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Chargement... L'Arbraganpar Jacques Goldstyn
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)843.6Literature French and related languages French fiction Revolution and empire 1789–1815ÉvaluationMoyenne: Pas d'évaluation.Est-ce vous ?Devenez un(e) auteur LibraryThing. |
J’ai choisi ce livre dans un contexte de loisir. La Pastèque est une maison d’édition que j’affectionne particulièrement et ce document a fait une « entrée » remarquée lors de sa parution en 2015. J’avais donc mis ce titre dans ma banque de livres à lire. Récemment, j’ai voulu le lire et comme il est constamment emprunté en version papier dans les bibliothèques de Montréal ou à la BAnQ, je l’ai loué en version numérique pour pouvoir satisfaire ma curiosité.
• Un aspect qui m’a plu :
Le dessin est un aspect que j’ai grandement apprécié. Le trait du dessin est particulièrement attirant de par son caractère enfantin et de par le mélange de couleurs vives qu’il met en scène. Le « remplissage » de certains éléments de l’image comme l’arbre et le chapeau du petit garçon rappelle les gribouillis d’un enfant et rend l’ensemble très poétique et touchant. L’apogée de la beauté du trait et des couleurs se situe à la fin alors que l’arbre est rempli de gants : l’image est frappante et émouvante. Bref, un dessin qui sait traduire des émotions.
• Un aspect qui m’a moins plu :
Il n’y a pas beaucoup d’aspects qui ne m’ont pas plu dans ce livre. Pour les besoins de l’exercice, je mentionnerais la description de l’expérience de grimper. Alors que pour l’ensemble du livre, il y a un mariage très riche et complémentaire entre le texte et l’image, je trouve qu’au moment où l’enfant explique la manière dont il grimpe à Bertolt, son arbre, l’alliance texte-image n’est peut-être pas à son plein potentiel : on semble reproduire des images de l’arbre sous différents angles pour laisser le temps au texte de s’exprimer. Ce n’est toutefois pas un irritant majeur.
• L’objet numérique :
L’objet numérique L’arbragan ne présente pas de fonctions liées à l’affichage qui soient remarquables. Il est certes possible de changer le cadre (page entière, pleine largeur ou taille réelle) ou de « zoomer » (1.5x, 2x, 4x), mais ces fonctionnalités dans le cas d’un album sont plus nuisibles que profitables pour l’expérience de lecture dans le sens où il n’est alors plus possible de voir l’ensemble de la page : on ne voit plus soit une partie de l’image, soit une partie du texte alors qu’ils forment un tout cohérent et que l’un ne va pas sans l’autre. En ce qui concerne les fonctions d’annotation, elles sont absentes, mais encore une fois, ce n’est pas un manque dramatique dans le cas d’un album. Il n’en demeure pas moins que c’est une fonction qui s’avère généralement importante pour la lecture en format numérique. Les fonctions hypertextuelles, quant à elles, sont plus présentes. Il est en effet possible de naviguer à travers une table des matières très sommaire, soit la couverture, le titre, les crédits, le faux-titre, le contenu du livre en soi et finalement la quatrième de couverture. Puisqu’il s’agit d’un album, ce n’est pas une fonction dont la pertinence est monumentale. Pour un essai ou un roman avec plusieurs chapitres, cette fonction de navigation aurait eu une légitimité plus soutenue. Dans le cas de l’objet numérique L’arbragan, les attributs et les fonctions liés à la lecture en format numérique sont donc plus ou moins pertinents.