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Chargement... Le Maître du Jugement dernier (1921)par Leo Perutz
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Prix et récompenses
1930. The Master of the Day of Judgment is about a drug, created in Florence in the 16th century, that makes people see the Master (God). The downside is that they also see the Day of Judgment and all the demons of Hell, which leads them to believe that they are being attacked by the demons of Hell and then they commit suicide. The novel, set in Vienna in 1909, is structured like a murder mystery, with the identity of the victim only being revealed near the end. A Kirkus review said, The identity of the Master provides a solution that, like that of Dr. Jekyll and Mr. Hyde, is more disturbing than the mystery itself. Aucune description trouvée dans une bibliothèque |
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Google Books — Chargement... GenresClassification décimale de Melvil (CDD)833.912Literature German literature and literatures of related languages German fiction Modern period (1900-) 1900-1990 1900-1945Classification de la Bibliothèque du CongrèsÉvaluationMoyenne:
Est-ce vous ?Devenez un(e) auteur LibraryThing. Hachette Book GroupUne édition de ce livre a été publiée par Hachette Book Group. » Page d'information de la maison d''édition Arcade PublishingUne édition de ce livre a été publiée par Arcade Publishing. |
Un fois sur place, deux autres personnes sont aussi présentes : Felix, le frère de Dina, et Waldemar Solgrub, ingénieur très spécial, qui ressemble par ses talents de déduction à Sherlock Holmes.
Au cours de la soirée, Eugen Bischoff s’isolera et se suicidera (aucun doute là-dessus). Le problème est que tout le monde a entendu deux coups de feu. Felix va très vite accuser le baron von Yosch car il a été l’amant de Dina il y a quelques années et a fait de nombreuses allusions déplaisantes tout au long de l’après-midi. Waldemar Solgrub est moins catégorique et commence son enquête. Le baron von Yosch en fera une en parallèle pour se disculper. La résolution du mystère ne se fera pas facilement entraînera deux suicides dans des circonstances tout aussi incompréhensibles.
En avançant, on s’oriente vers une explication livresque, irrationnelle et fantastique, à laquelle j’ai totalement adhéré. La fausse postface de l’éditeur est d’autant plus déconcertante.
J’ai beaucoup aimé de livre pour le côté mystère à résoudre, enquête parodique de Sherlock Holmes. J’ai eu plus de mal à comprendre le passage au fantastique. Une fois passé, j’y ai par contre totalement adhéré.
Ce qui est déconcertant aussi c’est le fait que le baron von Yosch soit narrateur. Volontairement ou involontairement on adhère à son point de vue. Les accusations dont il est l’objet semblent incompréhensibles par exemple car le baron nous les explique par des maladresses involontaires. Pour simplifier, on a du mal à croire à une quelconque culpabilité. Cela enlève un élément de suspens dirons nous. Un autre désavantage d’avoir le baron comme narrateur est le fait que les autres personnages nous sont inaccessibles, au niveau psychologique, notamment le personnage de l’ingénieur qui me semblait pourtant très intéressant. Cela vient du fait que le baron est peu empathique et a tendance à être manipulateur (en tout cas, c’est ce que le docteur nous dit savoir de lui par oui-dires).
Si on résume, le livre m’a plu mais moins que Le cavalier suédois. J’ai eu du mal à rester dans le livre quand je l’ouvrais. D’un autre côté, cela s’explique en grosse partie par le fait que ma lecture s’est faites dans les transports en commun et que les gens aiment s’asseoir à côté de moi pour parler avec leurs amis. ( )