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Réponses sur l'éducation

par Jiddu Krishnamurti

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> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Krishnamurti-Reponses-sur-leducation/81322
> Scribd (Extraits) : https://www.scribd.com/document/152248048/Krishnamurti-1974-Reponses-sur-l-educa...

> RÉSUMÉ. — Les systèmes de l'éducation d'aujourd'hui sont de plus en plus controversés, aussi bien pour les enseignants que pour les élèves. Dans cette superbe Réponse, Krishnamurti nous donne les solutions harmonieuses aussi bien pour les uns que pour les autres. Le premier thème de Krishnamurti est une virulente critique du système d'éducation actuelle axé sur le passé, la spécialisation, le travail, le conflit, la violence, la frustration qui impliquent la peur de soi-même et des autres. Le second thème est bien entendu la Réponse. Il s'agit pour l'éducateur de montrer l'étendue de la vie, de sa beauté, de sa laideur, de ce qu'elle contient de joie et de détresse, de ravissement et de peur. Nous tenterons de résumer ce message en quelques phrases qui se trouvent dans cet ouvrage: "Prenez conscience de la beauté. Vous avez fini de regarder les choses extérieures et maintenant avec les yeux fermés vous pouvez regarder ce qui se passe en vous".
*Source: https://www.centredeconnaissance.org/

> RÉPONSES SUR L'ÉDUCATION, de Jiddu Krishnamurti. — Coup de chapeau aussi à l'éditeur Christian de Bartillat qui vient de faire reparaître les excellentes Réponses sur l'éducation de Krishnamurti, qui prouvent une fois de plus combien nous compliquons sans cesse la réalité avec nos concepts : "Pourquoi vous laissez-vous prendre aux petites choses ? Qu'est-ce qui fait de vous un prisonnier du petit ?" Ah, l'intellect ! Ed. Christian de Bartillat
Nouvelles Clés, (21), Janv./Févr. 1992, (p. 85)

Citations :
- (Citations) : Est-ce là le but de l’éducation, de vous obliger volontairement ou non à vous adapter à cette structure démente qu’on appelle la société ?
- Citations : Ce sont les deux seules attitudes qui aient de la valeur, l’esprit véritablement religieux et l’esprit véritablement scientifique. Toutes les autres activités sont destructrices, conduisent à beaucoup de souffrances, de confusion et de tristesse.
- (Citations) : La purification de chaque plaisir. Cela est-il possible... ?
- (Citations) : L’intelligence est la qualité d’un esprit hautement sensible, très éveillé, très présent.
- (Citations) : Ils ont de l’argent, ils ont une situation, ils sont plus ou moins puissants. Mais enlevez l’argent, la situation sociale, la puissance, vous apercevez un cœur sans profondeur.
- (Citations) : Le processus de reconnaissance est un processus de prolongation du connu.
- (Citations) : Ce rejet constant de petites choses, ces petits coups de balai, ces petits effacements, c’est cela qui est essentiel et non pas une grande négation spectaculaire. ( )
  Joop-le-philosophe | Oct 17, 2020 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Krishnamurti-De-leducation/707823

> DE L'ÉDUCATION, de Krishnamurti - Editions Albin Michel - Coll. Espaces libres, 168 pages -6,90 €. — Il n'est pas nécessaire de présenter ni Krishnamurti ni son œuvre ; voici néanmoins un petit ouvrage moins connu, mais qui gagnerait à l'être. On peut parler à son sujet d'une sorte de dissertation sur la transmission vue sous tous les angles, et dans toutes les circonstances dans lesquelles nous la rencontrons au cours d'une vie. Il aborde ce qui nous façonne, ce qui nous modèle, il parle de ceux qui détiennent le savoir et de ceux qui apprennent, de l'harmonie du couple, de l'éducation des enfants, de la créativité, de ce dont nous devrions nous affranchir pour entrer dans des perspectives plus larges, avec toujours l'esprit ouvert et la grande clairvoyance qu'on lui connaît. —Françoise BLÉVOT
Infos Yoga, (89), Nov./Déc. 2012, (p. 42)

> RÉSUMÉ. — J'espère qu'à la fin de ce siècle, ce que nous appelons aujourd'hui « école » sera une relique historique, développée à l'époque des chemins de fer et de l'automobile privée et rejetée avec eux. Bientôt, il sera évident que l'école est aussi marginale à l'éducation qu'un guérisseur l'est à la santé publique. Ivan Illich (Cuernavaca, Mexique)
La révolution viendra en éducation, mais elle ne dépendra ni des diplômes des professeurs, ni de leurs connaissances, ni des programmes, ni des livres, ni des méthodes audio-visuelles, ni d'aucun progrès technique. Elle dépendra uniquement du climat que saura créer le maître dans sa relation avec l'élève... L'enseignant ne doit pas être un tube stérile à travers lequel passe la connaissance de génération en génération. Carl Rogers, « Les enfants ne sont pas des oies à gaver ».
C'est parce que nous sommes si desséchés nous-mêmes, si vides et sans amour que nous avons permis aux gouvernements et aux systèmes de s'emparer de l'éducation de nos enfants et de la direction de nos vies ; mais les gouvernements veulent des techniciens efficients, non des êtres humains, car des êtres vraiment humains deviennent dangereux pour les Etats et pour les religions organisées. Voilà pourquoi les gouvernements et les Églises cherchent à contrôler l'éducation. Krishamurti, « De l'éducation »
*Source: https://www.centredeconnaissance.org/

> DE L'ÉDUCATION, de Krishnamurti. — Réédition d’un recueil de 12 conférences données en Europe en 1969 et traduites en français en 1971, ce livre offre avec toute sa fraîcheur la verve lucide de J. Krishnamurti. La question qui en est l’axe « l’homme peut-il changer ? » est porteuse de radicales et d’immenses perspectives : « Le problème est donc de savoir si l’esprit, le cerveau et le coeur sont capables de vivre comme pour la première fois, dans la fraîcheur et l’innocence, sans avoir subi de contamination, sachant ce que cela signifie que de vivre heureux, dans l’extase et dans un profond amour » (p. 78). Cette vie nouvelle, cette véritable tranquillité totalement innocente, reste impossible sans une compréhension profonde de l’observation de soi. Et pour cela il nous faut « découvrir ce que c’est qu’observer » (p. 187). C’est-à-dire « découvrir s’il est possible de voir, et cela non avec une seule partie de notre être, visuelle, intellectuelle ou émotionnelle. Est-il possible d’observer de très près sans qu’il y ait aucune déformation ? […] Qu’est-ce que voir ? » (p. 186). L’insistance pour K. de nous questionner dans cette approche de « l’art de voir » est d’autant plus urgente aujourd’hui, où un trop grand nombre de chercheurs et de “découvreurs” adhèrent aux concepts d’un langage non-dualiste sans changement intérieur véritable. Il n’est pas si évident de voir que nous vivons à travers des états conflictuels, et que nous regardons à travers des images ou des concepts. L’un des critères de base, selon K. consisterait à nous rendre compte que lorsque nous nous observons, « l’observateur [c-à-d. nous qui nous regardons pour nous connaître] se figure être autre chose que la chose observée… » (p. 103). Nous pourrions alors commencer à comprendre que « l’observateur est toujours en train de lutter, il est dans un état de conflit. » Il ne fait aucun doute que la tâche soit ardue, et surtout subtile, car la façon dualiste de nous observer « est devenue pour nous une habitude, une tradition, un conditionnement. « Et c’est une des choses les plus difficile au monde que de briser une habitude, parce que nous nous complaisons à vivre dans nos routines… » (p. 103). Et pourtant, avec un minimum d’honnêteté : K. déclare qu’« il est facile de voir que c’est une réaction de la mémoire, de l’expérience, du savoir ; du cerveau, siège de la mémoire » (p. 107). Nous arrivons là à ce que nous appellerions un “seuil" qui, pour K., est la découverte que « l’observateur est la chose observée » (p. 103). Plus exactement, en prenant l’exemple de l’observation de la peur : K. fait remarquer que : « quand la pensée se rend compte qu’elle ne peut absolument rien sur la peur parce que c’est elle qui l’a créé, alors il y a silence ; il y a la négation complète de tout mouvement qui puisse engendrer la peur » (p. 107). Dans L’enseignement de Krishnamurti, cette “vision pénétrante” est l’action juste, complète et libératrice ; c’est lorsque nous regardons « avec cette énergie si totale et complète que la vision ne fait qu’un avec l’action, mettant ainsi fin au problème ? » (p. 224).
"Le vol de l’aigle” se lit en miroir de ce que nous sommes. Albin Michel, Coll. Espace Libre, 2012. 164 p.
3e millénaire, (106), Hiver 2012

> DE L'ÉDUCATION, de Krishnamurti, Éditions Delachaux & Niestlé. — Manifeste révolutionnaire sur l'importance de l'éducation et de l'avènement d'une société nouvelle.
Source : Aryel Sanat, La vie intérieure de Krishnamurti, 2001 - Editions Adyar. (p. 258)

> 1952 - De l'éducation… ; (Extraits… en PDF, ePub),
URL : https://drive.google.com/drive/folders/1imIHD4tE2dBGNTPB-l3QeJQVVGZLH9a4?usp=sha...
Pour réaliser la paix, il nous faut employer des moyens pacifiques. Si les moyens sont violents, comment la fin ne le serait-elle pas ? Si la fin est liberté, le début doit être libre, car la fin et le commencement sont un. Il ne peut y avoir de connaissance de soi et d’intelligence que lorsqu’il y a liberté dès le premier pas. Et la liberté est niée par l’acceptation de l’autorité.
Nous rendons un culte à l’autorité sous ses différentes formes : connaissance, succès, pouvoir etc. Nous imposons notre autorité aux jeunes, et en même temps, redoutons celles qui nous dominent. Pour l’homme qui n’a pas une vision intérieure, le pouvoir extérieur et sa propre situation assument une très grande importance. Dès lors, l’individu s’assujettit de plus en plus à l’autorité et à la contrainte, et devient l’instrument de quelqu’un.
Nous pouvons voir ce processus partout autour de nous. Dans les moments de crise, les nations démocratiques se comportent comme les régimes totalitaires, oubliant leur démocratie et imposant par la force une conformité à leurs ressortissants.
Si nous pouvions comprendre la contrainte qui se cache derrière notre désir de dominer ou d’être dominés, peut-être serions-nous libérés des effets paralysants de l’autorité. Nous avons le désir immodéré de posséder une certitude, d’avoir raison, d’atteindre le succès, de savoir. Et ce désir d’une sécurité, d’une permanence, construit en nous-mêmes l’autorité de notre propre expérience, cependant qu’à l’extérieur il crée l’autorité de la société, de la famille, de la religion, etc. Mais ignorer simplement l’autorité et se débarrasser de ses symboles extérieures n’a que très peu de sens (pp. 56 - 57).
In: COLLECTIF, La compétition dans l’éducation, (p. 89)
© 1995. Articles paru dans le n°5 (1995) de la revue "Les Plumes de l’Aigle". 111 pp. ( )
  Joop-le-philosophe | Jan 23, 2020 |
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