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Chargement... Le Pingouin (original 1996; édition 2005)par Andrej 'evi Kurkov
Information sur l'oeuvreLe Pingouin par Andrey Kurkov (1996)
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. À la lecture du quatrième de couverture, je m'attendais à de l'humour absurde, mais l'ambiance fut beaucoup plus terne, comme des journées d'hiver dans un immeuble de la capitale Ukrainienne. Un roman déprimant sur la vie déprimante d'un écrivain raté et de son pingouin déprimé embarqués dans des histoires de mafia russe. ( ) Quand le zoo de Kiev n’est plus en mesure de nourrir ses pensionnaires, Victor, écrivain, journaliste et rédacteur de nécrologies, adopte un pingouin. Un roman à l’humour absurde et aux drames latents sur la société ukrainienne post-URSS, qui se lit à comme une fable à la fois comique et grinçante qui ferait se côtoyer un pingouin neurasthénique, une orpheline insouciante et quelques macchabées. Une histoire étonnante qui frôle l'absurde sans véritablement y tomber. On écrit les rubriques nécrologiques de personnages qui ne sont pas encore morts. Et les pingouins ont remplacé les chiens ou les chats pour remplir la vie d'êtres solitaires et malheureux. On se surprend alors à ressentir une émotion tendre pour ce compagnon élégant sur deux pattes qui subit les intentions troubles et corrompues d'un bloc de l'Est en plein effondrement. Animal fragile, triste et perdu qui nécessite une greffe de cœur pour survivre. L'écriture d'Andreï Kourkov est sobre. Elle nous emporte dans des contrées lointaines et inattendues. > ANDRE KOURKOV : Le pingouin (TRADUIT DU RUSSE PAR NATHALIE AMARGlER ÉDITIONS LIANA LEVI. PARIS 2000, 274 PAGES) Se reporter au compte rendu de Sabrina VERVACKE In: (2000). Compte rendu de [Nouveautés]. Québec français, n° 119, (automne 2000), p. 15.… ; (en ligne), URL : https://id.erudit.org/iderudit/56018ac > Impossible (et peu souhaitable, la lecture en est si savoureuse !) de résumer les mille et une aventures que partagent un homme naïf et un pingouin mélancolique. --Télérama > Par Flora (EdiLivre.com) : A la découverte de la littérature russe 22 avr. 2017 ... Andreï Kourkov est un écrivain contemporain, témoin direct des absurdités du régime soviétique. Il les dépeint avec un humour noir et grinçant, mais garde une tendresse sans égale pour ses personnages. Dans Le pingouin, on croise des hommes d'affaires mafieux, des rescapés de guerre et bien sûr un homme et son pingouin qui tentent par tous les moyens de s'en sortir dans ce monde étrange et difficile à décrire sans y être plongé. Victor est un écrivain qui partage un T2 avec un animal de compagnie original prénommé Micha. Victor a recueilli ce pingouin lorsque le zoo de Kiev a rencontré quelques difficultés pour nourrir ces pensionnaires. Micha a donc trouvé asile dans le T2 exiguë de Victor. Si celui est plutôt modeste, il bénéficie tout de même d'une baignoire permettant au pingouin de prendre des bains d'eau froide salvateurs. Car un pingouin n'est pas habitué à subir la chaleur ukrainienne - mettre chaleur et Ukraine dans la même phrase c'est quand même étrange -. Le Pingouin attire tous les regards mais n'est pas devenu pour autant le porte bonheur de son maître en matière d'écriture, sa carrière ne décolle toujours pas. Pour se nourrir, Victor accepte une proposition d'un genre particulier du journal la Stolitchnaïa. Le travail qui lui est demandé est surprenant mais plutôt bien payé et pas très compliqué. Il s'agit de rédiger des nécrologies qu'il appelle ses 'petites croix'. Ce n'est pas très passionnant ni valorisant mais ce travail ne le dérangerait vraiment pas si ce n'était un petit détail qui lui trotte dans la tête. Les personnes qu'il honore de sa prose ne sont pas encore mortes ... C'est la seconde fois que je lis ce roman. Il est parfois rangé dans la catégorie des polars mais je ne suis pas d'accord avec cette classification. S'il partage certains codes avec les canons du genre et notamment le milieu dans lequel évolue le personnage, il n'y a pas ici d'enquête et de rôle principal tenu par un policier. Au contraire, il se dégage de ce livre quelque chose de très particulier. C'est dans le domaine du ressenti, une ambiance. Est-ce lié à la personnalité de Victor, à la présence du pingouin ou plus certainement à tous ces petits moments du quotidien ? Ces plaisirs simples qui font aimer la vie: se rendre au centre de Kiev en trolleybus, passer le nouvel an dans une Datcha, partager une bouteille et des rondelles de saucisson avec un ami, boire une tasse de thé en regardant par la fenêtre, offrir un cadeau à une petite fille. Je serai heureux de partager une tasse de thé ou de café bien au chaud dans le petit appartement de Victor avant de partir en balade au bord du Dniepr gelé, regarder Micha plonger joyeusement dans les trous d'eau en rinçant nos tasses de café au cognac. Ces moments magiques s'étiolent au fil du livre pour s'évanouir complètement vers la fin qui est moins réussie et ne fait plus qu'introduire la suite du livre: Les pingouins n'ont jamais froid. Je rédige moi aussi de petits textes, des billets sans prétention. Ils ne concernent pas des personnes vivantes mais des livres, c'est moins dangereux. http://www.aubonroman.com/2010/02/le-pingouin-par-andrei-kurkov.html
What they might approximate for the curious reader, however, is what it’s like to sit for a long late evening with a genial and gifted storyteller as he leads you through the most ancient and, in many ways, still most pleasurable functions of literature — making us wonder what on earth is going to happen next. The novel's hero, Viktor Zolotaryov, is a frustrated writer whose short stories are too short and too sensation-free to be published. When a newspaper editor offers him a new job as star obituarist, paying $300 a month to write 'snappy, pithy, way-out' pieces, he agrees. His brief is to select powerful figures from Ukrainian high society and prepare mournful articles in readiness for the possibility that they might suddenly die. But then the unexpected death of a senior politician after falling from a sixth-floor window triggers a clan war of killings and Viktor's obituaries are suddenly in demand. It is only later, when he discovers that his pieces are neatly filed in the editor's office - marked with dates for imminent publication although their subjects remain alive - that he becomes uncomfortable about his role in the eruption of violence unsettling the city. The obituarist assumes a pragmatic approach to the uneasy morality of his work - accepting the money and getting on with it. This approach is one which Kurkov believes many Ukrainians have been forced to adopt, and his book is free of any censure for the way characters behave. 'People have got used to the corruption. People here are flexible and they accept the new rules and don't dwell on moral questions. They just watch what everyone else is doing and try to find their own ways of deceiving others to make money for themselves to survive,' he says. Viktor's blossoming career is watched with melancholic disapproval by the gloomy figure of his pet penguin, Misha, adopted a few months earlier from the impoverished city zoo. In the cynical atmosphere of post-communist Kiev, the penguin is the only being which inspires in Viktor real affection. The silent, sad penguin is the key to understanding the novel as a portrayal of post-Soviet chaos, says Kurkov. 'The penguin is a collective animal who is at a loss when he is alone. In the Antarctic, they live in huge groups and all their movements are programmed in their brains so that they follow one another. When you take one away from the others he is lost. 'This is what happened to the Soviet people who were collective animals - used to being helped by one another. With the collapse of the Soviet Union suddenly they found themselves alone, no longer felt protected by their neighbours, in a completely unfamiliar situation where they couldn't understand the new rules of life.' Viktor, an impoverished writer and penguin-owner in modern-day Kiev, gets lucky when a local newspaper editor hires him to compose a series of obituaries of still living Ukrainian notables. But when his subjects start dying and acquaintances disappearing, it becomes clear that Viktor is involved in something sinister and he's better off not asking questions. Est contenu dans
In the prequel to Penguin Lost, aspiring writer Viktor Zolotaryov leads a down-and-out life in poverty-and-violence-wracked Kiev--he's out of work and his only friend is a penguin, Misha, that he rescued when the local zoo started getting rid of animals. Even more nerve-wracking: a local mobster has taken a shine to Misha and wants to keep borrowing him for events. But Viktor thinks he's finally caught a break when he lands a well-paying job at the Kiev newspaper writing "living obituaries" of local dignitaries--articles to be filed for use when the time comes. The only thing is, it seems the time always comes as soon as Viktor writes the article. Slowly understanding that his own life may be in jeopardy, Viktor also realizes that the only thing that might be keeping him alive is his penguin. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)813Literature English (North America) American fictionClassification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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