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Les Fables occupent une place singuli re dans notre m moire: par le souvenir que nous gardons de ces po mes devant lesquels nous sommes rest s enfants, mais aussi par la gr ce de tant de vers devenus proverbiaux et que notre parole quotidienne fait rena tre. Et tout se passe comme si une correspondance secr te se maintenait de si cle en si cle entre ces Fables et l'identit de notre pays comme de notre langue.Le premier recueil para t en 1668, et le second dix ans plus tard. Le succ s est immense et les po mes, alors, appartiennent pleinement leur temps: la France du r gne de Louis XIV. Mais le myst re de leur pouvoir est de s' manciper tr s vite de cet environnement imm diat, d' clairer nos r alit s successives, d'allier de mani re toujours clatante le particulier et l'universel. Dans cette com die cent actes divers, / Et dont la sc ne est l'Univers , le texte se d robe toute signification d finitive. Mais La Fontaine, chaque page, nous convainc que la po sie, ses yeux, demeure instrument de connaissance: il existe une beaut du savoir - et nous ne cessons pas de la retrouver en lui.Edition de Jean-Charles Darmon et Sabine Gruffat.… (plus d'informations)
Informations provenant du Partage des connaissances allemand.Modifiez pour passer à votre langue.
Grillchen, das den Sommer lang zirpt' und sang, litt, da nun der Winter droht,, harte Zeit und bittre Not: nicht das kleinste Würmchen nur, und von Fliegen keine Spur!
Citations
Dans un chemin montant, sablonneux, malaisé /Et de tous les côtés au soleil exposé,/ Six forts chevaux tiraient un coche. (Le coche et la mouche)
Un lièvre en son gîte songeait./ (Car que faire en un gîte à moins que l'on ne songe?) (Le lièvre et les grenouilles)
Un Savetier chantait du matin jusqu'au soir :/ C'était merveilles de le voir,/ Merveilles de l'ouïr ; il faisait des passages,/ Plus content qu'aucun des sept sages./ Son voisin au contraire, étant tout cousu d'or,/ Chantait peu, dormait moins encor./ C'était un homme de finance./ Si sur le point du jour parfois il sommeillait,/ Le Savetier alors en chantant l'éveillait,/ Et le Financier se plaignait,/ Que les soins de la Providence/ N'eussent pas au marché fait vendre le dormir,/ Comme le manger et le boire.
Derniers mots
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Mit dieser Lehre find' auch dieses Buch ein Ende; brächt' künft'gen Zeiten sie nur Vorteil und Genuss! Den Fürsten leg' ich sie, den Weisen in den Hände. Wo fänd' ich einen bessern Schluss?
Informations provenant du Partage des connaissances anglais.Modifiez pour passer à votre langue.
This book is "Fables" or "The Fables" written by the French author Jean de La Fontaine. These are not the same as Aesop's Fables. Do not combine Aesop's Fables with La Fontaine's Fables.
Références à cette œuvre sur des ressources externes.
Wikipédia en anglais
Aucun
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Les Fables occupent une place singuli re dans notre m moire: par le souvenir que nous gardons de ces po mes devant lesquels nous sommes rest s enfants, mais aussi par la gr ce de tant de vers devenus proverbiaux et que notre parole quotidienne fait rena tre. Et tout se passe comme si une correspondance secr te se maintenait de si cle en si cle entre ces Fables et l'identit de notre pays comme de notre langue.Le premier recueil para t en 1668, et le second dix ans plus tard. Le succ s est immense et les po mes, alors, appartiennent pleinement leur temps: la France du r gne de Louis XIV. Mais le myst re de leur pouvoir est de s' manciper tr s vite de cet environnement imm diat, d' clairer nos r alit s successives, d'allier de mani re toujours clatante le particulier et l'universel. Dans cette com die cent actes divers, / Et dont la sc ne est l'Univers , le texte se d robe toute signification d finitive. Mais La Fontaine, chaque page, nous convainc que la po sie, ses yeux, demeure instrument de connaissance: il existe une beaut du savoir - et nous ne cessons pas de la retrouver en lui.Edition de Jean-Charles Darmon et Sabine Gruffat.
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