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Karnas arv par Herbjørg Wassmo
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Karnas arv (original 1997; édition 1998)

par Herbjørg Wassmo

Séries: La trilogie de Dina (3)

MembresCritiquesPopularitéÉvaluation moyenneMentions
1816151,367 (3.73)1
I 1870'erne vender både Dina og sønnen Benjamin hjem til Nordnorge. Hun er stadig en kraftfuld kvinde, og bliver stedets økonomiske magtcentrum. Efterhånden samles hele familien igen om hende, men begivenheder i fortiden kaster lange skygger.
Membre:sique
Titre:Karnas arv
Auteurs:Herbjørg Wassmo
Info:[Oslo] : Gyldendal , 1998
Collections:Votre bibliothèque
Évaluation:
Mots-clés:Aucun

Information sur l'oeuvre

L'Héritage de Karna par Herbjørg Wassmo (1997)

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Troisième volet de la saga norvégienne, l'histoire de Karna, la petite-fille de Dina, qui grandit dans un Nordland en pleine industrialisation. Si la violence sauvage qui nous emportait dans le premier volume s'est ici assagie, on reste captivé par l'omniprésence de la mer, la finesse de la construction des personnages, leur imbrication dans une société en mutation, leurs rêves et leurs espoirs confrontés au passé d'une famille passionnée. La "Trilogie de Dina" est à découvrir, définitivement. ( )
  Steph. | May 14, 2017 |
Cette critique se rapporte aux trois volumes de « L’héritage de Karna ».

– Tu crois que les gens peuvent s’aimer sans mentir, grand-mère ?
Grand-mère avait repris sa marche, mais elle avait tourné son visage vers elle.
– Je ne sais pas. Mais je le crois. Mais alors fait pas s’attendre à ce que les gens existent pour toi. Ils existent pour eux-mêmes. Même s’ils t’aiment, il peut arriver qu’ils ne te racontent pas tout. Je ne sais pas si on peut appeler ça un mensonge. Le plus important est d’avoir quelqu’un à aimer.
– Comment ?
– Il faut saisir l’amour quand il est là, ne pas le laisser passer. Et s’il veut s’en aller, faut le laisser partir. Il doit rester libre. C’est seulement comme ça qu’on peut le garder.

(p. 133, Chapitre 11, Livre 3, “Les femmes si belles”).

Les titres des tomes de cette dernière partie de la trilogie de Dina sont particulièrement évocateurs, de même que la jeune fille sur les couvertures de l’édition 10/18 avec son regard envoutant et déroutant. Tout pour se demander en ouvrant ce livre ce qu’il réserve au lecteur, après la liberté égoïste de Dina dans Le Livre de Dina et la torture malsaine de Benjamin dans Fils de la Providence.
Ce livre revient aux racines, à Reinsnes, le domaine agricole et maritime qui a du mal à faire face au changement d’époque, à l’industrialisation et à la mécanisation, et à Strandstedet, la ville voisine en pleine expansion qui représente l’avenir. Retour sur les lieux du premier tome donc, mais avec des personnages plus apaisés, qu’il s’agisse en particulier d’une Dina assagie et lucide, ou d’un Benjamin qui tente de pallier à ses faiblesses. Dans cet univers d’adultes écorchés, Karna apprend à vivre et à faire des choix.
Dense, ce dernier volet de la saga de Reinsnes m’a emportée dans ses paysages, dans sa révolution industrielle, dans ses drames petit-bourgeois et je me suis laissée aller à espérer que, malgré tout ce qu’elle a pu faire, un personnage tel que Dina Grønelv ait existé, un jour quelque part, nous démontrant de façon éclatante que le déterminisme n’existe pas, qu’il ne tient qu’à nous de tirer les leçons de nos douleurs et de nos erreurs, et d’assumer notre liberté et nos rêves.
  raton-liseur | Jun 12, 2012 |
2 sur 2
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Nom de l'auteurRôleType d'auteurŒuvre ?Statut
Wassmo, Herbjørgauteur principaltoutes les éditionsconfirmé
Stevens, PaulaTraducteurauteur secondairequelques éditionsconfirmé

Appartient à la série

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Titre canonique
Titre original
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Date de première publication
Personnes ou personnages
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Lieux importants
Évènements importants
Films connexes
Épigraphe
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Dit heeft zijn diepste grond in wat het essentiële in de menselijke essentie is, dat de mens individu is en als zodanig tegelijkertijd zichzelf en de hele mensheid; zo, dat de hele mensheid deel heeft aan het individu aan de hele mensheid.
- Søren Kierkegaard: 'Het begrip angst'
Dédicace
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Voor Hilde
Premiers mots
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De trap was steil en smal. De onderste tree droeg een diep litteken. Alsof iemand er een bijl in geslagen had.
The stairs were steep and narrow. The bottom step bore a deep scar. As if someone had hit an ax in it.
Citations
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When she grabbed her hands and squeezed, she felt a wave of resentment swaying, confused with the longing she had killed. Her eyes filled with tears, and he thought, "No, I wasn't dead." Probably because longing and hope abandon the man last.
And what I long for, no one can take away from me.
It was late in the day and there was snow in the air. The sound of horseshoes, hurried feet, rolling barrels and carriage wheels rose to her. Stripes of sun hung under the treetops
Karna:
"When she was very small, she was only allowed to look at the books through the glass. She remembered squatting down and making fingerprints on the glass. Some books had a skin, and breath. Those were the books that had spines and corners made of real leather. Like the bible. She often thought about that. That someone had to die for the stories to have a skin.
When she saw that when she looked a cow or a horse in the eye, . In such eyes, all stories began. "
Derniers mots
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(Cliquez pour voir. Attention : peut vendre la mèche.)
Notice de désambigüisation
Directeur de publication
Courtes éloges de critiques
Langue d'origine
DDC/MDS canonique
LCC canonique

Références à cette œuvre sur des ressources externes.

Wikipédia en anglais

Aucun

I 1870'erne vender både Dina og sønnen Benjamin hjem til Nordnorge. Hun er stadig en kraftfuld kvinde, og bliver stedets økonomiske magtcentrum. Efterhånden samles hele familien igen om hende, men begivenheder i fortiden kaster lange skygger.

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Description du livre
Résumé sous forme de haïku

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