oinos. - Pardonne, Agathos, #65533; la faiblesse d'un esprit fra#65533;chement rev#65533;tu d'immortalit#65533;.agathos. - Tu n'as rien dit, mon cher Oinos, dont tu aies #65533; demander pardon. La connaissance n'est pas une chose d'intuition, pas m#65533;me ici. Quant #65533; la sagesse, demande avec confiance aux anges qu'elle te soit accord#65533;e !oinos. - Mais, pendant cette derni#65533;re existence, j'avais r#65533;v#65533; que j'arriverais d'un seul coup #65533; la connaissance de toutes choses, et du m#65533;me coup au bonheur absolu.agathos. - Ah ! ce n'est pas dans la science qu'est le bonheur, mais dans l'acquisition de la science ! Savoir pour toujours, c'est l'#65533;ternelle b#65533;atitude ; mais tout savoir, ce serait une damnation de d#65533;mon.oinos. - Mais le Tr#65533;s-Haut ne conna#65533;t-il pas toutes choses ?agathos. - Et c'est la chose unique (puisqu'il est le Tr#65533;s Heureux) qui doit lui rester inconnue #65533; lui-m#65533;me.oinos. - Mais, puisque chaque minute augmente notre connaissance, n'est-il pas in#65533;vitable que toutes choses nous soient connues #65533; la fin ?