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In a remote Polish village, Janina devotes the dark winter days to studying astrology, translating the poetry of William Blake, and taking care of the summer homes of wealthy Warsaw residents. Her reputation as a crank and a recluse is amplified by her not-so-secret preference for the company of animals over humans. Then a neighbor, Big Foot, turns up dead. Soon other bodies are discovered, in increasingly strange circumstances. As suspicions mount, Janina inserts herself into the investigation, certain that she knows whodunit. If only anyone would pay her mind ...A deeply satisfying thriller cum fairy tale, Drive Your Plow over the Bones of the Dead is a provocative exploration of the murky borderland between sanity and madness, justice and tradition, autonomy and fate. Whom do we deem sane? it asks. Who is worthy of a voice?… (plus d'informations)
Je disais il y a quelques critiques de cela que je ne suis pas influencée par les prix littéraires, et me viola en train de lire un livre uniquement parce que son autrice vient d’être créditée du Prix Nobel, cherchez l’erreur… Il faut dire, j’ai un peu de mal avec la littérature allemande et d’Europe de l’Est. Je ne sais pas pourquoi, je trouve cette littérature geignarde, ce n’est pas un mot très agréable, mais c’est bien celui qui me vient à l’esprit spontanément. Je me suis dit qu’avec un Prix Nobel, je serais sûre de trouver de la littérature qui a quelque chose à dire, qui vaut le coup. Alors j’ai essayé le seul livre de cette dame qui existe en livre de poche en français. Et j’ai eu le côté geignard dont je parlais plus tôt. Cette petite vieille, avec tous ses petits ennuis de santé, ses petites manies, ses petites lettres de réclamation. Mais je me suis accrochée, j’ai continué ma lecture. Et je ne sais pas par quelle magie, finalement, tout cela a pris forme, s’est agrégé en un ensemble à peu près cohérent : la nature, l’astrologie, les meurtres, les traductions de William Blake, les désagréments de la vieillesse,… et j’ai fini par me laisser entrainer, voire emporter.
Ce fut donc une expérience de lecture intéressante, un livre que j’ai fini avec plaisir (plaisir de la lecture, mais aussi, tout de même, plaisir d’en avoir fini). Mais une fois le livre refermé, je ne sais pas très bien quoi en garder. Qu’a-t-elle voulu me dire ? Que doit-il m’en rester ? Je me doute bien qu’il y a autre chose qu’un cosy murder, ou un frozy murder peut-être, je me doute qu’Olga Tokarczuk n’a pas juste voulu réécrire Le meurtre de Roger Ackroyd en plus grincheux. Mais je crains que cette lecture ne soit, pour ma part, vite oubliée, et je ne suis pas sûre de revenir aux romans d’Olga Tokarczuk de sitôt, ou alors il faudra que je lise d’abord pourquoi ces messieurs-dames du Nobel ont décidé de lui attribuer ce prix.
Des notes très contrastées... J'avoue que le titre et la couverture ne sont pas... heu... sexy. Et pourtant un livre très original, faussement naïf, qui peut être interprété de multiples multiples façons... Et avec ça une écriture très simple. ( )
Pas franchement bon mais curieux. J'attendais un policier, c'est plutôt une rumination sur les obsessions d'une vieille femme, ancien ingénieur, institutrice, retirée dans un village loin du monde : le respect de la vie, en particulier celles des animaux. ( )
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I am already at an age and additionally in a state where I must always wash my feet thoroughly before bed, in the event of having to be removed by an ambulance in the Night.
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In a remote Polish village, Janina devotes the dark winter days to studying astrology, translating the poetry of William Blake, and taking care of the summer homes of wealthy Warsaw residents. Her reputation as a crank and a recluse is amplified by her not-so-secret preference for the company of animals over humans. Then a neighbor, Big Foot, turns up dead. Soon other bodies are discovered, in increasingly strange circumstances. As suspicions mount, Janina inserts herself into the investigation, certain that she knows whodunit. If only anyone would pay her mind ...A deeply satisfying thriller cum fairy tale, Drive Your Plow over the Bones of the Dead is a provocative exploration of the murky borderland between sanity and madness, justice and tradition, autonomy and fate. Whom do we deem sane? it asks. Who is worthy of a voice?
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Et j’ai eu le côté geignard dont je parlais plus tôt. Cette petite vieille, avec tous ses petits ennuis de santé, ses petites manies, ses petites lettres de réclamation. Mais je me suis accrochée, j’ai continué ma lecture. Et je ne sais pas par quelle magie, finalement, tout cela a pris forme, s’est agrégé en un ensemble à peu près cohérent : la nature, l’astrologie, les meurtres, les traductions de William Blake, les désagréments de la vieillesse,… et j’ai fini par me laisser entrainer, voire emporter.
Ce fut donc une expérience de lecture intéressante, un livre que j’ai fini avec plaisir (plaisir de la lecture, mais aussi, tout de même, plaisir d’en avoir fini). Mais une fois le livre refermé, je ne sais pas très bien quoi en garder. Qu’a-t-elle voulu me dire ? Que doit-il m’en rester ? Je me doute bien qu’il y a autre chose qu’un cosy murder, ou un frozy murder peut-être, je me doute qu’Olga Tokarczuk n’a pas juste voulu réécrire