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Chargement... De afschuwelijke eenzaamheid van Maxwell Sim (original 1991; édition 2010)par Jonathan Coe (Auteur), Otto Biersma (Traducteur), Willem Muilenburg (Traducteur)
Information sur l'oeuvreLa vie très privée de Mr Sim par Jonathan Coe (1991)
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Inscrivez-vous à LibraryThing pour découvrir si vous aimerez ce livre Actuellement, il n'y a pas de discussions au sujet de ce livre. Maxwell Sim est un loser de quarante-huit ans. Voué à l’échec dès sa naissance (qui ne fut pas désirée), poursuivi par l’échec à l’âge adulte (sa femme le quitte, sa fille rit doucement de lui), il s’accepte tel qu’il est et trouve même certaine satisfaction à son état. Mais voilà qu’une proposition inattendue lui fait traverser l’Angleterre au volant d’une Toyota hybride, nantie d’un GPS à la voix bouleversante dont, à force de solitude, il va tomber amoureux. Son équipée de commis-voyageur, représentant en brosses à dents dernier cri, le ramène parmi les paysages et les visages de son enfance, notamment auprès de son père sur lequel il fait d’étranges découvertes : le roman est aussi un jeu de piste relancé par la réapparition de lettres, journaux, manuscrits qui introduisent autant d’éléments nouveaux à verser au dossier du passé. Et toujours Max pense à la femme chinoise et à sa fille, aperçues dans un restaurant en Australie, dont l’entente et le bonheur d’être ensemble l’ont tant fasciné. Va-t-il les retrouver ? Et pour quelle nouvelle aventure ? Brouillant joyeusement les cartes de la vérité et de l’imposture, Coe l’illusionniste se réserve le dernier mot de l’histoire, qui ne manquera pas de nous surprendre. Plus d’une génération va se reconnaître dans ce roman qui nous enchante avec un humour tout britannique, bien préférable au désespoir. Maxwell Sim est la personnification du citoyen lambda: couleur muraille, il va de discrète défaite en coup de malchance. Sa femme l'a quitté, sa fille le dédaigne, il est en arrêt maladie pour dépression, ses amis se sont éloignés et il ne parvient pas à communiquer avec son père. D'ailleurs il ne parvient à communiquer avec personne (voir les hilarants dialogues avec le GPS à la fin). Jusqu'au jour où, le hasard l'ayant à nouveau pourvu d'un emploi, il commence à trouver le chemin menant à une certaine vérité... Excellent roman du Britannique Jonathan Coe (voir par ex. Testament à l'anglaise ou La Maison du sommeil, respectivement de 1994 et 1997). Construction complexe, galerie de personnages intéressante et variée, style humoristique, attentif et convaincant. J'aime ces coïncidences qui n'en sont pas, cette fin qui démonte l'artifice romanesque. Ici la profusion de détails, au lieu de paraître plaquée, coule de source autant que les histoires parallèles, excroissances d'autant plus naturelles qu'elles éclairent l'intrigue au lieu de l'alourdir. Et c'est là qu'on se demande: où réside la différence par rapport à d'autres romans dans lesquels ces nombreuses insertions provoquent rapidement un effet de fatigue? Chez Coe les éléments extérieurs ne sont pas nommés ou décrits juste pour rapporter des points à l'auteur, mais parce qu'ils jouent un rôle dans un tissu de relations de sens à la fois complexe et serré. La vie très privée de Mr. Sim est le contraire de la superficialité et de la facilité, tout en se laissant lire comme un roman-feuilleton. Quelque soit le livre que j'entame, j'attend qu'il me surprenne, m'émeuve, me fasse sourire, me fasse découvrir de nouvelles interrogations, me porte à m'interroger, à réfléchir sur notre monde, sur moi-même, voir même sur des thèmes très banals. En fait il faut une fois que la dernière page est tournée, le livre refermé, que se poursuive une petite musique, un sentiment, une ambiance et que j'ai le sentiment d'avoir encore un peu grandit. Eh bien c'est ce que réussit fort bien Jonathan Coe avec ce nouveau roman. On se laisse emporter par l'histoire de Maxwell Sim. Homme en dépression depuis que sa femme, Caroline, l'a quitté avec sa fille Lucy, Maxwell Sim de retour d'Australie va être embarquer dans un voyage vers l'extrême nord de l'Ecosse dans le cadre d'une opération marketing pour une brosse à dent révolutionnaire développé par une petite société londonienne. Ce voyage sera l'occasion pour Maxwell Sim de faire un bilan sur sa vie, de découvrir et comprendre son père, de s'enfoncer dans une douce folie qui lui permettra de sortir de sa dépression. Jonathan Coe va alors brutalement totalement changé la donne du roman en donnant un certain nombre de clés de lecture qui soudain donne un éclairage beaucoup plus profond à l'histoire de Maxwell Sim. Tous les évènements et les personnages s'entrechoquent et interfèrent. Jonathan Coe nous propose de nous interroger sur les choix et les rencontres qui vont à chaque instant orienter notre vie. Quand doit-on prendre notre vie en main ? Dans quelle mesure est-on libre de nos choix ? La fin du roman proposé par Jonathan Coe est une sorte de mise en abîme surprenante sur le rôle de l'écriture et de l'imaginaire. Ou se trouve la vérité et les réponses ? Dans la vie réel ou dans l'imaginaire ? Le roman est ponctué par quatre révélations au travers de quatre écrits, lettres, nouvelles, journal intime correspondant aux quatre éléments source de la vie. Tout le roman garde un style très "british" avec un humour permanent, des clins d'oeil ironiques sur notre société du gadget, du marketing, de la promotion. On se prend petit à petit d'affection et de sollicitude pour Maxwell Sim au fur et à mesure que celui-ci se découvre et s'enfonce dans la folie. Un début de roman qui semble assez superficiel avec quelques facilités de style (interpellation du lecteur) et de nombreuses références explicites à des marques de produits. Il faut dépasser cela pour découvrir petit à petit un roman qui cache bien son objectif.
Flauw wordt het als Coe in het laatste hoofdstuk op de valreep nog een metafictionele laag toevoegt, door een ontmoeting tussen Maxwell en de auteur te beschrijven. Het voelt dan bijna alsof Coe een standaardrecept uit een kookboek voor hedendaagse romans heeft gevolgd: een flinke scheut ironische distantie, een vleugje emotie, precies genoeg verschillende plotlijnen, regelmatig toegevoegde maatschappijkritiek, een snufje metafictie en dan goed roeren. Door de keurige bereiding wordt het wat al te licht verteerbaar, maar wie dat niet stoort vindt in De afschuwelijke eenzaamheid van Maxwell Sim een vermakelijk tussendoortje. Dus ja veel droefheid, maar zeker geen doffe vertelling. Zo is er een episode waarin Max tijdens een lange vlucht, terug van een zoveelste woordenloze ontmoeting met zijn uitgeweken vader, zijn oeverloos levensverhaal aan een medepassagier vertelt, met dodelijk gevolg. Max beseft niet dat de passagier naast hem aan het raam ondertussen aan een hartaanval gestorven is. Net als enkele andere wendingen in het boek is dit niet helemaal overtuigend en geloofwaardig uitgewerkt, maar het stoort niet echt in dit meeslepende boek, vol verrassende kronkels die soms aan het werk van Paul Auster herinneren. In “De afschuwelijke eenzaamheid van Maxwell Sim” vertelt Jonathan Coe op een luchtige en toch scherpe wijze over de onwerkelijkheid van nieuwe communicatiemiddelen en van de bedenkelijke economische drijfveren van onze tijd. Bedrog en zelfbedrog zijn sleutelwoorden. Vader en zoon Sim die hun seksuele verlangens ontkennen of verdraaien, ervaren dat tot hun en andermans ongeluk. Het beste deel van de roman is trouwens helemaal niet grappig. Dat is een ontroerend kort verhaal, The Nettle Pit (‘De brandnetelkuil’), over een gestrand huwelijk waarin de man geen oog heeft voor de behoeften van zijn eigen dochter, maar wel voor de zoon van zijn beste vriend. Maxwells ex Caroline heeft het geschreven in haar schrijfclubje, en het steekt een beetje dat de stijl beter is dan de delen van het boek die we door Maxwells simpele ogen beleven. The Nettle Pit werd vorig jaar al gepubliceerd in de zomerverhalenbundel Ox-Tales Earth, en losstaand was het al goed. Hier is het het hart van de roman. Het goede nieuws voor die verbolgen recensenten is dat zijn nieuwste, De afschuwelijke eenzaamheid van Maxwell Sim, een 'echte' Jonathan Coe is. Een bij vlagen hilarische zedenschets, waarin hij een satanische blik werpt op de wereld van de moderne, door technologie overwoekerde mens. En, ja, je komt weer geweldige scènes en overpeinzingen tegen in deze satire. Geestig en scherp, pijnlijk herkenbaar en hartverscheurend lachwekkend tegelijk. Appartient à la série éditorialeGallimard, Folio (5381) Est contenu dansA été inspiré parPrix et récompenses
Fiction.
Literature.
HTML:Maxwell Sim can??t seem to make a single meaningful connection. His absent father was always more interested in poetry; he maintains an e-mail correspondence with his estranged wife, though under a false identity; his incomprehensible teenage daughter prefers her BlackBerry to his conversation; and his best friend since childhood is refusing to return his calls. He has seventy-four friends on Facebook, but nobody to talk to. In an attempt to stir himself out of this horrible rut, Max quits his job as a customer liaison at the local department store and accepts a strange business proposition that falls in his lap by chance: he??s hired to drive a Prius full of toothbrushes to the remote Shetland Islands, part of a misguided promotional campaign for a dental-hygiene company intent on illustrating the slogan ??We Reach Furthest.? But Max??s trip doesn??t go as planned, as he??s unable to resist making a series of impromptu visits to important figures from his past who live en route. After a string of cruelly enlightening and intensely awkward misadventures, he finds himself falling in love with the soothing voice of his GPS system (??Emma?) and obsessively identifying with a sailor who perpetrated a notorious hoax and subsequently lost his mind. Eventually Max begins to wonder if perhaps it??s a severe lack of self-knowledge that??s hampering his ability to form actual relationships. A humane satire and modern-day picaresque, The Terrible Privacy of Maxwell Sim is a gently comic and rollickingly entertaining novel about the paradoxical difficulties of making genuine attachments in a world of advanced communications technolo Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)823.914Literature English English fiction Modern Period 1901-1999 1945-1999Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
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