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Michaël Sanlaville

Auteur de Lastman tome 1

17 oeuvres 364 utilisateurs 13 critiques

A propos de l'auteur

Séries

Œuvres de Michaël Sanlaville

Lastman tome 1 (2015) — Illustrateur; Auteur — 85 exemplaires
Lastman tome 2 (2015) — Illustrateur; Auteur — 63 exemplaires
Lastman, Tome 3 : (2015) — Illustrateur — 47 exemplaires
Lastman, Tome 4 : (2016) — Illustrateur; Auteur — 42 exemplaires
Lastman, Tome 5 : (2016) — Illustrateur — 37 exemplaires
Lastman, Tome 6 (2011) — Auteur — 30 exemplaires
Last Man 7 (2015) — Auteur — 11 exemplaires
Hollywood Jan (2008) 10 exemplaires
Lastman, Tome 8 : (2016) — Auteur — 10 exemplaires
Lastman (Tome 10) (French Edition) (2017) — Auteur — 7 exemplaires
Last Man, tome 12 (2019) 5 exemplaires
San Antonio chez les gones (2018) 5 exemplaires
Lastman, Tome 11 : (2018) 3 exemplaires
Le Fléau vert (2012) 1 exemplaire

Étiqueté

Partage des connaissances

Nom canonique
Sanlaville, Michaël
Sexe
male
Nationalité
France

Membres

Critiques

Ça poutre, les références côtoient les caricatures et les blagounettes, le scénario se distord dans les brèches et les vallées, les mondes se mélangent et les frontières se fissurent malgré les murs et les gardes du Roi.

C’est haletant, le dessin est très personnel et pourtant tout à fait Manga.

Impatient de connaître enfin la fin avec le numéro 12 !
 
Signalé
noid.ch | 3 autres critiques | Jan 7, 2022 |
Et voilà enfin le douzième et dernier (?) tome annoncé de Last Man. Magnifique !

Et me voilà, partagé en tristesse, émotion, un brin de déception (on en voudrait toujours plus), et plein de bons souvenirs dans cette géniale aventure !

Scénario au top, dessin parfait, personnages vivants et complexes, de la violence, des émotions, de l’amour, de l’humour et de la dérision… Very good job !
 
Signalé
noid.ch | Oct 24, 2020 |
Il est toujours difficile de parler d'un second tome surtout lorsqu'il est dans la continuité du premier. C'est le cas ici, mais je ne vais pas cacher une légère déception. Ce ne sont pas les dessins qui sont en cause ni le découpage, il n'y a pas d'évolution très visible entre ces deux volumes dont la date de sortie est proche. Les choix sont toujours aussi judicieux et le dessin aussi efficace, pas de problème de côté là.

Ma déception est liée au scénario. Sur ce aspect, le deuxième tome est toujours révélateur. Le premier est celui de la surprise, de la découverte. Tout est nouveau, l'univers, les personnages, pas le temps de s'ennuyer. Par contre, pour le second tome, c'est différent. Il faut que le scénario prenne de la consistance, qu'il se déploie, qu'il se ramifie pour captiver le lecteur. Malheureusement, ce n'est pas le cas ici. Au contraire, il devient finalement assez linéaire. L'histoire se recentre sur Richard (l'étranger balaise). Il faut noter un petit plus pour les dialogues et certaines répliques de Richard justement dont le ton décalé détonne et paraît presque anachronique au sein de cette communauté policée.

Et ce collant qui me ruine les burnes. […]
OK ! On est obligé de porter ces fringues à la con !

Je pensais que les autres personnages allaient être plus exploités ou mieux utilisés, mais ce n'est pas le cas. Dommage, il y avait pourtant du potentiel — je parle au passé, mais ce potentiel est toujours là.

J'ai suivi l'histoire avec plaisir, mais sans réel enthousiasme. Je suis dans le même état d'esprit vis-à-vis de la suite. J'aimerais bien la connaître, mais je n'ai pas la même attente — pour en revenir aux références du premier article — que pour un épisode de DBZ ou la parution d'un nouveau tome de Naruto. http://www.aubonroman.com/2013/07/lastman-tome-2-par-plusieurs-auteurs.html
… (plus d'informations)
 
Signalé
yokai | 1 autre critique | Jul 24, 2013 |
Lorsque l'on regarde de près le travail de la star montante de la BD, Bastien Vivès, on se rend compte que c'est une question de génération. Récemment primé pour sa Grande Odalisque il reprend du service en mode collaboratif, mais en embarquant avec lui de nouveaux camarades de jeu. Si on peut raisonnablement considérer que sa précédente création était inspirée du dessin animé diffusé sur FR3 le dimanche soir Cat's Eyes, on peut également se poser la question des sources d'inspiration pour ce Last Man. Et elles sont potentiellement nombreuses : de la moins avouable référence au grand acteur belge Jean-Claude Van Damme dans Bloodsport à celle bien plus consensuelle de Dragon Ball Z en passant par une partie de Street Fighter II — j'ai reconnu le masque de Vega, l'un des boss du jeu — sur borne d'arcade ou sur Super Nintendo et en finissant par la lecture d'un Naruto dans les toilettes — pour ça le petit clin d'œil façon manga à la fin du volume nous aide bien. Les frères Bogdanov ont aussi manifestement été une source d'inspiration, mais ça n'a rien à voir. Bastien Vivès n'est pas étranger à tout ça car il ne s'est pas occupé que des couleurs (présentes uniquement sur les premières pages) comme le mentionne la page de garde, mais a construit le scenario et dessine en tandem avec Michaël Sanlaville. Ceci explique pourquoi on retrouve du Vivès dans les dessins sans que ce soit totalement du Vivès (dessins schématiques mais expressifs, aplats de noir, son style quoi).

Le point central du livre, qui est aussi le point commun de toutes les références — hautement culturelles — que je viens de citer, est le tournoi. Ici il est organisé au sein d'un village et a la particularité d'opposer des équipes de deux combattants — comme dans certains matchs de catch. Le duo que nous allons suivre est hétéroclite puisqu'il est composé d'un frêle petit garçon et d'un grand étranger plutôt balaise.

Contrairement aux références citées précédemment, l'accent n'est pas mis sur le détail des combats qui sont assez courts. Ce choix est judicieux car l'observation clinique des techniques de chaque combattant peut se révéler rapidement assez ennuyeuse. Le dynamisme du découpage et celui insufflé par les dessins participent à cette impression favorable en rendant les phases de combats fluides et agréables à suivre.

Si le tournoi est bien le point de convergence du récit, nous venons de voir qu'il ne prend pas tout l'espace. Il est occupé par tout ce qu'il y a autour pour mieux tenir le lecteur en haleine. Comme dans les mangas, le passé des personnages n'est révélé qu'au fil de la trame principale de la narration. Ces révélations au compte-goutte enrichissent le récit et crées de l'attente chez le lecteur.

L'objectif est atteint, on suit ce tournoi et on découvre les personnages avec un réel plaisir. Heureusement, le deuxième tome vient de paraître — et, a priori, ce ne sera pas le dernier. http://www.aubonroman.com/2013/07/lastman-tome-1-par-bastien-vives.html
… (plus d'informations)
 
Signalé
yokai | 3 autres critiques | Jul 6, 2013 |

Prix et récompenses

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Auteurs associés

Balak Author
Bastien Vivès Illustrator

Statistiques

Œuvres
17
Membres
364
Popularité
#66,014
Évaluation
3.8
Critiques
13
ISBN
67
Langues
6

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