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Suite[s] impériale[s]

par Bret Easton Ellis

Séries: Clay (2)

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1,1994316,350 (2.92)16
Clay, a successful screenwriter, has returned from New York to Los Angeles to help cast his new movie, and he's soon drifting through a long-familiar circle that will leave him no choice but to plumb the darkest recesses of his character and come to terms with his proclivity for betrayal.
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2 sur 2
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Ellis-Suitesimperiales/198756

> Un bijou littéraire, noir comme la nuit.
Nicolas, le 28 sept. 2019 (Amazon.fr)

> Encore une saillie pénétrante gorgée de violence et de paranoïa, maîtrisée à la perfection, signée par l'un des auteurs les plus doués de sa génération.
Marine de Tilly, le 23/01/2012 (Le Point)

> « Suite(s) Impériale(s) », de Bret Easton ELLIS. Septième roman de Bret Easton Ellis, Suite(s) impériale(s) est la suite de Moins que zéro, paru en 1985. Clay, maintenant dans la mi-quarantaine, est devenu scénariste à New York et retourne à Los Angeles pour procéder au casting de son prochain film. Il reprend contact avec ses anciens amis et se retrouve confronté aux aspects Les plus sombres de sa personnalité lorsqu'une sordide histoire de meurtre vient le troubler. Dans ce roman noir moderne, sexe et violence se côtoient dans un style dénué d'émotion, propre à l'auteur, qui tend vers une représentation pessimiste de la nature humaine. Et c'est ce qui fait qu'Ellis non seulement choque, mais est aussi l'un des auteurs les plus efficaces et les plus essentiels de sa génération. En librairie le 5 octobre. Ed. Robert Laffont, 234 p., 29,95 €. Pénélope JOLICOEUR, Verdun
Numéro de Oct.-nov. 2010 (le libraire)
  Joop-le-philosophe | Mar 16, 2021 |
Ce roman de Bret Easton Ellis est très particulier. L'auteur parvient toujours aussi bien à retranscrire l'état d'ennui permanent dans lequel se trouvent ses protagonistes, mais en dehors de cela, il n'y a pas grand chose. Comme si Ellis ne parvenait pas à aller au-delà de ça, ne parvenait pas à trouver un second souffle. C'est peut-être pour cela qu'il parsème la fin de son récit de détails scabreux nous plongeant soudain dans un malaise malsain. Finalement, ce roman laisse une impression des plus mitigées. ( )
  Patangel | Feb 22, 2012 |
2 sur 2
Despite Chip Kidd’s cover art, which features a traffic-stopping Satanic image and Mr. Ellis’s name in the book-jacket equivalent of big red neon letters, “Imperial Bedrooms” is without shock value. It’s a work of limited imagination that all too deftly simulates the effects of having no imagination at all.
 

Appartient à la série

Clay (2)

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Personnes ou personnages
Lieux importants
Évènements importants
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Épigraphe
« L'histoire répète les vielles poses, les réponses désinvoltes, les mêmes défaites... »
Elvis Costello, « Beyond Belief »

« Pas de piège plus mortel que celui qu'on tend à soi-même »
Raymond Chandler, The Long Goodbye
Dédicace
Pour R. T.
Premiers mots
Ils avaient fait un film sur nous. Le film était adapté d'un livre par un type qu'on connaissait. Le livre était un truc simple : quatre semaines dans la ville où nous avions grandi et c'était un portrait assez juste, pour l'essentiel. Il avait été catalogué comme oeuvre de fiction, mais seuls quelques détails avaient été modifiés et nos noms n'avaient pas été changés, et il ne s'y passait rien qui ne se soit réellement passé.
Citations
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"Because you're just a writer."156
There were pictures of the boy as well, head-shots of him blond and tan and flexing-he had wanted to be an actor - and there was the fake smile, the pleading eyes, the mirage of it all. 159
Derniers mots
(Cliquez pour voir. Attention : peut vendre la mèche.)
Notice de désambigüisation
Directeur de publication
Courtes éloges de critiques
Langue d'origine
DDC/MDS canonique
LCC canonique

Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais (2)

Clay, a successful screenwriter, has returned from New York to Los Angeles to help cast his new movie, and he's soon drifting through a long-familiar circle that will leave him no choice but to plumb the darkest recesses of his character and come to terms with his proclivity for betrayal.

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