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Chargement... La joie d'êtrepar Suyin Lamour
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> Reiki Do France : https://www.reikido-france.com/Suyin.html
> Suyin Lamour : http://suyin-lamour.fr/la-joie-d-etre-p1033388
> Jérôme Bourgine, site du Monde des Grandes Ecoles - 11/2017 : https://www.mondedesgrandesecoles.fr/suyin-lamour-femme-voulait-seveiller/
> Sabine Dewulf, site Phytospiritualité - 11/2015 : http://spinescent.blogspot.com/2015/11/la-joie-detre-de-sunyin-lamour-un-livre.h...
> Conscience sans objet : http://consciencesansobjet.blogspot.com/2017/01/suyin-lamour.html
> Suyin Lamour : La Conscience de l'Univers, In: Revue 3e millénaire, n°132, Eté 2019 (pp. 86-87)
> Reste consciemment
au niveau de ton Être
qui n'est associé à rien.
Ainsi, ton esprit sera sanctifié
et déversera ses bénédictions sur le monde. —MOOJI*
*In: Mooji, Danser sur l'eau, Almora (2015)
> LA JOIE D'ÊTRE, de Suyin Lamour (2015, Accarias L'Originel, 125 p.). — « Je suis en prison, engluée dans mon histoire personnelle ». Cette simple phrase est un résumé lapidaire de mon état habituel, mais c’est comme si j’étais incapable de le voir. Comme si je vivais dans de la ouate, une matière amortissant toutes les impressions. Et la vie passe ainsi, avec parfois des « phénomènes », des expansions de consciences, des expériences que l’ego ne tarde pas à faire siennes. Est-il possible de s’éveiller de ce rêve diurne qui nous absorbe sans cesse ? C’est l’histoire d’un éveil qui nous est racontée dans ce livre. Après des années de recherche, d’expériences de tout type : Suyin Lamour fond dans le sentiment d’impuissance : « je ne décide rien, absolument rien, je n’ai aucun pouvoir sur ce que je vis. Je ne peux que lâcher le contrôle, car je n’en ai aucun ». Dans cet aveu intérieur, cette sincérité qui emplit tout l’être, « soudain le déclic » se fait, qui est la cessation à l’identification au moi. Seule demeure la conscience. Ce premier éveil, cependant, est le début d’un processus. Il ouvre à une nouvelle perspective, une pratique libérée de tout le poids du chercheur (qui ne se compte pas ici en kilos…). La découverte, toujours fraîche, de l’observation qui provient de la verticalité et du plan de la dualité observé-observateur se déploie de plus en plus clairement. Ce livre, qui part de l’état du chercheur encombré par lui-même, pour aller au chercheur libre de toute identification à sa personne, est léger, aérien et touche juste.
—3e millénaire, (118), Hiver 2015