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The City and the Mountains (1901)

par José Maria de Eça de Queiroz

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5641242,431 (4.01)28
Jacinto, dandy et riche héritier d'une famille de notable portugais, vit à Paris depuis tout petit. Fasciné par la ville lumière collectionne dans sa résidence du 202, Champs-Élysées, toutes sortes d'inventions propres à l'époque. Zé Fernandes, jeune homme originaire d'un petit village du nord du Portugal s'installe chez lui pour suivre ses études à Paris. Initié aux plaisirs de la société moderne, il découvre la ville lumière, déambule dans ses rues y rencontre ses groupes d'intellectuels et d'artistes. La fascination de Jacinto pour la technique, sa croyance illimitée dans le progrès est insatiable et le mènera bientôt à la dépression. Son jeune ami décide pour l'aider de le faire revenir aux plaisirs d'une vie frugale et simple, en lui proposant un voyage dans son village natal du bord du Portugal. 202, Champs-Élysées, titre posthume d‘Eça de Queiroz, propose une savoureuse satire de la modernité. Dans ce roman incisif et enjoué les dérives du progrès sont dénoncées. La vacuité des plaisirs urbains, l'accumulation des objets et de nouvelles techniques prophétisent la décadence d'une société en perte de repères.… (plus d'informations)
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Etonnante critique de la modernité par un auteur du 19e siècle. Apologie du retour à la campagne. Critique très socialiste de la société bourgeoise. Un régal ! ( )
  elgedor | Nov 25, 2007 |
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Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Eça de Queiroz, José Maria deAuteurauteur principaltoutes les éditionsconfirmé
Jull Costa, MargaretTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé
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"O meu amigo Jacinto nasceu num palácio, com cento e nove contos de renda em terras de semeadura, de vinhedo, de cortiça e de olival.
No Alentejo, pela Estremadura, através das duas Beiras, densas sebes ondulando pôr e vale, muros altos de boa pedra, ribeiras, estradas, delimitavam os campos desta velha família agrícola que já entulhava o grão e plantava cepa em tempos de el-rei d.Dinis. A sua Quinta e casa senhorial de Tormes, no Baixo douro, cobriam uma serra.
Entre o Tua e o Tinhela, pôr cinco fartas léguas, todo o torrão lhe pagava foro. E cerrados pinheirais seus negrejavam desde Arga até ao mar de âncora. Mas o palácio onde Jacinto nascera, e onde sempre habitara, era em Paris, nos Campos Elísios, nº. 202.
Seu avô, aquele gordíssimo e riquíssimo Jacinto a quem chamavam em Lisboa o D. Galião, descendo uma tarde pela travessa da Trabuqueta, "(…)
Citations
"O meu amigo Jacinto nasceu num palácio, com cento e nove contos de renda em terras de semeadura, de vinhedo, de cortiça e de olival.
No Alentejo, pela Estremadura, através das duas Beiras, densas sebes ondulando pôr e vale, muros altos de boa pedra, ribeiras, estradas, delimitavam os campos desta velha família agrícola que já entulhava o grão e plantava cepa em tempos de el-rei d.Dinis. A sua Quinta e casa senhorial de Tormes, no Baixo douro, cobriam uma serra.
Entre o Tua e o Tinhela, pôr cinco fartas léguas, todo o torrão lhe pagava foro. E cerrados pinheirais seus negrejavam desde Arga até ao mar de âncora. Mas o palácio onde Jacinto nascera, e onde sempre habitara, era em Paris, nos Campos Elísios, nº. 202.
Seu avô, aquele gordíssimo e riquíssimo Jacinto a quem chamavam em Lisboa o D. Galião, descendo uma tarde pela travessa da Trabuqueta, "(…)
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Jacinto, dandy et riche héritier d'une famille de notable portugais, vit à Paris depuis tout petit. Fasciné par la ville lumière collectionne dans sa résidence du 202, Champs-Élysées, toutes sortes d'inventions propres à l'époque. Zé Fernandes, jeune homme originaire d'un petit village du nord du Portugal s'installe chez lui pour suivre ses études à Paris. Initié aux plaisirs de la société moderne, il découvre la ville lumière, déambule dans ses rues y rencontre ses groupes d'intellectuels et d'artistes. La fascination de Jacinto pour la technique, sa croyance illimitée dans le progrès est insatiable et le mènera bientôt à la dépression. Son jeune ami décide pour l'aider de le faire revenir aux plaisirs d'une vie frugale et simple, en lui proposant un voyage dans son village natal du bord du Portugal. 202, Champs-Élysées, titre posthume d‘Eça de Queiroz, propose une savoureuse satire de la modernité. Dans ce roman incisif et enjoué les dérives du progrès sont dénoncées. La vacuité des plaisirs urbains, l'accumulation des objets et de nouvelles techniques prophétisent la décadence d'une société en perte de repères.

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