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When an eighty-two-year-old rabbi from Albom's old hometown asks him to deliver his eulogy, Albom goes back to his nonfiction roots and becomes involved with a Detroit pastor--a reformed drug dealer and convict--who preaches to the poor and homeless in a decaying church with a hole in its roof. A timely, moving, and inspiring look at faith: not just who believes, but why.… (plus d'informations)
DeDeNoel: Matheson is a genius story teller. This novel is about death, the afterlife and love. It is beautifully written and I think it would compliment Have a Little Faith.
> LE VIEIL HOMME QUI M’A APPRIS LA VIE, de Mitch Albom. — Après Les cinq personnes que j’ai rencontrées là-haut , vendu à plus de 400 000 exemplaires, Mitch Albom conserve sa propension pour les récits initiatiques dans Le vieil homme qui m’a appris la vie. Qualifié de chef-d’œuvre par le Publishers Weekly, ce récit raconte l’évolution de la sagesse d’un homme confronté à une réflexion sur la vie et la foi. Ironiquement, dans ce monde où le « je, me, moi » est roi, Mitchell comprendra que c’est au contact d’autrui qu’on découvre les véritables richesses. Puisqu’il doit préparer l’éloge funèbre d’un généreux rabbin, toujours en vie, il lui faudra apprendre à cerner l’essentiel qui lui permettra de lui rendre hommage. Il découvrira bonté, joie de vivre et simplicité : les ingrédients essentiels à la recette du bonheur. Oh! Éditions 328 p. | 29,95$ —Le libraire, No 56 | Décembre 2009 - Janvier 2010
Albom writes, as he always does, with a loving hand, revealing great intimacies that touch the heart. Like TUESDAYS WITH MORRIE, HAVE A LITTLE FAITH reminds us that, despite our differences, we are all human beings experiencing life, love, hatred and death; with any luck in our lifetimes, we will “be satisfied,” “be grateful.”
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Finally, a book for my father, Ira Albom, in whom I have always believed
Premiers mots
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In the beginning, there was a question. "Will you do my eulogy?"
Citations
Derniers mots
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In the beginning, there was a question. In the end, the question gets answered. God sings, we hum along, and there are many melodies, but it's all one song—one same, wonderful, human song.
When an eighty-two-year-old rabbi from Albom's old hometown asks him to deliver his eulogy, Albom goes back to his nonfiction roots and becomes involved with a Detroit pastor--a reformed drug dealer and convict--who preaches to the poor and homeless in a decaying church with a hole in its roof. A timely, moving, and inspiring look at faith: not just who believes, but why.
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Description du livre
Résumé sous forme de haïku
Critiques des anciens de LibraryThing en avant-première
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> LE VIEIL HOMME QUI M’A APPRIS LA VIE, de Mitch Albom. — Après Les cinq personnes que j’ai rencontrées là-haut , vendu à plus de 400 000 exemplaires, Mitch Albom conserve sa propension pour les récits initiatiques dans Le vieil homme qui m’a appris la vie. Qualifié de chef-d’œuvre par le Publishers Weekly, ce récit raconte l’évolution de la sagesse d’un homme confronté à une réflexion sur la vie et la foi. Ironiquement, dans ce monde où le « je, me, moi » est roi, Mitchell comprendra que c’est au contact d’autrui qu’on découvre les véritables richesses. Puisqu’il doit préparer l’éloge funèbre d’un généreux rabbin, toujours en vie, il lui faudra apprendre à cerner l’essentiel qui lui permettra de lui rendre hommage. Il découvrira bonté, joie de vivre et simplicité : les ingrédients essentiels à la recette du bonheur. Oh! Éditions 328 p. | 29,95$
—Le libraire, No 56 | Décembre 2009 - Janvier 2010