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Ceux qui partent : roman

par Jeanne Benameur

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"Tout ce que l'exil fissure peut ouvrir de nouveaux chemins. En cette anne?e 1910, sur Ellis Island, aux portes de New York, ils sont une poigne?e a? l'e?prouver, chacun au creux de sa langue encore, comme dans le premier ve?tement du monde. Il y a Donato et sa fille Emilia, les lettre?s italiens, Gabor, l'homme qui veut fuir son clan, Esther, l'Arme?nienne e?pargne?e qui re?ve d'inventer les nouvelles tenues des libres Ame?ricaines. Retenus un jour et une nuit sur Ellis Island, les voila? confronte?s a? l'e?preuve de l'attente. Ensemble. Leurs routes se me?lent, se de?nouent ou se lient. Mais tout dans ce temps suspendu prend une intensite? qui marquera leur vie entie?re. Face a? eux, Andrew Jonsson, New-Yorkais, pe?re islandais, me?re fie?re d'une ascendance qui remonte aux premiers pionniers. Dans l'objectif de son appareil, ce jeune photographe amateur tente de capter ce qui lui e?chappe depuis toujours, ce qui le relierait a? ses ance?tres, e?migrants eux aussi. Quelque chose que sa famille riche et oublieuse n'aborde jamais. Avec lui, la ville-monde cosmopolite et ouverte a? tous les progre?s de ce XXe sie?cle qui de?bute. L'exil comme l'accueil exigent de la vaillance. Ceux qui partent et ceux de New York n'en manquent pas. A? chacun dans cette ronde nocturne, ce tourbillon d'e?nergies et de sensualite?, de tenter de trouver la forme de son exil, d'inventer dans son propre corps les fondations de son nouveau pays. Et si la nuit e?tait une langue, la seule langue universelle?"--Page 4 of cover.… (plus d'informations)
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Ennuyeux à force de mots et d'expressions poétiques /emphatiques ! ( )
  pangee | May 4, 2022 |
Une écriture en forme de poème avec la liberté du roman, voici le nouveau livre de Jeanne Benamer « Ceux qui partent » paru chez Actes Sud pour la rentrée littéraire 2019.
Cette histoire permet à Jeanne Benameur de décrire une journée et une nuit à Ellis Island (NY) au travers d’une galerie de personnages au moment des années 1910.
« La ville du jour neuf » est la porte d’entrée pour les migrants sur le sol américain. Après la vague d’immigration importante nécessaire aux développements économiques de la jeune nation américaine, en 1910, les portes commencent à se fermer et du coup, on trie, on sélectionne, on refuse…
Jeanne Benameur s’interroge sur la notion de pays, de langue, d’exil, des motifs économiques ou politiques de l’émigration mais aussi de départ volontaire pour se libérer des failles et des douleurs et booster sa vie.
La suite ici
https://vagabondageautourdesoi.com/2019/09/08/ceux-qui-partent-jeanne-benameur/ ( )
  Vagabondageauour | Dec 19, 2019 |
Magnifique roman de cette auteur qui à chaque fois me touche profondément par la beauté et la justesse de son écriture et de l'universalité des portraits qu'elle dresse de ses personnages.
Le roman se déroule en 1910, un paquebot arrive à Ellis Island chargé de migrants qui ont tout quitté de leurs pays d'origine, espérant trouver dans ce nouveau pays un peu d'espoir et de lendemains plus heureux. Il y a Donato et sa fille Emilia, des Italiens lettrés qui ne fuient leur pays et qui sont venus vers ce nouvel horizon avec l'envie de croquer la vie à pleine dent. On croise également Gabor, fier gitan qui tombe amoureux d'Emila et qui veut fuir son clan. Mais ces deux-là ne sont pas du même monde. Il y a Esther, une femme arménienne terrassée par les horreurs que son peuple a subi dans le génocide. Des personnages magnifiques, qui se croisent, se serrent les coudes, se regroupent, se comprennent au-delà des mots qu'ils n'ont pas en commun. A leur arrivée sur Ellis Island ils croisent ce jeune photographe New-Yorkais d'origine islandaise par son père et américain depuis les pionniers du coté de sa mère. Il est fasciné par ces immigrants, par les histoires qu'il imagine derrière chacun d'entre eux. Donato et sa fille Emilia le touchent particulièrement. Il sent dans ces gens venus de loin l'occasion de se sentir, lui, relié à ses propres ancêtres islandais, migrants eux aussi, dans de dures conditions. Il veut accueillir ces nouveaux venus dans sa propre ville, cosmopolite. Pour cela il doit se battre contre sa propre mère qui a prévu un avenir tout à fait autre pour lui.
Cette nuit là, passée dans les bâtiments austères et la discipline féroce des bâtiments de l'Immigration d'Ellis Island, est pleine de bouillonnement de vies, d'espoir, de dignité. Bravo l'artiste ! ( )
  fiestalire | Oct 29, 2019 |
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"Tout ce que l'exil fissure peut ouvrir de nouveaux chemins. En cette anne?e 1910, sur Ellis Island, aux portes de New York, ils sont une poigne?e a? l'e?prouver, chacun au creux de sa langue encore, comme dans le premier ve?tement du monde. Il y a Donato et sa fille Emilia, les lettre?s italiens, Gabor, l'homme qui veut fuir son clan, Esther, l'Arme?nienne e?pargne?e qui re?ve d'inventer les nouvelles tenues des libres Ame?ricaines. Retenus un jour et une nuit sur Ellis Island, les voila? confronte?s a? l'e?preuve de l'attente. Ensemble. Leurs routes se me?lent, se de?nouent ou se lient. Mais tout dans ce temps suspendu prend une intensite? qui marquera leur vie entie?re. Face a? eux, Andrew Jonsson, New-Yorkais, pe?re islandais, me?re fie?re d'une ascendance qui remonte aux premiers pionniers. Dans l'objectif de son appareil, ce jeune photographe amateur tente de capter ce qui lui e?chappe depuis toujours, ce qui le relierait a? ses ance?tres, e?migrants eux aussi. Quelque chose que sa famille riche et oublieuse n'aborde jamais. Avec lui, la ville-monde cosmopolite et ouverte a? tous les progre?s de ce XXe sie?cle qui de?bute. L'exil comme l'accueil exigent de la vaillance. Ceux qui partent et ceux de New York n'en manquent pas. A? chacun dans cette ronde nocturne, ce tourbillon d'e?nergies et de sensualite?, de tenter de trouver la forme de son exil, d'inventer dans son propre corps les fondations de son nouveau pays. Et si la nuit e?tait une langue, la seule langue universelle?"--Page 4 of cover.

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