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"Pas de questions, de´tends-toi". C'est le nouveau mot d'ordre des humains, obse´de´s par leur confort individuel et leur tranquillite´ d'esprit, de´charge´s de tout travail par les robots. Livres, films et sentiments sont interdits depuis des ge´ne´rations. Hommes et femmes se laissent ainsi vivre en ingurgitant les tranquillisants fournis par le gouvernement. Jusqu'au jour ou` Paul, jeune homme solitaire, apprend a` lire gra^ce a` un vieil enregistrement. De´soriente´, il contacte le plus sophistique´ des robots jamais conc¸us : Spofforth, qui dirige le monde depuis l'universite´ de New York. Le robot se servira-t-il de cette de´couverte pour aider l'humanite´ ou la perdre de´finitivement ?… (plus d'informations)
De l’importance d’être constant… A vouloir butiner toutes sortes de fleurs, j’en oublie d’approfondir l’œuvre d’un romancier et des années plus tard, alors que je cherche à vous faire partager mon plaisir de lecteur, je me rends compte que je suis en train de critiquer un auteur que j’avais déjà eu l’occasion de découvrir avec Le jeu de la dame. Donc, cette fois-ci, non pas un roman, mais de la science-fiction spéculative, celle où la chaleur humaine fait vibrer une littérature visionnaire : au XXVe siècle, l’humanité s’éteint doucement, abreuvée de tranquillisants prescrits en masse par les robots qu’elle a elle-même programmée à cette fin. Trois personnages finement esquissés nous jouent une partition mezzo vocce, alternant les peines et joies de l’existence avec l’enjeu véritable de ce roman, le destin de l’homme. Avec Robert Spofforth, l’androïde le plus perfectionné jamais conçu, désespéré de ne pas pouvoir se suicider, Paul Bentley, petit fonctionnaire sans importance découvrant l’émerveillement de la lecture dans les vestiges d’une bibliothèque et Mary Lou, la jolie rebelle refusant ce monde mécanisé, Walter Tevis crée une œuvre envoûtante et émouvante de fin du monde… ou peut-être d’un nouveau départ ? ( )
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The inner life of a human being is a vast and varied realm and does not concern itself alone with stimulating arrangements of color, form, and design. Edward Hopper
Dédicace
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For Eleanora Walker
Premiers mots
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Walking up Fifth Avenue at midnight, Spofforth begins to whistle.
Citations
Derniers mots
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Finally then, with his face serene, blown coldly by the furious upward wind, his chest naked and exposed, his powerful legs straight out, toes down, khaki trousers flapping above the back of his legs, his metallic brain joyful in its rush toward what it has so long ached for, Robert Spofforth, mankind's most beautiful toy, bellows into the Manhattan dawn and with mighty arms outspread takes Fifth Avenue into his shuddering embrace.
"Pas de questions, de´tends-toi". C'est le nouveau mot d'ordre des humains, obse´de´s par leur confort individuel et leur tranquillite´ d'esprit, de´charge´s de tout travail par les robots. Livres, films et sentiments sont interdits depuis des ge´ne´rations. Hommes et femmes se laissent ainsi vivre en ingurgitant les tranquillisants fournis par le gouvernement. Jusqu'au jour ou` Paul, jeune homme solitaire, apprend a` lire gra^ce a` un vieil enregistrement. De´soriente´, il contacte le plus sophistique´ des robots jamais conc¸us : Spofforth, qui dirige le monde depuis l'universite´ de New York. Le robot se servira-t-il de cette de´couverte pour aider l'humanite´ ou la perdre de´finitivement ?
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A vouloir butiner toutes sortes de fleurs, j’en oublie d’approfondir l’œuvre d’un romancier et des années plus tard, alors que je cherche à vous faire partager mon plaisir de lecteur, je me rends compte que je suis en train de critiquer un auteur que j’avais déjà eu l’occasion de découvrir avec Le jeu de la dame. Donc, cette fois-ci, non pas un roman, mais de la science-fiction spéculative, celle où la chaleur humaine fait vibrer une littérature visionnaire : au XXVe siècle, l’humanité s’éteint doucement, abreuvée de tranquillisants prescrits en masse par les robots qu’elle a elle-même programmée à cette fin. Trois personnages finement esquissés nous
jouent une partition mezzo vocce, alternant les peines et joies de l’existence avec l’enjeu véritable de ce roman, le destin de l’homme. Avec Robert Spofforth, l’androïde le plus perfectionné jamais conçu, désespéré de ne pas pouvoir se suicider, Paul Bentley, petit fonctionnaire sans importance découvrant l’émerveillement de la lecture dans les vestiges d’une bibliothèque et Mary Lou, la jolie rebelle refusant ce monde mécanisé, Walter Tevis crée une œuvre envoûtante et émouvante de fin du monde… ou peut-être d’un nouveau départ ? ( )