Cliquer sur une vignette pour aller sur Google Books.
Chargement... L'Homme Superlumineuxpar Régis Dutheil
Aucun Chargement...
Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. aucune critique | ajouter une critique
Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
Discussion en coursAucun
Google Books — Chargement... GenresAucun genre ÉvaluationMoyenne: Pas d'évaluation.Est-ce vous ?Devenez un(e) auteur LibraryThing. |
> L’HOMME SUPERLUMINEUX, de Pr Régis Dutheil & Brigitte Dutheil. — Les conceptions matérialistes habituelles, insuffisantes pour expliquer les nombreux témoignages aux frontières de la mort, les phénomènes de synchronicité, les apparitions inexpliquées et la réincarnation, véhiculent plus de questions qu’elles n’en résolvent.
Régis et Brigitte Dutheil tentent d’apporter un nouvel éclairage théorique, confirmant l’intuition des plus anciens philosophes. A partir des conceptions de G. Feinberg ou de D. Bohm pour la physique, de K. Pribram ou de J. Eccles pour la neurophysiologie et de R. Moody ou de M. Sabom pour l’étude des N.D.E., les auteurs élaborent une théorie "synthétique" fondée sur l’idée d’un « espace-temps superlumineux » soumise à des lois très différentes (l’entropie), situées au-delà du mur de la lumière. (208 p.). Ed. Sand, 1990
—3e millénaire, (17), Automne 1990
> Ce livre a été écrit par un physicien spécialiste de relativité et son épouse professeur de lettres spécialiste d'histoire et philosophie de la conscience et de la mort.
Le livre est une tentative de rapprochement entre certains concepts spirituels et les derniers développements de la physique. (Revue Shakti)
> [...] je viens de lire dans L’Homme superlumineux, écrit par Régis Dutheil, professeur de physique et de bio-physique à la Faculté de médecine de Poitiers *, le passage suivant :
« [...] déterminisme et libre arbitre existent dans deux espaces-temps différents. Le déterminisme existe dans l’espace-temps sous-lumineux (notre univers) et le libre arbitre dans l’espace- temps superlumineux de la conscience.
Au départ, à la naissance d’un être humain, il existe, projetée sur la ligne d’univers, constituant la destinée de l’individu, une série d’événements rangés en séquences causales. Il y a donc déterminisme. Mais quand l’être humain arrive sur sa ligne d’univers devant une certaine séquence causale d’événements, il a la possibilité de changer cette séquence et de la remplacer par une autre. Cette transformation s’effectue au niveau de sa conscience superlumineuse où les événements se trouvent rangés en informations. C’est à ce niveau que le libre arbitre existe.
Si, effectivement, une séquence causale est remplacée par d’autres événements, projetés sur les lignes d’univers sous-lumineuses, à partir de la conscience et par l’intermédiaire du cortex, cette transformation se fera en un temps nul du point de vue de l’univers sous-lumineux. C’est- à-dire que, du point de vue sous-lumineux strict, il sera impossible de se rendre compte qu’une série d’événements causalement reliés a été remplacée par une série d’événements liés de la même façon puisque toutes ces transformations ont lieu dans un temps nul. Tout se passe comme si elles ne s’étaient jamais produites et comme s’il existait, du strict point de vue sous-lumineux, une ligne d’univers unique où tous les événements constituant la destinée sont arrangés ne varietur. »
—L’Homme superlumineux, par Régis Dutheil et Brigitte Dutheil, Ed. Sand, 1990 ; cité dans: Jeanne Guesné, Le 3e souffle, Albin Michel (1995), pp. 145-146
> L’HOMME SUPERLUMINEUX, de R. et B. Dutheil - Êd. Sand. — “Avoir conscience”, “perdre conscience”, “reprendre conscience”, “en son âme et conscience”…, autant d’expressions passées dans le langage courant qui, incidemment, véhiculent d’autres notions essentielles étroitement dépendantes de la conscience : le connu et l’inconnu, l’existence, la vérité, la réalité. Chacune d’elles devenant à son tour une question lourde de sens dans le devenir de l’homme.
Car à n’en pas douter c’est en fonction de ce qu’il sait (ou croit savoir), de ce qu’il perçoit du monde qui l’entoure, que l’homme agit, décide, modèle sa propre évolution. Vision de l’univers et interprétation de la réalité, par le biais des sensations, façonnent et nourrissent à chaque instant la conscience. C’est le fait d’accorder un statut particulier à la conscience qui autorise la construction d’une réalité spécifique.
Le présent ouvrage se propose de faire le point sur la conscience. De reprendre un à un les divers éléments qui le composent, depuis l’étude de ces phénomènes appelés sensations — sur lesquelles nous basons souvent notre conception du réel alors que la notion même de sensation est complètement subjective — jusqu’à celle de la mort qui nous apparaît désormais tout à fait différente de l’image qui en fut donnée ces dernières décennies.
Ces quelques pages font le point sur l’évolution de la notion de conscience de l’Antiquité à nos jours, mais aussi, surtout, à partir des plus récentes recherches et découvertes, en cette fin de 20e siècle, sur ce que sont la vie et la mort.
C’est pourquoi se trouvent ici réunies, pour la première fois, les approches philosophiques les plus anciennes et les dernières découvertes de la physique moderne, les conceptions spirituelles de l’au-delà de toutes les religions et les expériences médicales aux frontières de la mort.
Défendre la thèse d’une matière autre que celle que nous connaissons, d’un univers où le temps ne s’écoule pas, d’une mort qui n’est qu’un “déplacement d’existence” et non pas une disparition pure et simple, de la présence en chaque être de l’histoire de l’humanité, c’est brusquement la possibilité d’appréhender une autre dimension du réel.
Il est possible de voir dans les recherches métaphysiques de Pythagore, Platon, Démocrite, Leibnitz, Descartes ou Hegel dans les travaux scientifiques de Albert Einstein, Kammerer, Jung ou Pribram, dans les recherches sur la mort de Kubler Ross, R. Moody, Ring et Sabom, celles sur la réincarnation de Stevenson, les reflets de la même soif de savoir, guidée par une intuition d’un réel qui jusqu’à présent nous était caché.
Grâce aux nouveaux accélérateurs de particules, les physiciens arrivent à propulser des “neutrinos” à une vitesse proche de celle de la lumière. A ces vitesses extrêmes, les lois qui régissent notre univers n’ont plus cours.
Ces travaux en physique fondamentale ont conduit le Pr Régis Dutheil à construire un modèle rendant compte de la complexité de notre monde.
L’hypothèse ? Il existe un second univers complémentaire et symétrique au nôtre, où les vitesses sont toujours supérieures à celle de la lumière. Dans cet univers, notre notion de temps n’existe plus puisqu’on peut se déplacer de manière instantanée dans le passé, le présent ou le futur. Cet univers, qu’il a baptisé “espace-temps superlumineux”, n’est constitué que d’informations et de conscience ; toutes les informations (passé, présent, futur) et la conscience de toute l’humanité.
Signalons que les deux auteurs sont professeurs de physique et de bio-physique, tous deux agrégés.
—Nouvelles Clés, (15), Janv./Févr. 1991, (pp. 76-77)