et comment?, Le Courrier du livre, 1982, p. 104.
—In: Frédéric Lenoir, La rencontre du bouddhisme et de l'occident, Albin Michel (p. 286)