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" Un bijou d'humour et de litterature, savoureux comme un bonbon anglais Madame Figaro Le livre: Lorsqu'un tableau de Nicolas Poussin est vole a un riche proprietaire foncier, celui-ci demande a Isabel Dalhousie, philosophe et directrice de la Revue d'ethique appliquee a Edimbourg, de l'aider. Elle y consent, malgre les protestations de son mari Jamie. Tout en enquetant sur le vol de l'oeuvre d'art, elle doit faire face aux problemes de tous les jours. Elle se demande si elle devrait encourager son fils Charlie, chez qui se manifestent les premiers signes d'un genie mathematique, mais elle hesite a aider son ami Eddie, confronte a des problemes d'amour et de sante. Cet ete encore, malgre ses doutes et les changements qui se produisent dans sa vie, Isabel parvient a tenir ses promesses. L'auteur: Alexander McCall Smith est internationalement connu pour avoir cree le personnage de la premiere femme detective du Botswana, Mma Precious Ramotswe. Ressortissant britannique ne au Zimbabwe, il a ete professeur de droit applique a la medecine et membre du Comite international de bioethique a l'Unesco avant de se consacrer a la litterature. Alexander McCall Smith a recu de nombreux prix et a ete nomme meilleur auteur de l'annee par les British Book Awards en 2004. En 2007, il a recu le titre de commandeur de l'Empire britannique (CBE) pour services rendus a la litterature. Quand il n'ecrit pas, il fait partie de l'Orchestre epouvantable. Ses romans sont traduits dans quarante-cinq langues. Il vit aujourd'hui a Edimbourg, en Ecosse.."… (plus d'informations)
Vous en rêviez et je l’ai fait pour vous : acheter, lire et chroniquer le neuvième tome des aventures de Isabel Dalhousie. Pour ceux qui ont loupé les épisodes précédents, c’est un peu mon Amélie Nothomb à moi. Alexander McCall Smith sort chaque année au mois de septembre le volume où il fait évoluer Isabel Dalhousie (ses autres personnages de série sont à d’autres moments de l’année et comme je ne les ai pas encore lu, je m’en fiche un peu pour l’instant). J’ai commencé par le lire en poche puis en grand format puis en anglais en broché puis en anglais en relié (et pas question d’avoir cette série en électronique par contre, même si … on en reparle à la fin du billet)(si ce n’est pas du teasing, je me trompe). C’est pour vous dire comme je suis droguée !
Passons à l’histoire. Isabel commence à avoir une réputation bien établie. Celle d’une fouineuse dirons certains mais nous nous dirons d’une personne bien intentionnée qui est prête à aider son prochain même si elle ne le connaît pas. C’est le cas ici bien évidemment. Une voisine qu’elle n’aime pas (elle ne dit pas cela comme cela : elle n’arrive pas à avoir d’affinités avec elle et c’est l’objet de toute une réflexion d’éthique appliquée, qui je le rappelle est sa spécialité). Je disais donc, une voisine qu’elle n’aime pas vient la trouver pour lui parler du problème d’un ami. On vient de voler à une de ses connaissances un Poussin quand il ouvrait sa très belle demeure à la plèbe de la société. Franchement, à ce moment-là, j’étais perplexe : Isabel va-t-elle devoir enquêter pour retrouver une peinture ? alors que d’habitude soit elle se plante lamentablement ou bien elle n’y arrive pas. J’ai continué ma lecture et j’ai été rassurée. Elle ne sert que de soutien moral au gars qui s’est fait voler. Elle l’accompagne dans les négociations, les rançons … (parce qu’en Écosse ils font des vols de peinture assez bizarre tout de même ; je vous conseille de lire pour en savoir plus) et va rencontrer les enfants du détenteur du Poussin. Elle va même jusqu’à tout débloquer par une manœuvre plus qu’incertaine. À ce rythme, au tome 10, elle va carrément agir en pleine conscience.
On suit bien sûr le développement de sa vie personnelle. Elle n’a pas de problème avec Jamie mais avec Charlie cette fois-ci (son fils pour ceux qui ne suivraient pas). Grace, la bonne (mais en fait, elle fait tout et c’est pour cela qu’Isabel a le temps de tout faire), apprend en catimini les mathématiques à l’enfant alors que les parents ne veulent rien pousser. S’en suit des débats, une démission, un retour…
Eddie, l’employé de Cate, est amoureux et là encore, cela entraîne toute une réflexion car Isabel continue à réfléchir sur lui et surtout à éprouver une très grande curiosité à son égard. Comme Isabel, j’espère qu’un jour Alexander McCall Smith nous en dira plus parce qu’au bout de neuf épisodes, on n’a toujours aucun élément et on en est réduit au supputation.
Le tout est comme d’habitude émaillé de réflexions truculentes et bizarres. On se demande comment l’auteur arrive à mêler sur le papier toutes ces histoires qui n’ont absolument rien à voir les unes avec les autres. C’est un peu à mon avis ce qui fait le charme de cette série. Au contraire d’une série policière, où on suit l’enquêteur pour une enquête bien particulière, on arrive et on suit la vie d’Isabel pour un petit moment puis on la reperd de vue. Un peu comme si on rencontrait une vieille copine dans la rue, qu’on lui demandait comment cela allait, qu’elle nous invitait au café pour en parler et qu’on la reperde de vue jusqu’à l’année suivante.
Maintenant que j’ai fini de vous raconter toute l’histoire. Je lève le suspens. Je mettais tranquillement ce livre sur LibraryThing quand j’ai vu qu’il y avait un volume 7 et demi (c’est-à-dire entre le 7 et le 8) vendu en ebook. Les commentaires vont de bons à très mauvais mais quand on aime, cela ne compte pas à mon avis ! En plus, cela me fera patienter jusqu’à l’année prochaine, pour enfin lire le tome 10 ! ( )
Références à cette œuvre sur des ressources externes.
Wikipédia en anglais
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" Un bijou d'humour et de litterature, savoureux comme un bonbon anglais Madame Figaro Le livre: Lorsqu'un tableau de Nicolas Poussin est vole a un riche proprietaire foncier, celui-ci demande a Isabel Dalhousie, philosophe et directrice de la Revue d'ethique appliquee a Edimbourg, de l'aider. Elle y consent, malgre les protestations de son mari Jamie. Tout en enquetant sur le vol de l'oeuvre d'art, elle doit faire face aux problemes de tous les jours. Elle se demande si elle devrait encourager son fils Charlie, chez qui se manifestent les premiers signes d'un genie mathematique, mais elle hesite a aider son ami Eddie, confronte a des problemes d'amour et de sante. Cet ete encore, malgre ses doutes et les changements qui se produisent dans sa vie, Isabel parvient a tenir ses promesses. L'auteur: Alexander McCall Smith est internationalement connu pour avoir cree le personnage de la premiere femme detective du Botswana, Mma Precious Ramotswe. Ressortissant britannique ne au Zimbabwe, il a ete professeur de droit applique a la medecine et membre du Comite international de bioethique a l'Unesco avant de se consacrer a la litterature. Alexander McCall Smith a recu de nombreux prix et a ete nomme meilleur auteur de l'annee par les British Book Awards en 2004. En 2007, il a recu le titre de commandeur de l'Empire britannique (CBE) pour services rendus a la litterature. Quand il n'ecrit pas, il fait partie de l'Orchestre epouvantable. Ses romans sont traduits dans quarante-cinq langues. Il vit aujourd'hui a Edimbourg, en Ecosse.."
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Passons à l’histoire. Isabel commence à avoir une réputation bien établie. Celle d’une fouineuse dirons certains mais nous nous dirons d’une personne bien intentionnée qui est prête à aider son prochain même si elle ne le connaît pas. C’est le cas ici bien évidemment. Une voisine qu’elle n’aime pas (elle ne dit pas cela comme cela : elle n’arrive pas à avoir d’affinités avec elle et c’est l’objet de toute une réflexion d’éthique appliquée, qui je le rappelle est sa spécialité). Je disais donc, une voisine qu’elle n’aime pas vient la trouver pour lui parler du problème d’un ami. On vient de voler à une de ses connaissances un Poussin quand il ouvrait sa très belle demeure à la plèbe de la société. Franchement, à ce moment-là, j’étais perplexe : Isabel va-t-elle devoir enquêter pour retrouver une peinture ? alors que d’habitude soit elle se plante lamentablement ou bien elle n’y arrive pas. J’ai continué ma lecture et j’ai été rassurée. Elle ne sert que de soutien moral au gars qui s’est fait voler. Elle l’accompagne dans les négociations, les rançons … (parce qu’en Écosse ils font des vols de peinture assez bizarre tout de même ; je vous conseille de lire pour en savoir plus) et va rencontrer les enfants du détenteur du Poussin. Elle va même jusqu’à tout débloquer par une manœuvre plus qu’incertaine. À ce rythme, au tome 10, elle va carrément agir en pleine conscience.
On suit bien sûr le développement de sa vie personnelle. Elle n’a pas de problème avec Jamie mais avec Charlie cette fois-ci (son fils pour ceux qui ne suivraient pas). Grace, la bonne (mais en fait, elle fait tout et c’est pour cela qu’Isabel a le temps de tout faire), apprend en catimini les mathématiques à l’enfant alors que les parents ne veulent rien pousser. S’en suit des débats, une démission, un retour…
Eddie, l’employé de Cate, est amoureux et là encore, cela entraîne toute une réflexion car Isabel continue à réfléchir sur lui et surtout à éprouver une très grande curiosité à son égard. Comme Isabel, j’espère qu’un jour Alexander McCall Smith nous en dira plus parce qu’au bout de neuf épisodes, on n’a toujours aucun élément et on en est réduit au supputation.
Le tout est comme d’habitude émaillé de réflexions truculentes et bizarres. On se demande comment l’auteur arrive à mêler sur le papier toutes ces histoires qui n’ont absolument rien à voir les unes avec les autres. C’est un peu à mon avis ce qui fait le charme de cette série. Au contraire d’une série policière, où on suit l’enquêteur pour une enquête bien particulière, on arrive et on suit la vie d’Isabel pour un petit moment puis on la reperd de vue. Un peu comme si on rencontrait une vieille copine dans la rue, qu’on lui demandait comment cela allait, qu’elle nous invitait au café pour en parler et qu’on la reperde de vue jusqu’à l’année suivante.
Maintenant que j’ai fini de vous raconter toute l’histoire. Je lève le suspens. Je mettais tranquillement ce livre sur LibraryThing quand j’ai vu qu’il y avait un volume 7 et demi (c’est-à-dire entre le 7 et le 8) vendu en ebook. Les commentaires vont de bons à très mauvais mais quand on aime, cela ne compte pas à mon avis ! En plus, cela me fera patienter jusqu’à l’année prochaine, pour enfin lire le tome 10 ! ( )