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Chargement... Renaître de ses cendrespar Placide Gaboury
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> Malgré ce qu’en dit le Nouvel Age, la voie spirituelle est impossible sans la souffrance, qui est largement notre propre création. Cela s’appelle la « voie négative ». La maturité, c’est dire Oui à la souffrance ; l’infantilisme, c’est dire Non. Tout le mal qu’on refuse en soi, on le projette sur les autres. C’est ainsi que naissent les guerres. Mais les conflits sont le terrain de notre croissance. Durant cette vie, on ne renaît qu’à partir de ses cendres. Ceux qui n’ont pas connu leurs cendres ne peuvent être ni forts ni créateurs. Le guerrier intérieur est cette force qui, en nous, sait tenir ensemble le négatif et le positif – comme le fait l’aimant – sans jamais s’identifier à l’un ou à l’autre. | Renaître de ses cendres, Le long chemin de l'ombre et de la lumière, de Placide Gaboury (Collection Ici et Maintenant, Ed. Libre Expression)
—3e millénaire, (27), Printemps 1993
> [...] Publications récentes du même éditeur (Libre Expression), on retrouve quelques livres de réflexion comme « Renaitre de ses cendres : le long chemin de l’ombre et de la lumière » de Placide Gaboury, collection Ici et maintenant. Une invitation à chercher le Dieu caché en chacun de nous, trouver la vie qui surgit de la mort, le bien du mal et tirer parti de ce qui semble destructeur, ténébreux.
« La maturité, écrit-il, c’est dire oui à la souffrance. Tout le mal qu’on refuse en soi, on le projette sur les autres. C’est ainsi que naissent les guerres. Mais les conflits sont le terrain de notre croissance. Durant cette vie, on ne renaît qu’à partir de ses cendres. » (Christiane LAFORGE)
—Le quotidien, 21 novembre 1992