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Cleer (2010)

par L. L. Kloetzer

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Vinh et Charlotte viennent d'être engagés par l'entreprise CLEER, une entreprise moderne, radieuse, globale dont les couleurs sont le blanc et le bleu. Une multinationale parfaite, intelligente et qui prend soin de ses employés. Ils font partie d'un service qui n'est pas sans faire penser aux Boeuf-Carottes, la Cohésion Interne. Au fur et à mesure des quelques nouvelles, le sentiment envers l'entreprise devient plus ambigu. C'est quoi, Cleer ? Un avatar de Apple/Google ? Quelque chose de plus insidieux ? Et puis, que vend elle, au juste ?
C'est agréablement écrit et ça se laisse lire tout seul, jusqu'à la fin, surprenante. ( )
  greuh | Feb 7, 2014 |
Oui on peut dire que c'est une transfiguration de nos entreprises dans un univers hallucinatoire pseudo-cyberpunk ou pseudo-fantastique. C'est une lecture agréable mais cela manque d'une certaine logique ou cohésion entre les événements. On peut trouver des références à quelques entreprises bien connues pour leurs pratiques douteuse (comme Monsanto) mais cela ne permet de relever la cohérence du récit. Donc c'est une lecture sympa mais cela ne vaut pas (encore?) William Gibson. ( )
  adulau | May 25, 2013 |
Cleer, c’est une marque, une entreprise, une philosophie, « Be yourself »; une secte, peut-être. Cleer, c’est un roman de Laurent « L.L. » Kloetzer qui plonge dans cet étrange univers, aux confins du cyberpunk et du fantastique, avec un fond d’enquête-aventure et un soupçon de Dilbert.

Vinh Tran et Charlotte Audiberti sont employés dans la division Cohésion Interne du groupe, enquêtant sur les problèmes que les méthodes du groupe ne peuvent gérer normalement. Des problèmes nés le plus souvent des pôles de recherche avancés du groupe: biotechnologie, sciences cognitives, génétique et consorts.

Tellement avancées que, parfois, la trame même de la réalité semble partir en live, avec hallucinations, intuitions extra-sensorielles, voire changements physiques et physiologiques. C’est une des grandes forces de Cleer: un contexte noyé dans la lumière – symbole du groupe – et le jargon corporatif, une sorte de champ de distorsion de la réalité permanent.

C’est aussi une narration qui emporte le lecteur sur des frontières sensorielles, jonglant entre conversations, correspondances, conférences et conciliabules, pensées intimes et déclarations publiques – parfois entremêlés au point d’entretenir la confusion, mais on peut croire que c’est le but.

Situé dans un futur si proche qu’on en sentirait presque le goût, Cleer montre le côté autiste et schizophrène des grandes corporations: les illusions de pureté et d’éthique qui dégénèrent en guerres d’ego et en gestion d’image, l’encadrement mental des employés à la limite du lavage de cerveau (et pas toujours du bon côté de la limite), les slogans, le jargon.

C’est un roman déroutant dans sa forme et passionnant dans son contenu, même si ce qui n’y est pas dit est peut-être plus important que ce qui est raconté – au final une histoire en miroir de chute et d’ascension. Pour les rôlistes qui cherchent à donner une consistance inédite à leurs corpos cyberpunk (ou même contemporaines), c’est une lecture presque indispensable.

Pour ma part, je sors assez soufflé de cette lecture; j’ai eu du mal à lâcher le bouquin. J’ai presque été déçu de l’absence d’explications rationnelles à la fin, mais, à mon avis, c’est parce qu’il ne peut pas y en avoir dans un univers que l’auteur décrit comme « à mi-chemin entre David Lynch et l’Ancien Testament ».

Lisez Cleer, « be yourself »!

Contenu publié sous licence Creative Commons Attribution 3.0 Unported sur http://alias.codiferes.net/wordpress/index.php/cleer-de-l-l-kloetzer/ ( )
  SGallay | Feb 22, 2013 |
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